Le blog de Mylady

Conte de Noël d’un soumis en mal de collier 

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    Noël est maintenant dans deux jours. L’homme est couché dans son lit. Il se sait soumis, il vit comme un soumis, mais il n’a pas malheureusement trouvée de Femme qui soit devenue sa Maîtresse.   Sa quête s’est toujours heurtée à l’impossibilité de vivre pleinement son envie, de pouvoir assouvir son besoin d’être asservi et de vivre dans l’épanouissement aux pieds de sa Maîtresse.   Il s’endort tranquillement dans son lit en rêvant sur son sort.   Il s’imagine chez lui avec une Maîtresse. Il ne sait plus comment il l’a rencontré mais il est à ses pieds. Il est allongé par terre en chien de fusil et sa Maîtresse a glissé ses pieds sous lui pour les réchauffer.   Elle regarde la télé tranquillement avec son soumis à ses pieds.   « J’ai froid aux pieds, réchauffe les moi » lui dit elle en lui présentant ses magnifiques petons.   Ils sont gainés par un doux nylon que l’homme apprécie particulièrement.   Il s’imagine ainsi les prendre dans ses mains pour les masser et les frotter pour les réchauffer.   « Tu sais mon minou, çà irait plus vite avec ta bouche. » Cette recommandation sonne comme un ordre et il s’empresse de porter à sa bouche ces membres tant convoités. Il les lèche et souffle dessus pour les réchauffer.   Il l’imagine se détendre et se mettre confortablement dans le canapé pour les enfoncer le plus profondément possible dans la bouche.   Il s’imagine ainsi soumis à ses pieds. Servile, dévoué et surtout utile à sa Maîtresse.   Il s’imagine avec son collier avec les initiales de sa Maîtresse dessus, sa laisse qu’elle peut utiliser pour le tirer vers elle, toujours à quatre pattes.   Il s’imagine ainsi totalement possédé par cette Femme superbe qui jouit à l’idée de l’utiliser comme un objet sexuel et comme un serviteur ce qu’il est devenu à force de brimades, de contraintes de souffrances et de chasteté.   Il souffre à l’idée d’avoir sa queue emprisonnée dans une cage de chasteté attendant le bon vouloir de sa Maîtresse de la libérer pour jouir ou pour s'en servir. Moment qui n’arrivera peut-être plus jamais.   Il souffre car il entrevoit sa queue grossir sous les effets de l’excitation si forte prodiguée par sa Maîtresse qui adore le voir ainsi courbé tellement sa queue grossissant à vue d’œil est contrainte par la cage.   Fini toutes ces années durant lesquelles il se masturbait en surfant sur internet, cherchant des images et des textes de gynarchie ou de domination. Il lui était maintenant interdit de toucher son sexe, à n’importe quel moment. Même pour uriner il ne devrait pas le toucher.   Sa Maîtresse aurait décidé qu’il devait uriner comme une femme pour lui apprendre. Il  devrait s’asseoir sur le siège.   Elle trouverait çà normal, vu qu’elle l’avait transformé en bonniche, en petite pute juste bonne à ramper à ses pieds, à souffrir selon ses envies et à être totalement disponible pour ses excentricités.   Il imagine sa Maîtresse le balader à quatre pattes comme un chien tiré par sa laisse. Lui totalement, nu et sa Maîtresse divine, sexy, magnifique, si forte et si fière.   Il la suppose cruelle et douce en même temps. Il la voit terriblement sévère pour le punir.   Ses oreilles entendent le claquement de la cravache sur ses fesses rebondies. Il sait qu’il mériterait tous les tourments qu’elle lui infligerait.   Il sent l’odeur du cuir, l’odeur de la sueur, celle de la peur, peur de souffrir, peur de ne pas assez endurer, peur de ne pas être à la hauteur de la chance qu’il aurait d’être ainsi propriété de sa Maîtresse.   Il se réveille alors, et découvre qu’il ne dort pas dans son lit. Il se trouve dans une cage. Une cage ? Mais comment est-ce possible ? Il s’est endormi hier dans son lit ! Est-ce un nouveau rêve, une nouvelle illusion ? Il se pince, mais rien n’y fait, il reste prisonnier dans sa cage. Il est nu et découvre que son sexe est emprisonné dans une ceinture de chasteté. Il souffre car il se met à bander en étant dans cette situation. Par ailleurs, il se sent totalement écartelé par un énorme plug qui lui déchire l’anus.   Il observe aux alentours.   Il aperçoit une Femme dans son lit. Il la devine et reconnaît la Maîtresse de ses rêves. Ce n’est pas un rêve c’est la réalité.   Sa Maîtresse se lève, ouvre sa cage et lui serre les couilles à l’en faire s’évanouir. « Tu vois minou, ce n’est plus un rêve, c’est une réalité, tu es mon esclave maintenant. Lèche moi les pieds comme tu vas le faire chaque matin et chaque soir pour te rappeler ta place ».   Le minou s’exécute avec envie et précipitation, il porte maintenant un collier, bientôt il sera tatoué.   « C’est bien tu es un bon soumis, je vais te garder »
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Quel bonheur ! Quelle Félicité ! Enfin son rêve est devenu, réalité !!!
L'homme est heureux. Merci Père Noël. 
Je vous vénère, Maîtresse !!

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Merci Le scribe !

Joyeuses Fêtes à toutes et à tous.

Que tous vos rêves puissent se réaliser !!

Mylady

 

Sam 22 déc 2007 Aucun commentaire