Le blog de Mylady

UNE BELLE PROMENADE
Ce jour là Dame L. avait prévu une promenade et un déjeuner en bateau sur le lac, avec son soumis M. .suivie d’une balade dans les sentiers au dessus du lac qui ouvrent sur de magnifiques vues, et M. a également une punition en suspens a subir. La semaine précédente de ce mois de mai avait été très agréable sous un beau soleil, malheureusement lorsque M. arrive en fin de matinée il pleut à verse. La promenade sur le lac est donc à l’eau si l’on peut dire.
M. propose à sa Maîtresse de l’emmener déjeuner sur le port dans un petit restaurant de poissons qu’il connaît . Elle accepte, mais lui demande de se dévêtir. Un peu interloqué il s’exécute, pendant qu’elle fouille dans son sac de matériel. Elle sort une longue chaîne, avec laquelle elle lui fait une sorte de bondage, à l’aide de mousquetons, autour du cou d’abord, puis de la taille, la chaîne s’enroule ensuite autour du sexe, avant de passer entre les fesses et de remonter jusqu’au cou. Lorsque elle lui ordonne de se rhabiller, sans slip.. il demande étonné « sur les chaînes ? », Dame L. ne prends même pas la peine de répondre à cette question idiote, mais le regard qu’elle lui lance est éloquent. Il se hâte de se vêtir en se disant que la journée s’annonce bien ! Elle lui réserve encore une petite surprise, elle ouvre un bouton de la chemise et fixe à la chaîne l’extrémité d’un rouleau de fil de pêche quasi invisible, et garde le rouleau en main pendant qu’il reboutonne sa chemise, le voici tenu en laisse en quelque sorte. Elle lui met le rouleau dans la poche pour l’instant.
M. va chercher la voiture et l’amène devant la porte afin d’éviter à sa Maîtresse de se faire mouiller, il l’aide à s’installer avant de reprendre sa place de chauffeur. En quelques minutes ils arrivent au restaurant, où on les installe à une table au milieu de la salle. Dame L. récupère le fil qui la relie ainsi directement à son soumis. Lorsque la serveuse vient prendre la commande, Dame L. demande une marmite du pêcheur, et au moment où la serveuse pose la question à M. elle précise : « la même chose que moi, je choisis pour les deux ». La serveuse sourit et repart en cuisine. Elle a toujours le sourire aux lèvres lorsqu’elle apporte les plats, M. se sent un peu gêné sous son regard, mais assume en lui rendant son sourire. De temps à autre il se raidit sous la traction du fil qui lui rappelle quelle est sa situation, il murmure « oh Maîtresse… » et son regard chavire sous celui de sa Maîtresse. Au moment du dessert, la serveuse demande narquoise lorsque Dame L. annonce son choix « toujours les 2 mêmes je suppose ? » M. rougit légèrement et sursaute sous une secousse plus forte du fil. Il se demande ce que la serveuse pense réellement de cette situation, il aimerait qu’elle ait deviné qu’il est soumis, cette humiliation supplémentaire l’excite rien que de l’imaginer.
Lorsqu’ils sortent la pluie a cessé, enfin, le temps est plus clair, ils prennent la route qui longe le lac, le fil toujours dans les mains de Dame L. qui en joue à sa guise, en prenant soin quand même de ne pas perturber M. dans les endroits dangereux.. Ils s’arrêtent pour visiter une Abbaye, magnifique endroit, qu’ils parcourent avec admiration. La bobine de fil a rejoint pour un instant la poche de M. ce n’est pas l’endroit pour prendre le risque qu’un touriste s’accroche dedans, Dame L. a un petit sourire en imaginant la tête que feraient les autres visiteurs s’ils pouvaient voir ce que porte son soumis comme sous-vêtement, ainsi que le contenu de son sac à main.
La visite terminée, lorsqu’ils ressortent, le soleil est revenu. Dame L. s’en réjouit, et charge M. de trouver un endroit tranquille. Il se trouble en comprenant ce que cela veut dire. Ses fesses vont sans doute être à la fête. Lorsqu’il se rassoit dans la voiture les chaînes se rappellent à lui, depuis plusieurs heures qu’il les porte, elles commencent à lui faire mal, il a l’impression qu’elles se sont incrustées dans sa chair.
Ils tournent un moment dans la montagne au hasard des petites routes, les endroits où il est possible de se garer sont rares, et généralement déjà occupés par une ou plusieurs voitures. Le soleil revenu a incité les promeneurs à prendre l’air. Enfin ils découvrent un endroit d’où part un petit chemin qui serpente entre prés et bosquets.
Ils se promènent quelques centaines de mètres et s’arrêtent dans un sous bois qui semble convenir à Dame L. Après avoir fait baisser son pantalon à M. elle lui bande les yeux et l’attache à un arbre, avec les cordes qu’elle a pris soin d’emmener, ainsi que son martinet. Elle remonte pull et chemise sur les épaules et lui annonce la sanction qu’elle va appliquer : 30 coups de martinet qu’il va devoir compter ; elle le laisse un peu en attente puis un premier coup claque sur les fesses qui frissonnent, « UN », puis les autres se succèdent, plus ou moins fort sur les fesses, les cuisses et les épaules. Enfin il exhale le 30 dans un soupir, puis murmure « merci Maîtresse, pour cette punition bien méritée ». Dame L. caresse un peu le corps qui se relâche lentement. Les chaînes ont bien marqué la peau. Il est temps de rentrer afin de les enlever. Elle détache lentement M. et lui ôte son bandeau, il tombe à ses genoux en la remerciant encore, et lui embrasse les pieds. Elle lui ordonne de se relever, ils retournent tranquillement à la voiture, à les voir on dirait un couple qui vient de faire une petite promenade dans la nature.
Rentrés à la maison, Dame L. le fait se déshabiller et enlève les chaînes qui ont laissé de belles marques rouges en creux, surtout dans le dos en appui contre le dossier du siège de la voiture.. M. se prosterne à ses pieds, les déchausse, et les masse longuement, les lèche avec vénération. Dame L. se détend sous ces caresses.
Ce fut quand même une belle journée !!!! malgré
la pluie du matin..
Auteur anonyme
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Merci chère amie pour ce beau récit qui va faire rêver bon nombre de nos visiteurs.
Amicalement
Mylady