POEMES

Dimanche 20 janvier 7 20 /01 /Jan 11:25

 

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Obéir, et subir
C’est un fait que sa cervelle pousse l’homme à obéir
Que sa médiocre condition le prête  à servir
Alors que ses manières ne font que l’abrutir
 Son pitoyable orgueil le fait gonfler, rougir, glapir
L’ordre de la nature il voudrait faire mentir
Voulant diriger étant né pour subir
Se prenant pour un roi, n’étant qu’un sbire.
 
La Femme aime séduire, sait sourire
sa beauté est faite pour éblouir
Elle  sait suggérer sans même se dévêtir
Du male attiser les  plus bas désirs,
Pour le subjuguer et l’asservir
Le faire plier, le punir, lui faire subir….
Pour mieux l’avilir…
 
C’est cette imposture, Madame qu’il vous faut abolir
Complexé et furieux le male voudrait  vous asservir
Conscient de son infériorité, il voudrait vous haïr
Son impuissance le pousse à vous maudire,
Mais c’est sa soumission qui ne fait que surgir
C’est à Vous qu’il revient d’enfermer, de punir
C’est quand vous lui faites endurer le martyr
Que vous sentez en vous monter le plaisir
C’est à le voir blêmir, que s’épanouit votre sourire.
 
 
 
Quand vous riez de le voir bouillir
Voyant son orgueil et sa petite chose se rétrécir
Craignant que vous décidiez de la raccourcir
Sans coup férir
Il en deviendrait teigneux,  vos insultes le font jaunir
vos moqueries le font verdir, vos claques rougir
Vos coups le font rugir
Battu, vaincu, il ne peut plus réagir
Quand vos insultes et vos coups le font défaillir
Qu’il consent enfin au repentir
L’homme conçoit qu’il n’est fait pour vous  obéir
Enfin, Votre suprême Féminité peut s’épanouir
Et resplendir.
la nature reprend ses droits selon votre désir
La Féminité règne, vous accédez à la liberté, au plaisir
Ramené à sa véritable condition, le male  subit votre Loi
la Femme séduit et asservit, le male plie et obéit


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Merci Cyrano pour ce beau poème de vérités

Par Mylady - Publié dans : POEMES
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Samedi 22 décembre 6 22 /12 /Déc 23:27
Conte de Noël d’un soumis en mal de collier 

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Noël est maintenant dans deux jours. L’homme est couché dans son lit. Il se sait soumis, il vit comme un soumis, mais il n’a pas malheureusement trouvée de Femme qui soit devenue sa Maîtresse.
 
Sa quête s’est toujours heurtée à l’impossibilité de vivre pleinement son envie, de pouvoir assouvir son besoin d’être asservi et de vivre dans l’épanouissement aux pieds de sa Maîtresse.
 
Il s’endort tranquillement dans son lit en rêvant sur son sort.
 
Il s’imagine chez lui avec une Maîtresse. Il ne sait plus comment il l’a rencontré mais il est à ses pieds. Il est allongé par terre en chien de fusil et sa Maîtresse a glissé ses pieds sous lui pour les réchauffer.
 
Elle regarde la télé tranquillement avec son soumis à ses pieds.
 
« J’ai froid aux pieds, réchauffe les moi » lui dit elle en lui présentant ses magnifiques petons.
 
Ils sont gainés par un doux nylon que l’homme apprécie particulièrement.
 
Il s’imagine ainsi les prendre dans ses mains pour les masser et les frotter pour les réchauffer.
 
« Tu sais mon minou, çà irait plus vite avec ta bouche. » Cette recommandation sonne comme un ordre et il s’empresse de porter à sa bouche ces membres tant convoités. Il les lèche et souffle dessus pour les réchauffer.
 
Il l’imagine se détendre et se mettre confortablement dans le canapé pour les enfoncer le plus profondément possible dans la bouche.
 
Il s’imagine ainsi soumis à ses pieds. Servile, dévoué et surtout utile à sa Maîtresse.
 
Il s’imagine avec son collier avec les initiales de sa Maîtresse dessus, sa laisse qu’elle peut utiliser pour le tirer vers elle, toujours à quatre pattes.
 
Il s’imagine ainsi totalement possédé par cette Femme superbe qui jouit à l’idée de l’utiliser comme un objet sexuel et comme un serviteur ce qu’il est devenu à force de brimades, de contraintes de souffrances et de chasteté.
 
Il souffre à l’idée d’avoir sa queue emprisonnée dans une cage de chasteté attendant le bon vouloir de sa Maîtresse de la libérer pour jouir ou pour s'en servir. Moment qui n’arrivera peut-être plus jamais.
 
Il souffre car il entrevoit sa queue grossir sous les effets de l’excitation si forte prodiguée par sa Maîtresse qui adore le voir ainsi courbé tellement sa queue grossissant à vue d’œil est contrainte par la cage.
 
Fini toutes ces années durant lesquelles il se masturbait en surfant sur internet, cherchant des images et des textes de gynarchie ou de domination. Il lui était maintenant interdit de toucher son sexe, à n’importe quel moment. Même pour uriner il ne devrait pas le toucher.
 
Sa Maîtresse aurait décidé qu’il devait uriner comme une femme pour lui apprendre. Il  devrait s’asseoir sur le siège.
 
Elle trouverait çà normal, vu qu’elle l’avait transformé en bonniche, en petite pute juste bonne à ramper à ses pieds, à souffrir selon ses envies et à être totalement disponible pour ses excentricités.
 
Il imagine sa Maîtresse le balader à quatre pattes comme un chien tiré par sa laisse. Lui totalement, nu et sa Maîtresse divine, sexy, magnifique, si forte et si fière.
 
Il la suppose cruelle et douce en même temps. Il la voit terriblement sévère pour le punir.
 
Ses oreilles entendent le claquement de la cravache sur ses fesses rebondies. Il sait qu’il mériterait tous les tourments qu’elle lui infligerait.
 
Il sent l’odeur du cuir, l’odeur de la sueur, celle de la peur, peur de souffrir, peur de ne pas assez endurer, peur de ne pas être à la hauteur de la chance qu’il aurait d’être ainsi propriété de sa Maîtresse.
 
Il se réveille alors, et découvre qu’il ne dort pas dans son lit. Il se trouve dans une cage. Une cage ? Mais comment est-ce possible ? Il s’est endormi hier dans son lit ! Est-ce un nouveau rêve, une nouvelle illusion ? Il se pince, mais rien n’y fait, il reste prisonnier dans sa cage. Il est nu et découvre que son sexe est emprisonné dans une ceinture de chasteté. Il souffre car il se met à bander en étant dans cette situation. Par ailleurs, il se sent totalement écartelé par un énorme plug qui lui déchire l’anus.
 
Il observe aux alentours.
 
Il aperçoit une Femme dans son lit. Il la devine et reconnaît la Maîtresse de ses rêves. Ce n’est pas un rêve c’est la réalité.
 
Sa Maîtresse se lève, ouvre sa cage et lui serre les couilles à l’en faire s’évanouir. « Tu vois minou, ce n’est plus un rêve, c’est une réalité, tu es mon esclave maintenant. Lèche moi les pieds comme tu vas le faire chaque matin et chaque soir pour te rappeler ta place ».
 
Le minou s’exécute avec envie et précipitation, il porte maintenant un collier, bientôt il sera tatoué.
 
« C’est bien tu es un bon soumis, je vais te garder »
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Quel bonheur ! Quelle Félicité ! Enfin son rêve est devenu, réalité !!!
L'homme est heureux. Merci Père Noël.
 
Je vous vénère, Maîtresse !!

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Merci Le scribe !

Joyeuses Fêtes à toutes et à tous.

Que tous vos rêves puissent se réaliser !!

Mylady

 

Par Mylady - Publié dans : POEMES
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Vendredi 21 décembre 5 21 /12 /Déc 11:57
Ode à la nouvelle cravache de Maitresse Lia,
 
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Voilà ma nouvelle cravache
Vite, il faut que je sache
Viens là que je t'attache
Viens que je t'harnache
 
Ainsi tu vas la gouter
Sa force tu vas tâter
Je sais que tu vas hurler
Je sais que je vais adorer
 
Le cuir mord tes fesses
J'augmente encore la vitesse
Implores ta déesse!
Supplie que cela cesse!
 
Tu cries, tu pleures, tu te débats,
Pendant que la cravache s'abat
Je te flagelle avec fracas
Il faut bien cela pour te mettre au pas.
 
Baise ma main,
Celle qui tient l'engin
Et qui recommencera demain
Pour notre plus grand bien. 
undefined Merci à toi, le scribe de ces Dames !!!
Par Mylady - Publié dans : POEMES
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Mardi 18 décembre 2 18 /12 /Déc 23:20

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Le divin plongeon.
 
 
Quelle douce heure que minuit
Heure bénie à laquelle sur ce site j'ai amerri.
Votre blog, Mylady.
Je surfais sur la toile quand j'ai plongé dans Votre océan d'harmonie.
 
Les pages sont des vagues qui déferlent.
Elles ne contiennent que des perles.
Elles vous submergent et vous baignent
Vous emmènent et vous imprègnent.
 
On y parle soumission et domination,
ainsi que de séduction et de reddition.
Mais aussi de suprématie et de gynarchie.
Tout cela avec Amour, Entraide et Harmonie.
 
La main de fer des Femmes est partout ici
Elle pousse à l'obéissance les soumis
Ravis de ramper ainsi aux pieds de ces Femmes de pouvoir
Ils se plient totalement à leur bon vouloir.
 
Faisons durer cela jusqu'à l'infini,
Merci aux soumis,
Merci à Vos Amies,
Mille Mercis Mylady
Par Mylady - Publié dans : POEMES
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Lundi 17 décembre 1 17 /12 /Déc 09:11

POEME DU BONHEUR

 

On se persuade souvent soi-même que la vie sera meilleure après s'être marié, après avoir eu un enfant, et ensuite, après en avoir eu un autre...

Plus tard, on se sent frustré, parce que nos enfants ne sont pas encore assez grands et on pense que l'on sera mieux quand ils le seront.

On est alors convaincu que l'on sera plus heureux quand ils auront passé cette étape.

On se dit que notre vie sera complète quand les choses iront mieux pour notre conjoint, quand on possédera une plus belle voiture ou une plus grande maison, quand on pourra aller en vacances, quand on sera à la retraite...

La vérité est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux que le moment présent.

Si ce n'est pas maintenant, quand serait-ce?

La vie sera toujours pleine de défis à atteindre et de projets à terminer.

Il est préférable de l'admettre et de décider d'être heureux maintenant qu'il est encore temps.

Pendant longtemps, j'ai pensé que ma vie allait enfin commencer, ' La Vraie Vie! 'Mais il y avait toujours un obstacle sur le chemin, un problème qu'il fallait résoudre en premier, un thème non terminé, un temps à passer, une dette à payer.

Et alors la vie allait commencer ! ! ! !

Jusqu'à ce que je me rende compte que ces obstacles étaient justement ma vie.

Cette perspective m'a aidé à comprendre qu'il n'y a pas un chemin qui mène au bonheur.

Le bonheur est le chemin.

Ainsi passe chaque moment que nous avons et plus encore :

Quand on partage ce moment avec quelqu'un de spécial, suffisamment spécial pour partager notre temps et, que l'on se rappelle que le temps n'attend pas.

Alors, il faut arrêter d'attendre de terminer ses études, d'augmenter son salaire, de se marier, d'avoir des enfants, que ses enfants partent de la maison ou, simplement, le vendredi soir, le dimanche matin, le printemps, l'été, l'automne ou l'hiver, pour décider qu'il n'y a pas de meilleur moment que maintenant pour être heureux.

LE BONHEUR EST UNE TRAJECTOIRE ET NON PAS UNE DESTINATION !

Il n'en faut pas beaucoup pour être heureux.

Il suffit juste d'apprécier chaque petit moment et de le sacrer comme l'un des meilleurs moments de sa vie.

 

La source de ce poème est inconnue, il apporte de la chance à qui le transmet.

Ne le garde pas...

Donne-le simplement à tes amis à qui tu souhaites de la chance.

 

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Merci à Toi Lia, pour ce beau poème de vérité !!

 

Comment ne pas vous transmettre ce poème à vous tous, fidèles lecteurs ?

 

 

 

N’est-ce pas le meilleur moyen de nous porter chance ? ………..sourire 

Bonne chance à vous tous !!!

Mylady

Par Mylady - Publié dans : POEMES
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Mercredi 26 septembre 3 26 /09 /Sep 13:12

Lorsque Mylady décide de l’abstinence de son soumis

Il devra implorer et attendre, encagé.

Lorsque Mylady punit son esclave

Il ne peut que la remercier.

Lorsque Mylady décide de faire jouir sa chose

Il aura à éjaculer autant de fois qu’elle en aura décidé.

Lorsque Mylady décide d’attacher et de ligoter

Il lui faudra subir avec patience.

Lorsque Mylady veut faire mal

Il subira en silence ou pas mais il subira.

Lorsque Mylady a envie d'user de son gode-ceinture

L'esclave sera prêt à l'accueillir aussi longtemps qu'elle en aura décidé.

Lorsque Mylady décide

Il n’est rien d’autre à faire que de lui obeïr

Et de la remercier de nous avoir adressé la parole.

 

Fidèle


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Ce poème a su m’émouvoir,

Je tiens à le publier,

Nous ne nous sommes jamais rencontré,

Cela fait quatre ans que nous échangeons,

Fidèle à corrigé mon premier manuscrit,

Il connaît tout sur ma conception de l’art D/S

Le surnom que je lui ai donné

Il a su et sait toujours

 

LE MERITER

 

 Mylady

 

Par Mylady - Publié dans : POEMES
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Dimanche 26 août 7 26 /08 /Août 18:16

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SUPPLICATION

 

Poème de Mylady

 

 

Oh ! Ma Déesse

Ma Maîtresse

Mes yeux se baissent

Mes genoux s’affaissent

 

Je suis empli de dévotion

De vénération

De soumission

D’adoration

 

A vos divins pieds

Pour être châtié

Sans pitié

Mon dos est plié

 

Subir vos délices

De cuisantes cicatrices

Selon vos caprices

De tous vos sévices

 

Machiavéliques

Sadiques

Psychologiques

Physiques

 

Je vous supplie humblement

D’accepter mes tourments

Ma peur, mes tremblements

De m’emporter au firmament

 

Oh ! Ma Déesse

Ma Maîtresse

Mes yeux se baissent

Mes genoux s’affaissent….

 

Par Mylady - Publié dans : POEMES
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Mercredi 22 août 3 22 /08 /Août 02:15

La domination est un art  ;

La soumission une vertu  !

 

Je publie mon poème comme premier article, à vous de me faire part de vos commentaires !

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L’ART ET LA VERTU

Poème de Mylady

 

 

L’art de la domination est une vertu ;

La vertu d’une Dominatrice est tout un art.

 

On ne peut dominer qu’un être que l’on aime ;

On ne peut se soumettre qu’à un être que l’on vénère.

 

C’est un jeu sensuel basé sur le respect ;

Une complicité à part entière, cérébrale et physique ;

Les sensations obtenues sont à délecter.

 

La Dominatrice éprouve ce pouvoir de se faire donner du plaisir ;

Le soumis de lui offrir.

 

Le sentiment qui les unis est très profond ;

Il ne s’agit pas d’amour avec un grand A ;

Mais d’un sentiment bien plus ancré qui est l’Appartenance.

 

L’Amour peut être éphémère ;

L’Appartenance, elle, est une soudure ;

L’enchaînement de deux êtres consentants.

 

L’imagination qui les conduit à l’extase ;

L’amour de la sensualité extrême ;

L’érotisme atteignant son apogée.

 

La tendresse de la Dominatrice envers son soumis ;

La dévotion du soumis envers sa Maîtresse.

 

L’attente des caresses et des punitions ;

Le bon vouloir de les donner.

 

De se faire désirer pour l’une ;

D’en souffrir d’envie de l’autre.

 

Tous les sens sont en éveil ;

D’être possédé corps et âme ;

D’en disposer avec volupté et délicatesse.

 

L’espoir de l’acte d’honneur qui les unit ;

La virilité que démontre le soumis ;

La satisfaction de la Maîtresse, ravie ;

Une jouissance sans fin qui les emplit.

 

La fougue des gestes qui peuvent être tendres et durs ;

La perception des caresses et de la douleur.

 

Le désir de se libérer doit durer longtemps ;

Car l’apothéose n’explose que quelques courts instants.

 

C’est ainsi que je conçois l’art de la domination ;

Et mon soumis, la vertu de son adoration.

 

 

Par Mylady - Publié dans : POEMES
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