J’estime que ce message qui m’a été envoyé mérite d’être publié. Les pensées profondes aident à mieux cerner l’âme d’un homme qui rêve devenir esclave.

« Chez certains hommes, il y a le désir d'être l'esclave, tandis que chez d'autres, il y a le désir d'être le maître.

Cette décision repose probablement sur le caractère et la personnalité de l'homme en question et sur son développement sexuel.

Comme déjà évoqué, ma personnalité penche vers la soumission, sans compromis. J'ai le désir d'être esclave.

De plus ce n'est pas nécessairement un jeu: la sexualité est un lieu propice à l'expression des sentiments les plus profonds, des peurs, des angoisses ainsi que des fantasmes.

Cela me permet effectivement de les faire remonter progressivement à la surface.

Utiliser cette forme de sexualité permet d'obtenir un plus haut degré d'excitation et de satisfaction. Etre esclave, facilite ou permet l'abandon qui par la suite donne (parfois) lieu à l'orgasme.

Bien à vous,

Bonne journée »

Mais, trop souvent ces rêves qui se réalisent, ont tendance à s’estomper.

Quelle en est la raison d’après vous ?

POUR PLUSIEURS JOURS

J’ai longtemps hésité de vous faire partager ce délice, mais n’est-il pas logique de marquer de son initiale cet esclave qui vous appartient ?

Je ne suis pas adepte de celles qui sont irréversibles, mes raisons sont bien plus sadiques.

Un tatouage, un marquage quelconque ne dure que quelques instants, ils peuvent également causer d’autres problèmes en cas d’une rupture. Il ne s’agit pas d’être égocentrique à ce point, Mesdames !!!

Même si cette appartenance est pleinement consentie, d’être marqué pour la vie selon leur propre volonté, ne veut pas dire être inconsciente. Notre rôle n’est-il pas de penser pour ces esclaves ?

Par contre, ma méthode est bien plus jouissive et c’est avec un immense plaisir que je l’emploie. Une ancienne roulette à pâtisserie métallique attendait au fond d’un tiroir, elle attendait l’imagination fertile d’une Dominatrice.

Elle est merveilleuse d’efficacité, ses pointes fines entrent comme du beurre dans la pâte molle d’une fesse ou d’un dos bien dodu. Le malheur pour ce cher esclave est que l’initiale de sa Maîtresse demande à être marquée entre les omoplates. Qu’à cela ne tienne, il faut bien souffrir quand on l’aime…..

La fesse gauche

Toutes les heures, montre en main, il se voit obligé de lui présenter son corps, à genoux en guise d’offrande. Oh ! Douleurs exquises ! Oh ! Moments voluptueux de sévices !!

Pour repartir chez lui, fier de ses marques lesquelles tiendront plusieurs jours et lui donner cette envie irrésistible de retrouver sa roulette d’enfer.

Elles t’attendent toutes les deux !!!