Mercredi 22 août 3 22 /08 /Août 23:40

Cela peut faire sourire plus d’unes ou plus d’uns, mais à ce jour j’en suis fière et comblée. 

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Effectivement, les mâles ne pouvaient concevoir cette abstinence, ce don de soi, cette ultime abnégation envers leur Maîtresse, sans parler d’une preuve infaillible de fidélité. Le sujet fait parler beaucoup de soumis, ils en rêvent, ils en fantasment, par contre, de réaliser cette offrande reste une autre paire de manches.

L’histoire raconte essentiellement la chasteté féminine lors des départs en guerre des époux, leurs épouses n’avaient de choix et attendre leurs retours. Situation forcée et incontestable, contrairement à celle d’un esclave soumis et consentant de nos jours.

Plusieurs sites et forums permettent aux adeptes d’échanger leurs appréciations comme leurs appréhensions. La décision est lourde, elle ne se prend pas à la légère, avec et pour n’importe qui. L’âge n’est pas le facteur principal, comme on pourrait le présumer, ni la baisse d’une libido, loin s’en faut. La virilité est à son apogée, la preuve d’amour est au paroxysme envers sa Maîtresse.

La résolution est prise par l’esclave, la Dominatrice se doit d’être responsable de son dévouement et de préparer un rituel de pose qui marquera cette union comme une cérémonie. C’est sérieux, c’est profond, c’est beau. L’esclave offre sa chasteté, la Dominatrice l’accepte en tout état de cause. Le cadenas se referme, la clé est unique, elle orne la gorge de la propriétaire du fidèle captif. L’ambiance est émouvante, la tendre amie, Dominatrice également, conviée en tant que Marraine, pose les questions sacramentaires de cette alliance.

 

« OUI, JE LE VEUX »

« OUI, JE L’ACCEPTE »

 

Il est certain qu’une vie commune n’est pas à envisager, cela n’aurait aucun sens. Par contre d’être éloignés, l’un avec sa ceinture de chasteté l’autre avec la clé du trésor, les unit. L’esclave se sent possédé, dépendant, contraint, la Dominatrice heureuse, fière et comblée !!!

 

Cela fait quinze jours qu’ils sont séparés, comment se dérouleront les retrouvailles ??? 

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Par Mylady - Publié dans : CEINTURE DE CHASTETE MASCULINE
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Commentaires

Madame,

je serais fier de pouvoir un jour porter moi aussi une ceinture de chasteté; fier de vous appartenir, fier de vous offrir ma chasteté, fier de être à vous.
Paolo
commentaire n° :1 posté par : paolo le: 23/08/2007 à 10h05
Maitresse MYLADY,
ceinture de chasteté! une immense envie que ma Maitresse me refuse.... Comment lui faire accepter cet accessoire?
 Mes respects de soumis.
E&S propriété de MP:
commentaire n° :2 posté par : E&S le: 23/08/2007 à 19h11
oui maitreese je la veux la ceinture,etre votre soumis et realiser tous vos fantasme
commentaire n° :3 posté par : nico le: 23/12/2008 à 16h07
j'espère que ton appel sera entendu !!!

Bonne chance nico

Mylady
réponse de : Mylady le: 23/12/2008 à 16h11
bonjour maitresse comment pourais-je prendre contact avec vous?que vous puissez me soumettre a votre volonter et a votre corps...
commentaire n° :4 posté par : nico le: 23/12/2008 à 16h13
re bonjour nico,

Je suis navrée mais je possède mon soumis
Encore une fois, bonne chance à toi
Mylady
réponse de : Mylady le: 23/12/2008 à 16h22
il est 10 h 30, Maîtresse s'approche de moi, Elle est vêtue d'une belle robe rouge très moulante, bien que mon regard soit baissé je cherche à voir ce qu'Elle peut bien porter en dessous, mais aucune marque, je suppose qu'Elle est nue. . .

Elle accroche la chaîne autour de mon coup, ferme le cadenas, tire un peut pour m'intimer l'ordre de la suivre, nous descendons l'escalier qui conduit à notre cave voutée de pierres sombres, les escarpins de Maîtresse claquent sur la pierre, Elle ouvre la lourde porte de bois, nous entrons.

Maîtresse à soigné l'ambiance, seule deux bougies éclairent la noirceur du lieu.

Maîtresse me fait mettre nu, m'attache les poignets aux lourdes chaînes fixées aux plafond, me voici maintenu captif, mains en l'air en extension.

Je doit rester sur la pointes des pieds pour diminuer la tension sur mes poignets, le sol est froid, humide, c'est douloureusement sublime.

Elle bande mes yeux, la pâle lueur vacillante des bougies disparaît, me voilà dans la nuit, frissonnant d'excitation, je sens à présent la morsure des pinces sur mes tétons, puis le silence.

Je ne perçois que les mouvements de Maîtresse, que fait-Elle ?
j'entends le feulement de sa robe, je croît qu'Elle l'a laisser tomber sur le sol, Elle s'approche, à présent son souffle chaud effleure mon cou, puis Elle tourne autour de moi, caresse mon dos, mes fesses.

Maîtresse se frotte comme une chatte contre moi, je la sens nue, le velouté de sa peau, la chaleur de sa chair, la douceur de ses seins, la fermeté de ses mamelons, le soyeux de sa fine toison, c'est divin, comme ce contact est intense depuis tout ce temps privé de sa nudité, je ne peux la voir je la ressens, c'est encore plus intense plus excitant, Elle laisse trainer sa main sur mon bas ventre :

« Je voulais ôter ta cage, mais ton état me l'interdit, il va falloir mettre fin à cette vergogne, comment oses tu une telle arrogance sans y avoir été autorisé ? »

J'essaie de bafouiller une réponse, mais. . .

Un violent coup de cravache barre mes fesses, je pousse un cri, l'érection est toujours là, malgré moi.

Un deuxième coup, sur les cuisses cette fois, mais rien n'y fait, je bande encore. . .

Maîtresse m'assène des séries de dix coups sur les fesses, mon excitation est toujours là, Maîtresse joue entre caresses et violence, jusqu'à ce que mon pauvre derrière brûlant ne puisse plus encaisser le moindre contact et pour parachever cette leçon, Elle retire d'un coup sec les pinces sur mes seins.

Enfin Maîtresse ouvre le cadenas, libère ma verge calmée, je ressens la caresse de ces doigts fins, malgré la douleur déchirante qui me brûle les fesses, une agréable chaleur descend entre mes jambes, j'essaie de la contenir, en vain, je reprend de la vigueur :

« Laisse toi aller , aujourd'hui tu vas pouvoir te vider, tu as tenu quatre mois sans te plaindre, sans réclamer, je t'autorise une éjaculation, laisse venir ton plaisir, car ensuite tu retourneras sagement dans ta cage pour une durée . . .
de . . .
disons. . .
six mois. . .
qu'en dis tu . . .
je suis sure que tu en es capable ? »

Maîtresse sait bien qu'a présent ma chasteté agit sur moi comme une « drogue » dont je ne peux plus me passer, il y a deux années de cela mes périodes chaste duraient entre quinze jours et un mois, j'en étais fier, aujourd'hui je me demande jusqu'où je pourrai aller ?
c'est un plaisir, certes "masochiste", mais qui m'apporte une sorte de plénitude, un grand apaisement psychologique. . .
car cette contrainte me force à penser à autre chose, d'aborder la vie d'une manière plus féminine, Maîtresse m'aide dans cette voie et nos séances calme les moments difficiles.

Je progresse car ces séances sont de plus en plus espacées, qui sait peut être un jour deviendront-elle inutiles ?

Mais revenons au plaisir enfin accordé, Maîtresse me masturbe en maintenant mon vis tourné vers le bas, cette masturbation prends une dimension surréaliste, la tête me tourne, je suis suspendu à mes liens, je ne ressens que les caresses qui tendent mon corps entier vers l'extase, le plaisir est imminent, je demande l'autorisation de pouvoir éjaculer, Maîtresse me l'accorde, je me détends et en un éclair je me vide. . .
regrettant déjà tout ce temps de sagesse patiemment gagné et qui s'évapore en un si fugace instant, bien que ce moment soit voluptueusement intense, je ne peux m'empêcher de sentir une profonde amertume . . .

Puis c'est le silence, je suis anéanti, vidé, mes liens salutaires me retiennent, sans eux je me serai effondré au sol, tellement que la tête me tourne.

Ces orgasmes si rares prennent une dimension bien plus grande, plus forte,
plus fantasmagorique que ceux plus fréquent que je connaissais autrefois et qui finalement étaient banals, à présent les rares éjaculations auxquelles j'ai droit, prennent une certaine connotation sacré. Un instant cérémonial, magique, irréel.

Maîtresse ne dit pas un mot, me laissant savourer l'instant et en introspecter la dérisoire futilité.

Puis dans le silence de ma nuit imposée. . .

Je sens le rebord d'un verre qui force l'ouverture de mes lèvres, Maîtresse déverse son contenu dans ma bouche, je retrouve ce goût doucereux et salé, je bois ce qu'il m'a fallut retenir si longtemps, Maîtresse connait l'impacte de ce geste sur moi, comme si Elle voulait me faire comprendre tout le dérisoire de ma virilité, contenue dans cette petite dose de liquide visqueux et gluant, qui glisse à présent dans ma gorge, c'est peut être aussi une petite revanche où à notre époque vanille je souhaitais cette pratique de sa part, ignorant tout de son penchant pour le contraire, notre vie D/s aura été le révélateur de nos fantasmes respectifs, nous avons cherché 2 années à équilibrer un couple qui alors ne se comprenait qu'a moitié.

Me voilà, suspendus comme un pantin désarticulé à mes chaînes, vidé, regrettant déjà tout ces jours d'énergie débordante, il va me falloir patiemment réapprendre la servitude et la contrainte.

Les jours qui suivent ces vidanges, étant toujours assez difficiles, je me sent redevenir macho, irritable, je doit réapprendre l' obéissance et la douceur, qui sont partis comme envolées avec ce foutre qui laisse à présent en moi le goût amer des regrets, cette fois, c'est décidé je n'éjaculerai plus jamais. . .

Maîtresse me caresse m'embrasse dans le cou, puis profitant de l'état de flaccidité de mon sexe referme ma cage pour cette fois six mois, me dit-Elle.

Je tiendrais Maîtresse, je ne veux plus dépendre de ces plaisirs éphémères, qui modifient si profondément mon comportement, même s'il faut me faire violence pour canaliser mes désirs en énergie amoureuse à vous satisfaire, je sais qu' ensuite mon interdit d'orgasme me rendra si humble et si doux.

Me revoilà dans ma cage, dans mon refuge, à l'abri de mes tentations, cette délivrance bien qu'elle m'apporte un orgasme fulgurant et voluptueux et une fausse délivrance puisqu'elle me donne de très grands remords.

Maîtresse, ôte mon bandeau, bien que faible, la lumière m'aveugle. . .

Mais Maîtresse n'est plus nue, sa robe rouge cache de nouveau son corps que je ne suis plus autorisé à voir.

Elle me libère, nous nous embrassons, je la remercie et retourne à mes tâches.

Cette nouvelle cage m'aide à tenir longtemps car son fort ajustement décourage la plupart du temps mes érections et Maîtresse calme les plus fortes excitations par sa cravache, que je ne prends aucunement pour une punition, mais bien au contraire comme une fonction expiatoire de ces excitations mal à propos.

Voila je tenait à vous faire part de ce récitMylady  qui sait passer il y a déja plus de 15 ans ,et qui est en rapport avec votre sujet
humblement votre devoué
commentaire n° :5 posté par : ptit cuisinier le: 09/12/2009 à 02h00
La chasteté est en effet un outil, sinon l'outil principal, pour guider l'homme vers l'abnegation.

Elle l'aide avant tout à se protéger de lui-même en l'aidant à faire abstraction de son ego, mais aussi à faire découvrir ces émotions si fortes qui sont en lui et que le mâle maintenant "muselé" l'empêchait de vivre.

Bravo pour vos écrits.

lui
commentaire n° :6 posté par : lui le: 10/03/2010 à 20h55

Bonjour Madame ça doit être un plaisir d'avoir un accessoire de chastreté en sachant que la clé est entre vos deux seins

commentaire n° :7 posté par : Christian de Clermont Ferrand le: 19/07/2011 à 13h53

Cela a commencé il y a 4 ans.Lorsque ma femme m'a surpris a essayer sa robe de marie.Elle rigola etse geta sur moi je tombais a la renverse sur son fauteuil d'oscultation gynecologique e n un eclair j'ai eu les mains et les chevilles entravées en suite elle referma sur mon coup un colier en acier rivé au fauteuil ell me mit une cagoule en cuir sur la tete je ne voyais plus rien d"un seul coup je senti une brulure intense sur le sex elle venait de me faire un percing prince albert ensuite elle me posat un anneau de controle avec picots interne et par dessus me mis la CB et passat dans les troux de ma verge une tige en plastque et elle fit fondre l"extremite comme cela ça forme un rivetage comme les autres verouillage maintenant on ne peut plus me liberer .En suite elle me fit une epilation total un maquillage permanent .Elle m'operat des seings et me posa des protheses mamairesau bout de 8jours je fus libere du fauteuil je dus enfiler des bas resilles et des bottes cuissardes a talons aiguilles de 40 cm de haut elle me mit un corset et apres un an de traitement je me suis retrouvé avec les mensurations suivante 90 38 90 BONNETS E depuis j'ai des cheveux d'un metre 50 de long et je suis teint en blonde .Je suis habillé avec des vetements de femmes en cuir lorsque je dois aller faire les courses je porte une boorka integrale maintenant j'ai des prcing aux seings nombril oreilles langue enfin j'en ai 150Un crochet d"anus m'a ete mis en place ce qui lui permet de me suspendre  Voila mon sort pour avoir voulu savoir ce que cela faisait de porter une robe de mariee

commentaire n° :8 posté par : chanembaut le: 27/08/2011 à 22h40

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