Un des visiteurs de mon blog me fait part de son désir de porter une ceinture de chasteté mais sa Maîtresse lui refuse cette immense joie de lui prouver ce don de soi. Il me demande comment lui faire accepter cette preuve de fidélité. 

Je pense qu’il serait judicieux de lui faire lire mes articles concernant ce sujet, surtout celui qui suit.

Il y a trois semaines que ce rituel a eu lieu. Souvenez-vous de cette immense joie éprouvée par la Dominatrice d’une part, de sa chère amie en tant que témoin, d’autre part et de l’homme qui offre sa chasteté. Ils ne se sont pas revus depuis ce jour, mais tous les soirs il est fier de montrer le port de sa ceinture à sa Divine via la web cam. Fierté partagée, satisfaction pour l’une et preuve d’appartenance pour l’autre.

Il ne s’agissait pas de le libérer dès son arrivée. Dîner au champagne, bavardages de choses et d’autres, elle fait durer le supplice. Quelles sont les espoirs de l’esclave ? De pouvoir être caressé pour éjaculer enfin ? D’être obligé de se masturber devant elle ?

Mais le sadisme de la dame la pousse à lui faire subir d’autres délices afin que sa verge, toujours encagée, gonfle au point de souffrir de ne pouvoir disposer de place pour une érection tant espérée. La déception est telle que le supplicié calme ses élans, c’est à cet instant que la Maîtresse s’empare de la clé ornant le collier autour de son cou pour ouvrir le cadenas.

Quelle belle libération ! Quelle magistrale érection ! Quel bonheur !!!

Mais tous les espoirs s’envolent, car le machiavélisme de la dame atteint son apogée. Il n’est plus question de jouir, elle lui plante ses ongles dans cette verge laquelle n’a jamais atteint une telle érection de sa vie d’esclave. Cependant, même sous la douleur insoutenable, elle gonfle encore et encore….. Puis ?

-        Il est temps de dormir, monte dans ta couche que je t’y attache chevilles et poignets pour la nuit !!

Si vous lisez ce récit, je peux vous assurer, chère Consœur, qu’une telle satisfaction est inoubliable.

Mon esclave est reparti, encagé, en se demandant ce que je lui réserve pour sa prochaine libération. Vous ne pouvez vous imaginer combien vous seriez comblée de la dépendance de votre soumis.

Pour ma part, je le suis !!!