Voici donc la suite en ce qui concerne la théâtralisation de mes "séances".

Comme je l’indiquais, je vais commencer par le « pourquoi », avant le « comment ».

Comme beaucoup d’hommes, le mien est troublé par l’image d’une femme vêtue de cuir et chaussée de bottes à talons hauts. La lecture d’ouvrages sur la psychologie et la sexologie m’a ouvert les yeux sur les raisons et surtout… les moyens pour parvenir à prendre le pouvoir.

Je me suis donc fait offrir innocemment une superbe paire de cuissardes en cuir noir.

J’ai commencé à découvrir le plaisir de me les faire lacer à mes pieds, puis d’éprouver ce sentiment de supériorité face à mon homme, muet d’admiration et subjugué par cette image. Je me sens toute puissante devant lui qui subitement devient un peu plus petit que moi avec la hauteur des talons de mes cuissardes.

Lorsque je désire le punir ou envisager une séance de dressage, je l’attache au moyen de cordes, menottes et/ou de chaînes, selon mes envies. Puis je m’isole pour me préparer en m’habillant sexy selon mon humeur, enfilant mes cuissardes, me maquillant, me parfumant,… bref en prenant surtout tout mon temps. Je sais que son impuissance, en l’obligeant de m’attendre dans une position inconfortable (j’y veille scrupuleusement), le fait souffrir un peu, mais cela m’amuse et me plaît.

Parfois, j’éclaire la pièce au moyen de bougies, ce qui créé une certaine atmosphère, surtout si je décide d’opérer dans le sous-sol de la maison équipée discrètement pour ça.

Par contre, pas la moindre musique d’ambiance car j’apprécie le silence qui me permet d’entendre le moindre bruit, comme sa respiration qui change, ses gémissements, le claquement de la cravache sur sa peau nue,…

Toute cette mise en scène casse le côté répétitif de ces séances et me plonge dans l’extase.

Aliénor

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Je te remercie de ce merveilleux récit dans lequel transparait ton immense plaisir de dominer ton époux.

Je t'en félicite, chère amie.

Mylady