Lundi 28 avril 1 28 /04 /Avr 12:13
 

Claude a hâte de rentrer chez lui, la journée a été particulièrement stressante et fatigante. Il va pouvoir enfin retrouver sa chère épouse – qui est parfois aussi, de temps à autre, sa Maîtresse, et dans ces cas là pas particulièrement douce –

 

-        Bonsoir ma chérie, comment vas-tu ce soir ? moi je suis crevé…

-        Et moi je suis en colère, alors tu te mets en tenue et en place pour une punition bien méritée !!

-        Une punition, qu’ais-je donc fais ??

-        Tu sais que tu n’as pas à poser ce genre de questions idiotes.

-        Oui Maîtresse, vous avez raison, je vais me préparer.

 

Il devient Didou, le soumis, tout en se déshabillant il s’interroge sur la ou les raisons de la colère de sa Divine épouse. Il a beau chercher, il ne trouve rien, ses idées s’entrechoquent, son cœur bat à 100 à l’heure, il panique. Que faire ? S’excuser ? Mais de quoi ? Il range soigneusement ses vêtements, inutile de s’attirer encore les foudres pour le désordre… Il semble que l’atmosphère soit suffisamment à l’orage comme cela !

 

-        Didou !! je t’attends

-        Oui Maîtresse je suis prêt.

 

Didou va s’incliner sur le fauteuil qui est le lieu privilégié de ses punitions. Il enfonce sa tête dans les coussins, offrant ses fesses à l’ire de sa Maîtresse. Il n’ose même pas poser la question qui le taraude : pourquoi suis-je puni ?? Mais après tout la question est inutile, Sa Reine a décidé de le punir, elle a ses raisons, ELLE A RAISON.

 

Habituellement elle le punit en le laissant libre de ses mouvement, mais cette fois elle fixe ses bras sur les accoudoirs du fauteuil et ses chevilles aux pieds du meuble.

 

Un silence angoissant plane, Didou est tenté de tourner la tête pour voir ce qu’ELLE lui prépare, il se retient, il va bientôt le savoir. Il se concentre, essaie de faire le vide dans son esprit, n’être plus qu’un objet, disponible, pour sa Déesse. Soudain il sent un mouvement derrière lui ELLE est là, sa main glisse sur ses fesses, vers son anus, un doigt s’introduit, doux, frais, certainement enduit de gel. La sensation est si agréable, il se détend, c’est bon.

 Puis dans un seul mouvement le doigt se retire et est remplacé par ce qu’il sait être un plug, certainement le plus gros de la collection de sa Maîtresse. L’invasion brutale lui tire un gémissement, il a très mal.

 

A nouveau le silence…. Il craint le pire ! Un frôlement … et d’un seul coup une terrible cinglée lui déchire les fesses. Le martinet est entré en action, les coups pleuvent, se succèdent d’abord sur ses globes qui doivent être écarlates compte tenu de la force employée, il a l’impression d’être en sang… Un petit temps d’arrêt puis les morsures du cuir s’attaquent à ses épaules, son dos, ses reins, les pointes brûlantes s’insinuent jusque sur la peau plus tendre du ventre. Il gémit, se mord les lèvres pour ne pas crier.  C’est le tour des jambes maintenant et la douleur s’accentue à l’intérieur des cuisses, un dernier coup donné de bas en haut vient mordre son sexe, ses testicules, cette fois il ne peut retenir un cri de douleur.

 

-        Tu sais que je ne veux pas que tu cries !

-        Oui Maîtresse, mais j’ai eu trop mal ce cri m’a échappé. Pardon, pardon.

 

Le calme est revenu. La punition doit être terminée, elle a été très dure cette fois. Si au moins il en connaissait la raison ! Pourquoi ne le détache-t-elle pas ?

 

-        ton cri doit être puni. Tu vas compter les coups à voix haute. Je suis gentille, il n’y en aura que 10.

-        Merci Maîtresse.

 

Didou attend à nouveau le martinet, ses fesses brûlantes en tremblent d’avance, des frissons courent sur tout son corps, un tremblement nerveux l’agite. Et le premier coup arrive, ce n’est pas le martinet, mais la cravache, son 1 est un cri, il a l’impression que ses fesses sont ouvertes, le 2 suit immédiatement, les suivants sont rythmés comme par un métronome. Il n’en peut plus !les larmes coulent et détrempent le coussin dans lequel il essaie d’étouffer ses plaintes. Il hurle enfin le 10. Il s’écroule, s’il n’était pas attaché il serait répandu sur le sol aux pieds de sa Maîtresse, comme une flaque d’eau. Il attend, il ne sait plus quoi, il ne peut même plus penser, tout son corps est douleur, il est certain que ses fesses sont déchiquetées, sanguinolentes !

 

Sa Maîtresse le laisse là, abandonné, seul avec sa souffrance et ses questions…


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Merci Lia pour ce magnifique récit. Celui-ci confirme la
parfaite maîtrise de ton "art de vivre"
J'espère  qu'il sera apprécié autant par nos consoeurs
que par leurs compagnons soumis.

Je t'embrasse.

 

 

Mylady 

 

 

 

 

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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