Le prend aujourd’hui mon bâton de pèlerin afin de venir à vous.

Le parcours d’un homme souhaitant vivre en état de soumission est loin d’une partie de plaisir.

Je ne reviendrai pas sur les nombreuses propositions malhonnêtes (car c’est bien ainsi que nous devons les définir) de ces pseudos-dominas (comprendre : femmes désirant arrondir leur fin de mois) qui nous proposent des relations virtuelles ou en séances. (sic)

Le fait de vouloir passer de sa fantasmagorie en une pleine réalité, demande une certaine dose de travail sur soi, être certain que cela est bien ce que nous désirons vivre pleinement (et de son plein gré). Cela  ne prend pas cinq minutes même après avoir lu Freud et avoir compris que tout est sexe dans ce monde, bien qu’essayer d’expliquer cela à votre percepteur, je en suis pas certain du résultat (lol). 

De plus, pour ma part, rien ne me ferait plus plaisir que de partir dans cette aventure sans espoir de retours, mais voilà…

Une fois ce pas franchit, nous serions a même de croire que le pas le plus difficile vient d’être franchi ! Fichtre non ! Loin de là !

Après quelques mois de recherche, j’en viens à me demander si je ne suis pas entrain de rechercher la quadrature d’un cercle ? Cette image de la  femme désirant programmer un homme en une simple chose à son service pour son simple et unique  bonheur, n’est-elle pas l’œuvre du même poète qui  jadis décrivit Londres sous un soleil tropical ?

J’ai fais un rêve aurait-put être le titre de ce pli mais il me semble que quelqu’un m’a précédé (lol) comme quoi, bien avant Obama certaines personnes ont su marquer l’histoire des états unis ainsi que le reste du monde…

Je fais le rêve de trouver cette femme capricieuse, injuste, dure, qui aura du plaisir à être choyée, servies que ses yeux s’empliront de lumières lorsqu’elle s’amusera à travailler le corps de son soumis sans aucune retenue. Cette femme qui ne voudra voir en moi qu’un objet moins qu’un animal et qui sera me faconner entièrement à sa guise.  Sa tache sera ardue,  mais quel challange ne trouvez-vous pas ?

Bien à vous,

Eric V.