Mercredi 28 janvier 3 28 /01 /Jan 01:20

L’heure du déjeuner avait enfin sonné et il se rendit à la cantine avec son nouveau collaborateur avec qui il partageait le bureau. Les échanges furent courtois mais, ne se connaissant pas bien encore, ils discutèrent de choses banales quant à leurs origines et parcours respectifs. A la fin du repas alors que les relations commencèrent à se détendre, il lui posa une question : « Et que penses tu de notre chère responsable ? » et il lui répondit assez vivement et à voix basse, en jetant un œil aux alentours: « fais gaffe de ne pas parler de Mademoiselle K., dans ces termes et aussi fort...Ici Elle fait la pluie et le beau temps, car je ne sais pour quelles raisons, mais elle a toujours l’appui de la Direction, donc je te conseille de faire profil bas avec Elle et de faire au mieux ton travail, dans les meilleurs délais, si tu souhaites avoir un avenir dans la boutique ». Il était cinq minutes avant la reprise et il vit passer Mademoiselle avec, semble t il un membre de la Direction, vu son âge et sa tenue. A cette arrivée, la cantine se vida et tout le monde rejoignit rapidement son poste de travail.

Suite à la discussion de ce matin, le jeune homme pensait passer l’après-midi en présence de la DRH, mais tel ne fût pas le cas. Vers 17H00, après avoir lu de nombreuses procédures sur le système ISO de l’entreprise ainsi que sa fiche de poste, il décida de quitter l’entreprise et de rentrer chez sa mère. Au détour du couloir, celui-ci croisa le chemin de la DRH qui immédiatement le stoppa et lui fit la remarque suivante : « Tu as pris ton après midi ou quoi ? » De nouveau, se sentant bien faible devant cette Dame, il bafoua quelques mots et celle-ci y mis court aussitôt : »Demain, je  veux te voir à 7H00 tapante dans mon bureau, pour que je puisse commencer à t’expliquer ce que j’attends de toi Bruno. » Il ne répondit que par : « bien Mademoiselle K. ». « Heu tu n’oublies pas quelque chose Bruno ? », « Quoi Mademoiselle K. », « La politesse, tu connais ? Tu pourrais me souhaiter une bonne soirée, c’est un minimum... hé bien toute une éducation à refaire, je vois ». Le jeune homme ne pût répondre : « Bien Mademoiselle, je serai à l’heure et je vous souhaite une bonne soirée ».

Le jeune homme rentra par le bus, tranquillement chez lui et en arrivant se précipita et s’enferma dans sa chambre, sans dire un mot à sa mère, qui en fût toute surprise car elle s’attendait à un récit détaillé de sa première journée. Couché sur son lit, les yeux fermés, le jeune homme se donnait du plaisir solitaire en repesant à cette Divine Mademoiselle K. et sa jupe droite en cuir. Il eut un orgasme foudroyant et eut quelques minutes avant de reprendre totalement ses esprits. Cela fût tellement fort, qu’il n’avait plus conscience du monde extérieur, et notamment que sa mère tapait à sa porte pour savoir s’il allait bien. Il répondit laconiquement que oui, que la journée s’était bien passée mais que le travail était harassant et qu’il avait besoin de se reposer un peu avant de descendre dîner.

La soirée se finit par un repas léger et il prit la direction de sa chambre et s’endormit rapidement. Ses songes le conduire à se retrouver aux pieds de Maîtresse KEISSLER, et à la servir comme son secrétaire particulier.

Le lendemain matin, le jeune homme se réveilla vers 5H30 pour ne pas être en retard selon les instructions que lui avait données Mademoiselle K.. Il se rasa de très près, mis sa meilleure eau de toilette. Le pauvre, il avait dans la tête de séduire Mademoiselle K., si elle se doutait...

Malheureusement pour lui, il dût attendre plus longtemps le bus qu’il ne l’escomptait, car il n’avait pas pensé que la circulation à cette heure matinale serait réduite. Ce qui devait se produire arriva...Sa montre affichait 10 minutes de retard déjà lorsqu’il descendit du bus. Il se précipita vers les portes de la société, mais aperçut avec horreur Mademoiselle K. dans l’entrée, qui trépignait d’impatience. Il n’eut pas le temps de voir sa tenue, car aussitôt il regarda le sol en marbre de l’entrée. Mademoiselle K. lui fit réprimande sur son retard et lui demanda de le suivre immédiatement dans son bureau. Dans l’ascenseur sans un mot, les yeux tournés vers le sol, il pût apercevoir les magnifiques escarpins dont Mademoiselle K. avait orné ces pieds.

Dans le bureau, Mademoiselle K. lui présenta son travail de façon précise. Il était envouté par son parfum et par moment il avait l’impression qu’elle l’effleurait très sensuellement lorsqu’elle lui transmettait un document, où lorsqu’elle se plaçait derrière lui pour lui expliquer  un autre... Le jeune homme était très excité et il essayait tant bien que mal de cacher sa protubérance, mais soudainement elle lui dit : « Je te fais de l’effet Bruno, on dirait... ». Le jeune homme se mit à rougir et dit : « non Mademoiselle K., avec beaucoup de trouble dans la voix » et elle poursuivit : « ha bon, je ne te suis pas désirable, tu ne me trouves pas à ton goût ? Alors comment expliques-tu la bosse que je vois poindre sous ton costume ? « Aussitôt le jeune homme fort gêné par cette remarque croisa les jambes... ». A la vue de ce réflexe, Mademoiselle K., lui demanda fermement, pour ne pas dire ordonna, de décroiser les jambes car pour une femme, il n’est jamais désagréable de voir qu’elle reste désirable, même pour un jeune puceau. Le jeune homme se demanda aussitôt comment elle pouvait connaître un point si intime de sa vie, et Mademoiselle K. perçut immédiatement le fon de sa pensée, comme si elle pouvait lire dans ses pensées : « Il n’y a rien d’étonnant à cela Bruno, tu habites chez ta mère, tu baisses les yeux devant les femmes... ». Elle esquissa un large sourire et rajouta : «  mais je dois dire que tu ne me laisses pas non plus indifférente Bruno.. ». A ces paroles, Bruno eut une érection extrême et Mademoiselle K. recentra aussitôt le débat : « Mais bon cette discussion n’est pas l’objet de la réunion de ce jour, remettons nous au travail ». La réunion de travail se déroula plus sagement qu’elle n’avait commencé. Mais Bruno était fort troublé par tout cela. Cependant à la fin de la réunion, Mademoiselle K. lui dit : « Bon nous avons bien travaillé Bruno, n’est ce pas ? », « oui Madame, pardon Mademoiselle ». « J’aimerais faire plus amplement connaissance avec toi, demain nous sommes Samedi, je t’invite à prendre un verre demain midi chez moi.... »

Dring Dring, le réveil sonna, Bruno s’éveilla sur une nouvelle journée de travail. Son rêve avait été fort agréable, mais il devait se préparer pour se rendre à son travail. Ce travail si pénible sans aucun avenir dans son petit costume gris, triste comme sa vie. Et il pensa : « Ah si je pouvais rencontrer une Dame comme Mademoiselle K.… »


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Très belle chutte qui nous aura tenue en haleine, harri !!!!
Mais tu as eu raison de t'exprimer, il fait si bon rêver !!!

Encore toutes mes félicitations, je t'encourage de poursuivre dans cette voie.
Mylady

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Commentaires

Bonjour,
Bravo pour ce superbe récit, moi qui étais prèt à changer de boiulot je vois qu'il ne s'agissait que d'un rêve.
Au plaisir.
commentaire n° :1 posté par : Sidore le: 28/01/2009 à 20h25
Merci Hari, un beau récit car nous avons beau avoir tous ce genre de fantasmes et de rêves, pas toujours facile de le mettre par écrit et que la lectue en soit agréable et captivante...Bravo
commentaire n° :2 posté par : Luc67 le: 29/01/2009 à 15h41

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