Jeudi 12 février 4 12 /02 /Fév 23:38

Ma chère Mylady,

Voici la fin de l’histoire. Pour faire plaisir à nos lecteurs je veux bien que tu la fasses paraître sur ton blog. Mais c’est la dernière histoire de LIA. Encore merci à toutes et tous de vos commentaires d’encouragement.


 

 

LA BOUTIQUE  - suite 3

 

Madame M. précise à ses amis :

-        C’est yves qui nous offre le champagne !

Rougissant yves débouche la bouteille adroitement et remplit les coupes avec précaution, alors qu’il contourne la table basse pour servir Madame D. celle-ci  lui décoche discrètement un coup de pied dans la cheville. Surpris yves fait un faux mouvement et verse quelques gouttes à côté du verre. Madame D. prend un air courroucé pour signaler à son amie :

-        il est très maladroit ton nouveau soumis, vois ! il a versé à côté. Tu vas avoir du travail pour le former à un service correct.

-        Je vous prie de bien vouloir m’excuser Madame, j’ai eu un geste un peu trop brusque en effet.

Madame M. le foudroie du regard, et lui promet que cette faute ne restera pas impunie.

d. tente de faire diversion en présentant un plateau aux Maîtresse, afin de laisser le temps à yves de se reprendre. Celui se jette aux pieds de ces dames en renouvelant ses excuses et promettant de faire plus attention à l’avenir.

-        Nous acceptons tes excuses mais cela ne te dispensera pas de la punition ! nous en reparlerons tout à l’heure.

-        Je suis à vos pieds Mesdames, vous faites de moi ce que vous voulez…

En jetant un coup d’œil aux fesses rougies de d. Madame M. interroge son amie, sur les raisons de cette récente correction.

-        j’allais justement t’en parler, car cela te concerne directement. Figures toi que ce matin il m’a demandé s’il n’y avait pas possibilité d’éviter de venir ce soir - du travail parait-il - et il m’a aussi avoué qu’il craignait ta sévérité car tu trouves toujours une raison de le punir quand nous venons. Un tel aveu m’a mise en colère comme tu peux l’imaginer, et je lui ai appliqué immédiatement 20 coups de cravache pour mon compte personnel, en lui précisant que je te laisserais le soin de te faire justice toi aussi, à ta guise.

Madame M. rougit de colère pendant que d. penaud baisse la tête, s’agenouille devant elle et lui baise les pieds.

-        pardon Madame, je ne sais ce qui m’a pris de proférer de telles horreurs, vous savez bien que je vous apprécie, et vos punitions sont toujours amplement méritées.

-        Celle que tu recevras tout à l’heure sera à la hauteur de l’insulte que tu m’as faite ! Tu peux trembler… !

-        D’ailleurs emmènes immédiatement yves dans la pièce du haut, et préparez vous !

Yves se demande bien ce qui l’attends, celle qu’il appelle déjà en lui-même sa Maîtresse a l’air très en colère. Cela ne va sûrement pas arranger sa punition.. Il en veut un peu à d. d’avoir ainsi provoqué leur hôtesse, mais il a conscience également que celui-ci va le payer au prix fort.

Ils prennent un petit escalier très raide au fond de l’appartement, qui doit probablement accéder au grenier, ce qui est le cas, mais dans une partie du grenier a été aménagée une pièce fermée, que d. connaît bien puisqu’il sait où trouver la clé, glissée sur une poutre. La porte ouverte, yves découvre un véritable donjon, avec des chaînes fixées aux poutres, une croix de St André, un chevalet  et pas mal d’instruments de punition sur un meuble : cravaches, martinets, badines, pinces, godes etc..  Il frissonne rien qu’à la vue de tout ce matériel, il ne sait plus si c’est de peur ou d’envie. Ses rêves les plus fous sont en train de se réaliser, et il se demande s’il a vraiment bien fait de s’engager dans cette aventure.

 d. interrompt ses réflexions en lui rappelant qu’ils doivent se préparer, c'est-à-dire se mettre nus, et qu’ils ont intérêt à se dépêcher s’ils ne veulent pas accroître la colère de ces dames que l’on entends bouger en dessous, elles vont arriver !!

Lorsque les 2 amies font leur entrée dans la pièce, ils sont tous les 2 nus, à genoux, les mains dans le dos, les yeux baissés. Les yeux de Madame M. lancent toujours des éclairs lorsqu’elle se saisit de d. et l’attache bras en l’air à la poutre, puis lui fixe une barre d’écartement aux chevilles. Il est ainsi tendu au maximum. Elle installe, toujours sans un mot, yves à plat ventre sur le chevalet face à son compagnon.

-        yves tu vas assister à la punition d’un soumis qui a commis une faute très grave. Que cela te serve de leçon si tu souhaites toujours après cela m’appartenir. Sa punition va se faire en 2 parties, et la tienne tiendra lieu d’entracte.

-        D. je viens de recevoir un bel instrument ! un fouet arabe, que je n’ai pas encore testé, je vais l’essayer sur toi, j’ignore les dommages qu’il peut causer exactement, et comme je suis en colère je vais frapper fort. Tu en recevras 50 coups en 2 séries de 25, et tu devras annoncer les coups. Je m’occuperai d’yves entre les 2 séries.

Madame M. va chercher le fouet en question, noir, long et fin, et le présente à d. qui pâlit en le voyant.

-        Madame, je vous demande encore pardon, et je vous fais confiance pour ne pas être trop dure avec cet instrument qui me terrorise.

-        Il fallait réfléchir avant de faire une telle demande à ton épouse. Tu savais parfaitement qu’elle m’en parlerait ! tant pis pour toi…

Elle tourne un peu autour de lui le caressant du bout du fouet, de longs frissons font onduler la peau du malheureux, sur le front duquel brille une fine sueur . Madame D. s’est installée sur un petit sofa et regarde la scène avec une lueur étrange dans le regard. Elle attend visiblement avec une impatience mêlée d’un peu d’appréhension la correction que va subir son mari.

Madame M. recule d’un bon mètre derrière d.,  son bras se tend, le fouet se déroule comme mu d’une vie propre et vient cingler les fesses tendues, qui tressautent sous l’impact. Un dit-il d’une voix blanche. Les coups se succèdent sur les fesses, le dos, les cuisses, la longue tresse s’enroulant autour du torse pour achever parfois sa course sur les seins et le ventre où les traces prennent vite une teinte violacée. d. s’efforce de rester stoïque, mais des gémissements lui échappent parfois. Yves regarde ce spectacle, le cœur battant la chamade ; pourrait-il supporter un tel traitement ? il en doute, n’ayant aucune expérience. Le 25 haletant de d. accélère encore ses pulsations. Ca va être son tour. Il a envie de supplier qu’on le détache, qu’on le laisse partir. Seul un reste d’orgueil le retient de crier sa peur.



A suivre ...........

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Merci à toi ma chère Lia, cela aurait été dommage que nos lecteurs ne puissent connaitre la suite et la fin de ton merveilleux récit.

Je t'embrasse
Mylady
Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Commentaires

chère Lia
merci de nous avoir donné a lire la suite
merci de votre jolie plume et de vos déliceux mots .....;

encore encore ............ s'il vous plait Lia

C
commentaire n° :1 posté par : caroline le: 13/02/2009 à 14h18

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