Mardi 22 septembre 2 22 /09 /Sep 16:59



Après l’avoir laissé un instant reprendre ses esprits, elles le libèrent du carcan, puis elles l’entraînent à nouveau, lui font lever les bras et l’attachent dos à un pilier, le froid de la pierre lui semble un cadeau sur ses fesses endolories. Que lui réservent-elles encore. Elles ne l’ont pas encore assez fait souffrir ?

Il sursaute lorsque des doigts viennent pincer et tordre ses tétons, longuement, il aime assez cette douleur que lui prodigue souvent sa dame, elle a pour effet de provoquer chez lui une belle érection, ce qui ne tarde pas malgré ce qu’il vient de subir auparavant. Elle lui pose ensuite des pinces qui font très mal, il n’a jamais eu aussi mal avec des pinces, mais il ne peut voir desquelles ils s’agit, il ne peut que subir. Il reste un moment ainsi, il ne sait pas ce qu’elles font, elles parlent à voix basse à l’autre bout de la pièce. La douleur finit par avoir raison de son érection, elles sont horribles ces pinces. Les voici qui reviennent et Sylvie prends la parole :

-        jim ta Maîtresse trouve que tu as du mal à maîtriser ta sexualité et que tu te masturbe un peu trop souvent à son goût. Tu devrais savoir que ton plaisir ne peut venir que d’Elle, et que tu n’as donc pas le droit de te caresser sans son autorisation.

-        Oui Maîtresse, vous avez raison, je vous promets que je ne le ferai plus sans sa permission à l’avenir.

-        Nous allons t’y aider. Madame Lydie a acheté une cage de chasteté que nous allons te poser et que tu garderas aussi longtemps qu’elle ne l’ouvriras pas.

-        Oh Mesdames ! jamais elle ne m’a parlé de cela.

-        C’est une petite surprise que je te fais mon cher jimmy, tu devrais m’en remercier.

-        Merci Madame, c’est un cadeau dont je me serais volontiers passé, mais que j’accepte puisque c’est Votre volonté

-        .

Les deux femmes s’emploient à lui fixer la CB, il voudrait pouvoir les regarder faire et regrette d’avoir les yeux bandés, il est tellement concentré sur ces mains qui s’agitent autour de son sexe, qu’il ressent moins ses douleurs. Enfin elles ont terminé et se réjouissent de l’avoir ainsi condamné à l’impuissance. Lydie se décide enfin à lui enlever son bandeau et il peut voir l’engin en plastique qui moule désormais son pénis. Des tas de questions se posent à lui, mais il se dit que sa Dame saura probablement lui apporter les réponses. Soudain il lui revient qu’il va passer la semaine dans cette maison, qu’il va retrouver sa cage et la détresse l’envahit à nouveau. Il voudrait tant pouvoir se blottir contre sa Maîtresse, qu’elle lui explique ce qu’il doit faire, comment vivre avec cette chose.

Au lieu de cela, elle lui enlève les pinces sans aucune précaution, lui tirant des cris, le détache, et toutes deux le ramènent dans la cage, en l’informant qu’elles vont aller déjeuner, que pierre lui amènera sa pitance. Il s’étends à plat ventre sur le matelas pour éviter d’appuyer sur ses fesses. Mais ce n’est pas possible non plus, ses tétons sont trop sensibles et la cage le gène. Il ne lui reste que la position sur le côté, il est si fatigué…  il somnole un peu, et sursaute quand pierre lui apporte une gamelle de soupe de légumes, et du pain. Il a un petit regard amusé en voyant la cage.

-        Toi aussi tu y as eu droit. J’en ai une aussi ! bon appétit.

-         

Jim se sent un peu moins seul de savoir que pierre porte également une telle chose. Il mange avec appétit son frugal repas, puis refait un petit somme qui lui redonne quelques forces. Il s’interroge sur ce qui l’attends encore. En milieu d’après midi pierre revient, ouvre la cage, le détache et le prie de l’accompagner. Ils remontent, pierre le conduit dans une salle de bain, lui conseille de prendre une douche et lui remet un tube de crème à passer sur ses fesses. Jim, un peu surpris, s’exécute avec plaisir, ça fait du bien l’eau chaude sur son corps meurtri, après s’être séché la pommade le soulage encore un peu plus. Il remet son uniforme : string et collier, et attends. Pierre vient très vite le rechercher et le conduit dans le salon où l’attendent Sylvie et Lydie, elles le prient de venir devant elles, le font tourner pour regarder ses fesses bien quadrillées et se moquent de lui : encagé par devant et grillagé par derrière. Il s’agenouille devant elles et les remercient de cette punition qu’il reconnaît avoir méritée. Lydie le regarde avec un mélange de tendresse et d’ironie.

-        Jim, tu as raison de nous remercier de t’avoir puni. Les punitions forment les soumis, et je suis fière de toi, tu as vaillamment supporté les épreuves de ces 2 journées.

-        Merci Madame, je suis si heureux de vous avoir ainsi fait plaisir, c’est une récompense qui me fait oublier tous les mauvais moments.

-        Alors tu vas avoir une plus belle récompense encore, car nous allons repartir ensemble. Je t’ai imposé cette épreuve pour voir si tu étais capable d’accepter et de subir. Tu as passé le test honorablement.

-        Nous nous arrêterons dans un petit hôtel où j’ai réservé, et nous y passerons quelques jours de vraies vacances, où tu seras tout à mon service et à ma disposition, sans beaucoup de punitions, mais avec ta CB, seul mon plaisir sera important pour toi.

-        Sylvie est propriétaire de cette demeure, où elle reçoit, avec l’aide de pierre son soumis, ses amies qui souhaitent donner un petite leçon à des soumis qui en ont besoin. Cette fois c’est toi qui en a profité. Tu as pu voir qu’il est possible tout de même de faire un séjour de longue durée et si un jour je pense que c’est nécessaire, je n’hésiterai pas à t’y laisser, seul cette fois, pour un temps un peu plus long. Pierre est capable de se transformer, sur l’ordre de sa Maîtresse, en véritable dominateur. A toi d’éviter de me donner l’envie d’en venir là.

-        Ma Dame, Vous savez que je n’ai pas besoin de cela pour souhaiter Vous plaire et Vous satisfaire, mais cette expérience m’a prouvé Votre détermination, et je ferai tout pour éviter de Vous inciter à me ramener ici, malgré tout le respect et l’admiration que j’éprouve pour Maîtresse Sylvie.

 

C’est avec un bonheur sans mélange que jim alla préparer les affaires de sa Dame, elle n’avait pour ainsi dire rien sorti de son grand sac, et en y rangeant les quelques vêtements posés sur une chaise, il se rendit compte qu’elle avait réussi à prendre, sans qu’il le voie, une partie de ce qu’il avait amené chez elle. Il aurait donc de quoi se changer pendant ces vacances inespérées. Une bouffée d’Amour pour Elle le submergeât.

 

Les vacances commençaient ! il était heureux !


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Quel beau récit et surtout venant d'une Dominatrice prévoyante qui pense au bien-être de son soumis.
Nous sommes dignes et justes voici les qualificatifs qui nous diffèrent, même si ce n'est qu'un récit, cela réflète notre manière d'être.

Félicitations ma Lia, je suis fière d'être ton amie.

Mylady

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Commentaires

Merci Mylady, moi aussi je suis fière d'être ton amie, et celle de tous les membres du Cercle. Bises à toutes.

LIA
commentaire n° :1 posté par : Maîtresse Lia le: 22/09/2009 à 18h57

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