Dimanche 30 mars 7 30 /03 /Mars 20:25


LA BELLE HISTOIRE DE MAITRESSE HELENA ET DE PATOU


Elle était indécise, il a réussi à la convaincre. Il a dialogué sur le forum, a trouvé celui-ci sympathique et convivial et lui en parle. Lui faisant confiance, elle se décide à prendre contact avec cette Mylady.

 

Après un échange de messages, elles se confient leurs numéros de téléphone pour discuter de vive voix. Elles sympathisent d’emblée, Héléna est rassurée.

C’est ainsi qu’elle intègre le Cercle des Dominatrices qui vient d’être créé. Conviée à la réunion, Héléna s’y rend avec Patounette, son époux. Chaleureusement accueillis par les amies présentes, ils se sentent à l’aise tous les deux.

D’autres réunions suivent, je n’ai plus besoin de répéter les éloges faits à Patounette qui est devenu le cuisinier attitré de ces Dames.

Héléna prend de l’assurance, elle n’est plus seule. Il est certain que leurs discussions intimes les incitent à évoluer dans leur manière de vivre la suprématie.

 

Lors d’un échange entre amies, Héléna capte une proposition et expérience de l’une d’elle. Le fait de prêter son « minou » à une amie Dominatrice le rend plus attentionné et amoureux envers sa Divine.

Héléna réfléchit à cette perspective, Patounette l’y encourage.

-        Mylady, nous serions près de chez toi, vendredi.

-        Venez prendre le café, ce serait avec plaisir que je vous recevrai, Héléna.

 

Pas une demande, ni une proposition mais Mylady a compris le désir de son amie. Le café est précédé d’un repas à la bonne franquette, mais l’ambiance est créée. Effectivement, l’hôtesse a préparé la chaîne qui pend à la poutre et les différents jouets exposés sur la desserte devant la cheminée. Indiana Jones qui décore la table du déjeuner et serpente entre les assiettes, donne le ton.

-        Mylady, je te prête Patounette, tu as carte blanche.

-        Je te remercie de ta confiance, Héléna.

 

Patounette reste debout et attend les ordres. Il sert les Divines qui l’autorisent néanmoins à partager leur repas. Son anxiété monte, il ne sait pas ce que Mylady attend de lui.

-        Déshabille-toi et mets-toi à genoux à mes pieds !

-        Oui, Mylady.

-        Je te préviens, j’ai horreur des plaintes et des cris !

 

Patou se déshabille, sa Maîtresse lui a ordonné de porter sa cage de chasteté depuis la veille. Sa fierté est également d’être épilé intégralement.


Pour « marquer » l’honneur que son amie lui fait en lui accordant sa confiance, Mylady prend sa roulette magique et la plante dans le dos de Patounette. L’instrument de torture métallique s’enfonce et trace délicieusement l’initiale de son amie Héléna

Il en souffre en silence, Héléna en est fière. Le fait de voir son époux aux pieds de Mylady, la fait frémir d’aise et lui donne une satisfaction inconnue à ce jour. Une sensation de pouvoir l’envahit. Assister aux gestes précis de Mylady, leur lenteur et la peau de son Patou qui rougit à vue d’œil avec son initiale, la trouble. Elle vient d’offrir le corps de son mari à son amie et celui-ci est fier de lui dédier ses souffrances.

 

Après plusieurs passages de ce marquage, satisfaite de son œuvre, Mylady demande à Patou de se relever. Il est ankylosé, peu importe. Il tremble de tout son être, ce qui amuse les Divines.

-        Héléna, je vais te montrer un beau bondage !

 

Le bondage à nœuds diamants plait énormément à son amie, Patou est rougissant de devoir s’exhiber ainsi harnaché.

-        Je fais une pause, reste debout pendant que nous prenons notre café, tu es trop beau ainsi !

-        Oui, Mylady.

 

Les diaboliques le laissent ainsi pendant qu’elles papotent et échangent leurs appréciations. Il doit se demander et surtout craindre l’utilité de ces martinets, cravaches et cette impressionnante tapette cloutée. Mille pensées traversent son esprit. ( Que vont-elles encore me réserver ?)

 

La réponse ne tarde pas, Mylady lui pose un collier, des bracelets aux chevilles et aux poignets reliés par une chaîne qui font plier tout son corps. Il rougit de plus belle, le collier est trop petit et semble l’étouffer. Mylady le remplace par un autre qui, cette fois-ci, est à sa taille. Puis, elle lui enlève son bondage, le délivre de sa posture et l’attache, le ventre contre la poutre, bras levés et attachés à la chaîne qu’il a aperçue en entrant.

 

Patou ne voit pas ce qui se passe derrière lui, mais s’attend au pire. Il tremble toujours davantage, ne pouvant plus se contrôler. Sa première surprise est de ressentir des caresses sur ses fesses et son dos. La main de Mylady court sur sa peau, cette douceur le surprend. Il n’en comprend pas la raison. Mais pour elle, le but est simplement de s’imprégner de ce corps offert par son amie et d’en ressentir les frissons afin de se stimuler.

 

La douceur est de courte durée, car la tapette commence à remplacer la main sur les fesses. Quelques petits coups d’échauffement tout d’abord mais qui vont en s’amplifiant. Les rougeurs sont instantanées, cette peau trop blanche a bien mérité de prendre des couleurs. Non seulement par les coups mais également par les marques des œillets métalliques. Patou est à la limite de crier sa douleur, quand, tout à coup, il ressent à nouveau la main de Mylady qui le caresse. Cette sensation de chaud-froid le transperce mais semble l’apaiser.

 

Pas pour longtemps, car Mylady fait siffler son martinet à queux multiples et tressées. Un doux bruit pour elle mais certainement pas pour Patou. Les lanières tournoient et effleurent son dos comme des petites morsures, avant de s’y abattre ainsi que sur ses fesses.

 

Héléna s’était installée sur le canapé à proximité de la poutre pour savourer le spectacle. Dans son extase, Mylady ne l’avait pas remarqué et lui sourit en l’appercevant.

-        Quelle est ton impression, ma chérie ?

-        Celle d’être en admiration, autant envers toi que pour le courage de Patou.

 

Pour accentuer le plaisir de son amie, Mylady s’empare du grand martinet dont les queues sont plus longues et fournies. Elle le fait siffler comme à son habitude, Patou recommence à ne plus pouvoir se maîtriser, ses muscles tremblent, sa peau se raidit et s’apprête à subir de nouveaux sévices. Mais c’est encore la main de Mylady qui l’apaise, puis les coups qui tombent quand il ne s’y attend plus. Cette alternance de caresses et de flagellation le met en transe ne sachant plus quelle est la pire des douleurs.

-        Ce ne sont que des caresses, Patou. Car je ne connais pas ton endurance.

-        Lesquelles, Mylady ? Celles de votre main ou de votre fouet ?

-        Je te parle du martinet, évidemment !

 

Mylady a réussi, elle est satisfaite et, pour rafraîchir ces rougeurs exquises, elle lui caresse dos et fesses avec des glaçons.

 

Mal lui en prit, Patou en a la phobie. Surprise de cette réaction, Mylady le détache rapidement, il est livide. Sans paniquer, elle lui ordonne de s’asseoir, il se calme. L’incident est vite oublié, Héléna est heureuse.

-        Mylady, je ne sais comment te remercier d’avoir su m’apporter autant de plaisirs.

-        Je te retourne ton appréciation, Héléna.

 

Patou, ne sait trop comment s’asseoir, ses fesses ont viré au bleu, mais il reste souriant et fier pour sa Maîtresse. Son marquage d’initiale dans le dos a été strié par les lanières du martinet.

-        Et toi, Patou, que ressens-tu ?

-        J’en parlerai à ma Maîtresse quand nous serons seuls.

-        Je veux que tu me le dises tout de suite !

-        Je regrette de ne pas avoir été à la hauteur de vos attentes, Mylady.

-        Que veux-tu dire par-là, patou ?

-        Vous disiez que vos coups ne sont que des caresses. Je ne suis pas masochisme, Mylady, mais votre force est terrible. Si ce ne sont que des caresses, je n’ose penser à votre déploiement.

-        N’as-tu pas compris que je sais être machiavélique dans mes paroles, patou ?

 

Non, il n’a pas vraiment compris et pour cause. Car la cérébralité ressentie par les mots mélangée à celle des sens par la douleur et de douceur, est la plus parfaite des tortures.

 

Toujours est-il que cet après-midi fut des plus concluant pour Héléna et patou. Mylady, quant à elle, est comblée d’avoir partagé cette nouvelle complicité avec ses amis.

 

Indiana Jones n’a pas quitté sa place mais son pouvoir, une fois de plus, a été efficace.

Par Mylady - Publié dans : CERCLE DES DOMINATRICES
Ecrire un commentaire - Voir les 2 commentaires
Retour à l'accueil

Commentaires

Une très belle histoire vraie... L'amour d'Héléna et Patou n'est plus à démontrer, ceci en est une preuve supplémentaire.
Et le machiavélisme de Mylady est célèbre ... !!!
Je vous embrasse tous les trois.  Mrs LIA
commentaire n° :1 posté par : Maîtresse LIA le: 30/03/2008 à 21h39
Bonjour Mylady ,tout en lisant ton histoire qui me parait trés véridique connaissant les personnages,j'étais bien dedans,je suivais chacun de tes gestes,transperçant l'esprit de patou à chaque instant ,sentant les émotions qui envahissaient Héléna !!
Je félicite Héléna pour sa confiance en son amie et en son soumis ,je félicite Mylady pour sa complicité saine,et je félicite patou pour le plaisir qu'il avait donné et pour sa maitresse et pour Mylady et pour nous toutes et tous !
commentaire n° :2 posté par : Lilletik le: 31/03/2008 à 21h29
Bonsoir ma chère amie,

Ton partage et ton ressenti me fait énormément plaisir, comme toujours.
Bisous
Mylady
réponse de : Mylady le: 31/03/2008 à 21h36

Présentation

Profil

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Créer un Blog

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés