Mercredi 25 mars 3 25 /03 /Mars 18:41

La promenade

 

C'est le printemps dans quelques jours et bien qu'encore au mois d'Avril le soleil est bien  présent et on se croirait volontiers en été. C'est pourquoi aujourd'hui Madame a décidé d'aller faire une promenade en forêt agrémentée d'un pique-nique. Je prépare donc le panier avec les accessoires et les ingrédients nécessaires à ce genre d'exercice (assiettes, couverts, vin rosé, poulet froid et salade de légumes). A 10h30 je me présente chez Madame (Madame aime la ponctualité,  ce qui me vaut d'arriver cinq minutes en avance, d'attendre devant sa porte afin de sonner à l'heure précise,  ou devrais-je dire à la seconde précise). Après quelques minutes d'attente elle m'ouvre enfin. En tout j'aurai passé plus de trois longues minutes sur le pas de sa porte. Est-ce pour assoir son emprise sur moi ou bien est-ce pour s'assurer que tous ses voisins m'auront aperçu ? Sans doute un peu des deux. Elle se présente belle et majestueuse comme à son habitude, en jupe longue et chemisier. Une tenue champêtre adaptée au programme de la journée. Je lui baise la main et  la salue avant qu'elle prenne son sac et me précède vers la voiture. Elle a la démarche assurée de ces reines qui sont sûres de leur pouvoir absolu. Je me précipite pour la devancer et lui ouvrir la porte arrière droite du véhicule. Ses voisins, derrière leurs rideaux, doivent se demander quelle est la nature de la relation entre cette femme si aimable et son  chauffeur particulier. Je prends place derrière le volant et démarre. Elle me lance un sourire dans le rétroviseur. Je suis heureux d'être avec elle, de la servir et me dirige vers ce coin de forêt que j'ai repéré il y a plusieurs jours déjà lorsqu'elle avait mis le souhait d'aller faire cette promenade. Elle ne dit rien et je respecte son silence. Nous roulons ainsi environ 10 minutes. Soudain elle me demande « Tu as bien dormi la nuit dernière ? » Je réponds un bref « Oui, Madame, pas trop mal, merci ». Le fait est que je porte une cage de chasteté depuis maintenant 5 jours et 5 nuits. Cette chasteté forcée imposée par Madame (elle détient la seule clé) est un exercice auquel Madame me soumet régulièrement. D'abord pour éprouver ma soumission et ensuite tout simplement pour son plaisir:  Madame aime avoir ses soumis ainsi encagés. Madame se satisfait de ma brève réponse et me sourit à nouveau. Elle est satisfaite de mes efforts pour porter cette cage et je suis très fier de la porter pour elle.

Nous arrivons enfin sur le lieu choisi après un bon quart d'heure de chemins forestiers. Je sors pour ouvrir la porte à ma déesse et lui offre mon bras. Nous marchons sous l'ombre des grand chênes pendant de longues minutes, bras dessous bras dessus, attentifs à l'éveil de la nature. Soudain Madame s'arrête, quitte le chemin et va s'adosser à un arbre. Elle relève sa jupe et m'ordonne: Tu vas me lécher cinq fois ». Je m'agenouille, approche ma bouche de son sexe libre de tout sous-vêtements (Madame est coutumière du fait), sors ma langue aussi large et longue que possible et la passe bien à plat, doucement, du bas vers le haut, sur la totalité de son sexe. Elle est douce et a un goût dont je ne me lasserai jamais. Elle apprécie cette caresse puisque je la sens couler sur ma langue. Je répète ma caresse cinq fois, doucement, en m'appliquant à juste passer ma langue sur ses lèvres puis son clitoris que je sens gonfler. Au cinquième passage elle pousse un gros soupir et repousse ma tête en rabattant sa jupe. Nous reprenons notre promenade jusqu'à la prochaine halte où elle renouvelle l'expérience. La tête sous sa jupe je m'applique à la lécher consciencieusement cinq fois à nouveau. En tout, durant notre promenade qui durera une heure, elle m'enverra ainsi l'honorer à six reprises. La dernière fois je sens bien qu'elle commence à mouiller et que on clitoris est définitivement gonflé. Nous revenons à la voiture d'où je prends le panier de pique-nique et nous nous dirigeons vers l'endroit prévu à cet effet. Il s'agit d'une petite clairière ensoleillée. Notre promenade et ses haltes a passablement émoustillé Madame mais son  envie de sexe doit passer par une phase obligée de souffrance de son soumis. Pour ce faire elle m'attache les mains autour d'un arbre, descend mon pantalon et va chercher une baguette de bois vert suffisamment souple et fine pour siffler dans l'air et raviver mon sang. Trente coups de langue = trente coups de badine ! Dit-elle. Je ne suis pas étonné de ce genre de comptabilité mais, connaissant l'enthousiasme de Madame à manier le fouet ou le martinet, je suis assez inquiet. Elle m'ordonne de compter. Chaque coup fait plus mal que le précédent. J'essaie de ne pas gémir et surtout de ne pas perdre le compte (elle recommencerait à partir du début !) Lorsqu'elle abat son vingtième coup mon postérieur me brûle. Ma CB frotte contre le tronc de l'arbre. Il reste encore 10 coups et j'ai peur de ne pouvoir tenir. Madame est intraitable; elle garde la cadence et appuie chacun de ses coups un peu plus fort. Lorsqu'arrive le dernier, c'est par un cri que je ponctue la punition. Je suis brisé, les nerfs à vif, le sexe tendu dans sa cage, les fesses en feu et la gorge irritée d'avoir tant crié. Madame me détache et je tombe à genoux pour lui prendre les mains et les couvrir de baisers. Elle me caresse doucement les cheveux et va s'allonger sur l'herbe. Je me glisse sous sa jupe et lui caresse les chevilles puis remonte doucement vers l'objet de toutes mes pensées. Elle écarte légèrement les cuisses et j'y cale ma tête, la bouche sur son sexe. La séance de flagellation a produit son effet puisqu'elle est trempée. Je passe ma langue bien à plat de bas en haut comme elle me l'a appris. Lécher Madame est un exercice dont je raffole et pour lequel je fais des efforts de concentration inédits, apppliqué à la satisfaire avant tout. Lorsqu'elle pose sa main sur ma nuque, je sais que je dois me concentrer sur son bouton. Je m'applique alors à sucer son clitoris déjà gonflé. Je le prends doucement dans ma bouche et l'aspire par petits coups brefs. Je la sens palpiter. Je m'évertue à garder un rythme régulier. Je la suce ainsi longtemps comme elle aime puis le stimule avec le bout de ma langue. Madame est assez longue à jouir et je commence à avoir mal aux joues à  force de sucer son bouton de plus en plus sensible. Ses cuisses se resserrent autour de mon visage. J'ai du mal à respirer mais je garde la position et le rythme des sucions car je sais Madame au bord du plaisir. Elle resserre son étreinte au fur et à mesure que le plaisir l'envahit. Je suis coincé entre ses cuisses et je bois sa source avec délectation, tout en veillant à rester concentré sur le rythme de mes sucions. Elle jouit très fort comme à chaque fois qu'elle a martyrisé son soumis auparavant. Elle coule dans ma bouche. Je suis étouffé, écrasé mais aux anges d'avoir pu lui offrir cet orgasme. Lorsqu'elle relâche enfin son étreinte je la lèche à grands coups de langue trois fois pour essuyer son entrejambes trempé. Elle prend ma tête par les cheveux puis, me regardant dans les yeux: « Tu m'as bien fait jouir et je veux te récompenser. Tu as eu droit de me lécher 30 fois, tu as reçu 30 coups de badine. Tu as donc droit à 60 secondes pour te caresser ». Et joignant le geste à la parole, elle me tend son trousseau de clé auquel est accroché celle de ma CB. Je la prends alors qu'elle regarde sa montre et m'assène un « Top chrono » avec un regard amusé. Je me précipite pour ouvrir le cadenas de ma cage, fais tomber le trousseau dans la précipitation puis parviens à la retirer. Mon sexe se détend et je le prends en main pour me masturber. J'ai très envie de jouir mais mon sexe reste encore un peu mou. Sans doute les 5 jours passés recroquevillés et la séance de fessée y sont-ils pour quelque chose. Toujours est-il que je bande finalement après une trentaine de coups de poignet. Encore 10 et je sens le plaisir monter. Plus que 5 et je vais éjaculer. Plus que trois et je jouis. Mais Madame prononce alors le fatidique « Stop » qui me fait cesser sur le champ. Je mets mes mains dans le dos. Mon sexe palpite, dressé, le gland humide. Encore deux coups de poignet et je lâchais mon sperme. La frustration est énorme et j'implore Madame de me laisser jouir. Malgré les larmes qui commencent à baigner mes yeux, Madame, machiavélique, ne laisse pas la pitié l'envahir et m'ordonne de remettre la CB en place. Je bande tellement que l'opération est impossible. Je vais alors chercher le sac de glaçons qui entoure la bouteille de vin rosé pour l'appliquer sur mon sexe. L'effet ne se fait pas attendre et je débande suffisamment pour réintégrer la cage. Madame referme le cadenas (elle aime ce petit « clic » qui symbolise toute l'emprise que lui donne cet instrument sur moi). Qui sait quand j'aurai une autre occasion comme celle-ci ? Combien de jours devras-je encore attendre ? Combien de fessées devrais-je encore endurer ? En attendant je me précipite aux pieds de Madame pour embrasser ses bottes. Sur son ordre je vais mettre en place le pique-nique. Nous déjeunons de bon appétit. Madame fera sans doute une petite sieste à l'ombre pendant que je rangerai les affaires. Pour se remettre de ses émotions de cette magnifique journée de printemps.

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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