Mardi 20 juillet 2 20 /07 /Juil 20:30

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CHAPITRE 9  (par Maîtresse LIA)

 

 

Après une longue semaine de travail, j’avais hâte de retrouver mon soumis jean. Je ne lui avais pas écrit depuis notre rencontre particulière de la nuit de lundi à mardi. Je m’étais contentée de lire ses rapports quotidiens sur ses efforts pour s’adapter à la cage. Efforts couronnés de succès semblait-il. J’avais œuvré pour organiser le week-end et je souriais en pensant à la surprise qui l’attendait.

 

C’est avec grande joie que je le retrouve enfin au restaurant comme je le lui avais ordonné, et une joie encore plus grande quand il m’offre la clé de sa cage et me la passe autour du cou. J’ai maintenant sur moi sa liberté, il m’appartient totalement désormais. Je le remercie de cette attention, et ensuite commande le menu à voix assez haute pour attirer l’attention de la table voisine, où un couple jette des coups d’œil intéressés sur ce bel homme obéissant. Ceux de l’homme sont un peu méprisants, mais la femme semble plutôt envieuse quant-à elle, je lui souris en retour en caressant la clé qui pends à mon cou.

 

Nous passons une agréable soirée, en devisant gaiement, il s’interroge visiblement sur le programme du lendemain, que je me garde bien de lui dévoiler, il verra ! Fatiguée de ma semaine je donne le signal du départ de bonne heure, j’ai hâte aussi de découvrir le spectacle de l’encagé, même s’il a pris soin de m’envoyer des photos, cela ne vaut pas la vue réelle.

A peine arrivés chez moi je lui ordonne de se mettre nu, l’émotion me submerge en découvrant son sexe ainsi prisonnier, sous mon regard il a d’ailleurs des velléités de se dresser, aussitôt muselées par les anneaux. Je le caresse doucement, jean frémit en murmurant :

-        Oh Maîtresse, votre présence rend cette cage beaucoup plus dure à supporter.

-        Tu devras pourtant le faire encore un bon moment. Va me préparer un bain, je suis épuisée.

Il disparaît dans la salle de bains, pendant que je me déshabille, lorsque je le rejoins tout est prêt pour un moment de relaxation. J’entre dans l’eau mousseuse et odorante, et lui ordonne de me laver, ce qu’il fait avec dévotion et tendresse. Je me laisse aller à une douce béatitude, sous les caresses de ses mains si douces. Je le renvoie enfin prendre aussi sa douche, et après qu’il m’ait passé mon peignoir de bains, je retourne dans ma chambre le laissant à ses ablutions. Lorsqu’il réapparaît je suis à moitié endormie, après quelques minutes de massage je plonge dans un sommeil réparateur, avec la plaisir de sentir son corps tout contre le mien.

 

Le lendemain matin c’est l’odeur du café et des viennoiseries qui me réveille. Je me lève rapidement et le rejoins à la cuisine – je déteste prendre le petit déjeuner dans un lit -  Nous débutons joyeusement une journée qui s’annonce ensoleillée, puis je lui enjoins d’aller se préparer et de mettre sa jolie tenue de soubrette, avec les dessous coordonnés, et les chaussures à talons bottiers. Je vois son regard amusé, il doit penser que j’ai décidé de lui faire faire le ménage dans cette tenue, je lui laisse ses illusions pour encore un petit moment, et vais me préparer de mon côté.

 

Lorsqu’il revient, tout pimpant, j’ai envie d’éclater de rire, mais je me retiens, lui adressant juste un sourire satisfait.

-        que te voilà jolie en jeanne !!

-        merci Madame, je suis flattée.

Je lui tend le petit sac que je viens de préparer…

-        va mettre cela dans la voiture, sur les sièges, pas dans le coffre.

-        Bien Madame, j’y vais de suite.

-        Et tu m’attends dans le garage.

Le regard s’est écarquillé, il se pose une foule de questions semble-t-il, mais n’ose les exprimer. Avant de le rejoindre je prends quelques accessoires :

-        mets les bracelets à tes poignets et à tes chevilles.

-        Tout de suite Madame

C’est un vent de panique qui semble souffler sur lui en cette minute, je remarque que ses mains sont un peu tremblantes en fixant les bracelets. J’ouvre le coffre, que j’avais pris soin de vider totalement la veille.

-        installes toi dans le coffre !

Il se glisse dans l’espace vide –heureusement que je n’ai pas une mini !! – de plus en plus tremblant ; je fixe les bracelets ensemble, puis lui pose un bandeau sur le yeux.. le coup de grâce, il n’ose même plus parler ni poser de questions.

 

Je referme le coffre, m’installe au volant, et nous voici partis, il n’y a que quelques minutes de trajet en réalité, mais pour faire durer le plaisir, et qu’il n’ait pas d’idées quand à l’endroit où je le conduis, je fais quelques détours, prenant de petites rues, je préfère également éviter les grands axes, on ne sait jamais. Lorsque j’arrive à destination, le garage est ouvert comme prévu avec l’hôtesse qui m’a invitée. Je descends de voiture, referme le garage, puis ouvre le coffre. La pauvre jeanne est livide, elle n’a pas vraiment apprécié le voyage ? Je décroche les bracelets, mais laisse le bandeau, et l’aide à reprendre pied sur le sol.  Je lui mets le sac dans une main, et prends l’autre pour le guider. Nos talons claquent sur le ciment, je sens la main de jean frémissante dans la mienne, il n’a pas prononcé une parole depuis que je lui ai ordonné de monter dans le coffre.

 

Lorsque nous approchons de la porte intérieure qui sépare le garage de l’appartement, celle-ci s’ouvre devant nous. Mon amie me lance un regard de connivence, sans rien dire, et nous conduit vers le salon. Un salon que nous connaissons tous deux, car c’est celui où nous nous sommes rencontrés pour la première fois : celui de Maîtresse VERA. Avec le bandeau il n’a pas encore pu s’en rendre compte, d’ailleurs trop perturbé pour réfléchir sainement. Deux  autres femmes sont installées sur le canapé, et nous regardent, souriantes, visiblement ravies de la situation.

 

Je détache le bandeau, jean cligne sous la lumière retrouvée, et son regard parcourt la pièce, il a compris où il était, et tombe à genoux devant Véra, baise la main qu’elle lui tend :

-        Maîtresse Véra, c’est  un honneur et un bonheur de vous revoir. Je ne vous ai pas encore remerciée du bonheur que vous m’avez apporté en me confiant à ma Maîtresse.

-        Merci jean, je suis moi aussi heureuse de votre bonheur à tous deux.

 

Jean s’incline ensuite devant les 2 autres dominatrices que Véra nous présente comme Dame Clotilde, et Lady Emily. Elles sont bien sur au courant de notre histoire, et curieuses de nous connaître. Nous nous embrassons amicalement, et commençons à discuter tranquillement, pendant que jean, ou plutôt jeanne, retrouve le chemin de la cuisine pour préparer l’apéritif, et le déjeuner. Je le sens heureux et soulagé.. Qu’avait-il bien pu imaginer dans son coffre ?

 

L’après midi il devra montrer sa cage, elles sont très intéressées car souhaitent en faire porter à leurs soumis.

 

 

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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