Mercredi 7 juillet 3 07 /07 /Juil 17:33

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Le retour de mon homme soumis.

 

Après plus de trois semaines d’absence durant lesquelles cette larve m’a déçue en protestant les punitions que je lui ordonnais de réaliser devant le caméscope,  mon soumis sera de retour ce soir. En effet,  il s’était entêté à jouer les chiens vagabonds en multipliant les sorties en boite de nuit contre mon avis. Pendant son absence, frustration et sensations sadiques se mêlaient alors aux sentiments que j’éprouve pour lui : Je voulais le ramener pour faire de lui mon esclave permanent, pour l’encager, l’enchaîner et le marquer de partout avec mes ongles  afin qu’il ne soit qu’à moi, pour que je prenne soin de lui en le dressant à m’être dévoué pour  vivre une passion forte à ces côtés.

Pour remédier à la déception qu’il avait engendré en moi, je lui  imposais un dressage de chien afin qu’il comprenne que sa place est sous ma semelle. Pour ce faire, je me rendis dans une boutique d’animalerie dans un premier temps pour acheter laisse et gamelle. Puis, dans une boutique bdsm afin de me procurer quelques petits objets fétiches comme le fouet ! Rien que l’idée d’imaginer cet objet frôler les fesses de chienne, je ressentais les frissons recouvrir mon corps.

Il est 18h, chienne ne va pas tarder, encore une fois, excitation, émotions, colère et sensations auxquelles on peut y ajouter une bonne pointe de jalousie me troublent l’esprit.  J’essaie de me calmer, de contrôler mon ressentis ; mais je sais que je suis plutôt du genre colérique.

Alors que je me tenais face au miroir contemplant mon short en cuir et mon corset en cuir, j’entendis quelqu’un ouvrir la porte : Il était là devant l’entrée, craignant à la fois ce qui l’attendait car il n’est pas du tout maso  mais aussi honteux de m’avoir déçue !

Il me baisa les pieds chaussés comme à son habitude en guise de bonjour.

-        Tu empestes le sexe ! lui dis-je.

-        Maîtresse je n’ai…

(Bang), je le giflais de toutes mes forces.

-        T’ai-je donné la permission de parler ?

Il secoua la tête en me regardant dans les yeux. Je constatais par l’occasion que ses yeux étaient mouillés.

-        Allonge-toi sur le dos ! Lui ordonnai-je.

Il s’exécuta en tremblant et je me mis à l’écraser avec mes talons.

-        Comme tu n’as toujours pas compris où est ta place, je t’en fais une démonstration. Dis-moi où est ta place maintenant Sale petite chienne ! Lui demandai-je en criant.

-        Sous vos pieds Maîtresse, je suis tout à vous. Me lança t-il d’une petite voix.

-        Bien, laisse-moi vérifier ça.

Je glissai ma main sous son pantalon et je sentis que son pubis était poilu, alors qu’il a pour ordre de tenir l’hygiène de son sexe de près en s’épilant.

-        Je sais que tu as été prendre du plaisir avec une gentille fille ; c’est pour quoi tu as laissé ta nature de mâle insolent t’influencer. C’est ça ? Réponds-moi ? Criai-je en enfonçant mes ongles sur son sexe.

-        Maîtresse je n’ai  eu aucune rencontre. Dit-il d’une voix trahissant une forte douleur à cause de la pression de mes ongles sur son pénis.

-        Alors pourquoi tu ne t’es pas épilé depuis ? Demandai-je d’un ton autoritaire.

-        Maîtresse j’ai eu beaucoup de travail et  je vous  prie de m’excuser, je n’aurais pas du laisser les problèmes du quotidien prendre le dessus dans notre relation.

-        Je vais donc t’apprendre à me placer au dessus de tout !

Je m’absentai quelques minutes et je revins avec une paire de ciseaux et un fouet.

-         Déjà, sous ma semelle, tu seras toujours nu, je vais t’aider à te déshabiller. D’un air déterminé je découpai ses vêtements excepté la cravate. Je m’assis sur son ventre et posai mes pieds sur ses épaules, et je ne sais pourquoi, je me mis à serrer sa cravate, puis la desserrer et resserrer encore un peu plus fort … Je recommencerai à maintes reprises.

-        Je veux que tu vives pour moi, je veux contrôler ta vie. Tu me laisses faire ? Demande-je d’un ton cassant !

-        Oui… réussi-t-il à lâcher.

-        Oui qui ?

-        Oui  Maîtresse…

-        Maîtresse n’est pas suffisant pour me désigner à l’heure actuelle, mets ton cerveau à mon service, réfléchis, concentre toi sur ce que je suis entrain de te faire. Lui dis-je tout en resserrant à nouveau sa cravate avant de la desserrer afin qu’il puisse s’exprimer.

-        Vous contrôlez ma respiration. Fini-t-il par dire avec difficulté.

-        Oui chienne, je décide à quel moment tu dois respirer ! Je suis une Déesse, une Divine Maîtresse. Maintenant, demande pardon, répète après moi : Divine Maîtresse, pardonnez-moi de vous avoir désobéi et d’avoir provoqué chez vous insatisfaction et frustration. Je ne suis qu’un mâle imparfait, un chien désobéissant et vagabond.

Il répéta avec passion et dévouement.

-        Voilà pourquoi tu es sous mes pieds, tu mérites un grand châtiment. Lui dis-je avec véhémence !  

-        Maîtresse je suis prêt à endurer toutes vos punitions pour retrouver le droit chemin.

-        Amène donc tes sales fesses ici.

Je l’attachais les mains derrière la nuque et fixais une barre d’écartement entre ses chevilles afin de lui garder les jambes bien écartées.  Je le fouettais, la vue de ses fesses rougissantes marquait l’empreinte de ma détermination et j’eus plaisir à l’infliger cette punition. Plus je fouettais fort, plus je sentais le désir montait en moi à ma grande surprise. Son visage était marquée par la douleur, chienne se gigotait me suppliant. Là encore, Je surpris en train de prendre plaisir à le voir dans cet état. Néanmoins je réussi à me contrôler mon ardeur et mis fin à la punition.

-        Viens voir tes fesses bien marquées dans le miroir.

-        Merci Déesse pour ce châtiment mérité. Je suis heureux que vous vous occupiez de mon éducation et vous remercie de l’attention que vous portez au pauvre mâle que je suis. Dit-il face au miroir, bouleversé mais sincère et dévoué.

Je m’installai sur le fauteuil, je lui ordonnai de se mettre à 4 pattes à mes pieds.

-        Lèche mes pieds petite chienne !

Il se précipita pour s’exécuter et lécha mes pieds longuement avec amour, passion et dévouement. Il enleva mes chaussures et lors qu’il prit tout mon pied en bouche, je ressentais des bouffées de désirs, son corps me transmettait des frissons, c’était beau, c’était romantique. Puis, je retirai mon pied et il leva la tête, me fixa dans les yeux sans y avoir été invité, mais je fus envahis par le désir et l’envie que je pouvais lire dans ses yeux. Je le fixai longuement à  mon tour  tout en l’invitant à me rejoindre dans le fauteuil. On se regarda dans les yeux pendant un long moment, avant que je ne l’attire contre mes lèvres en le tenant par la nuque. Ce baiser fut à la fois passionnant et envoûtant, il se mit sur moi à califourchon,  m’embrassant en me caressant les cheveux, mon sexe à travers mon short en cuir et ses mains traversaient tout mon corps. Sous l’emprise du désir, je le laissai faire, je lui fis enlever mon short avant de rebondir sur lui. Je frottais mon sexe contre le sien, en plantant mes ongles sur son torse, le mordant les tétons de temps en temps ; ce qui faisait raidir et durcir encore plus son pénis. Soudain, je fis un bond !

-        Allons dans la chambre !

Allongé sur le dos, je l’ai menotté sur le montant du lit, posé des pinces sur ses tétons et je hottai  ma culotte en soie pour poser mon sexe sur sa bouche. Je sentais sa langue se tortiller le long de mon sexe. J’ondulais du bassin toute excitée, je sentais le plaisir monter, je me pressai les seins pour intensifier le désir, puis je laissai couler ma cyprine sur sa langue.

-        Tu as bien honoré ta Maîtresse. Maintenant durci ton pénis pour moi.

Je pris son sexe entre mes mains.

-        Il n’est pas assez dur comme je le veux.

Je pressai les pinces sur ses tétons, il gémit, je mis ma culotte dans sa bouche.

-        Je ne veux pas t’entendre !

Je m’empalai sur son sexe, je me trémoussai, faisant des vas-et-viens. A chaque fois que je faisais pression sur les pinces placées sur ses tétons, j’étais prise de frissons, de fort plaisir. Puis, il jouit et je m’interrompis aussitôt et le libérai de ses menottes sans un mot.

-        Pardonnez-moi Maîtresse, l’excitation était trop forte. Dit-il après avoir retiré la culotte de soie de sa bouche.

Je m’allongeai sur le dos, bassin légèrement au bord du lit, jambes écartées.

-        Viens nettoyer ton sperme ! Il lécha mon sexe mouillé.

-        Puis que tu es incapable de te contrôler, tu es interdis de jouir ni même de toucher à ton pénis jusqu’à nouvel ordre. Vas chercher ta cage, maintenant, et ramène-moi le gode bâillon pendant que tu y es. Dépêche-toi !

Après l’avoir emprisonné le sexe dans sa cage, je plaçai le gode bâillon dans sa bouche.

-        Maintenant fais jouir ta Maîtresse.

Il se tenait à genoux face à mon sexe, je le pris par la tête, enfonçai le gode délicatement dans mon sexe et je réalisais des mouvements de vas-et-viens, doucement, puis j’accélérais, de plus en plus ; le plaisir montait… Tandis qu’il commençait à se tortillait, à tourner ses reins doucement ; sans doute par ce que son sexe tentait des érections sans succès par la cage.

-        Bouge encore et je t’arrache la tête, petit vicieux! Lui dis-je en le tirant les cheveux vers l’arrière.

Il me pénétra à nouveau avec le gode bâillon. Je faisais pression sur sa tête avec une main, puis de ma main libre, je pressai mes seins. Je basculai mes reins, les mouvements se faisaient de plus en plus vite, le plaisir devenait très intense. Je poussais des cris de gémissements, je me tortillais le corps, me pressais les seins. Je plaçai mes pieds sur son cou de chaque côté, surélevant mon bassin en m’appuyant sur son cou, puis je sentis ma cyprine couler entre mes fesses. Je lâchai mes muscles sur le lit.

-        Tu profites bien de l’exposition? Qu’est ce que tu attends pour me nettoyer ? Aller ! Lèche moi ça au lieu de regarder. Vicieux !

Il s’exécuta sans un mot, puis qu’il portait toujours le gode bâillon en bouche. Je me levai du lit avec énergie, surpris par le geste, il se laissa tomber sur les fesses.  

-        C’est 15 jours sous cage, ça t’apprendra à mieux te concentrer sur le plaisir de ta Maîtresse. D’ailleurs tu auras une séance de dressage très prochainement pour t’apprendre à agir en chien digne de sa Maîtresse.  Lui dis-je, en faisant mine d’écraser son sexe encagé et lui retirai le gode bâillon.

-        Merci Maîtresse. Répondit-il sans trop savoir pour quoi.

Il est 23h passée, la fatigue se fait sentir, je m’allongeai sur le dos, il posa sa tête sur mes pieds et le sommeil nous gagna. 

 

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Merci à toi Laly pour ce récit qui nous aura diverti agréablement tellement il semble vrai........ sourire

Je t'embrasse très fort

Mylady 

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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