Jeudi 24 juillet 4 24 /07 /Juil 00:04





Soudain il sursaute, la sonnette l’appelant vient de retentir, vigoureusement agitée par Mme X. il se précipite aussi vite que possible.

 

-        débarrasses et apportes nous les entrées, mes amies ont faim, qu’attendais tu ?

-        que vous m’appeliez, Madame, je ne voulais pas vous déranger.

 

En un tour de main, chacune découvre une assiette qui est un véritable chef-d’œuvre, tant pour les yeux que pour le palais. Il remplit les verres. Elles se régalent visiblement. Elles en oublient presque de parler. Il en profite pour regagner discrètement son havre de paix. Paix de courte durée, car la clochette ne tarde pas à le rappeler, pour la suite. 

 

Le début du repas a mis ces dames de bonne humeur, elles papotent, rient, et se moquent du cuisinier, son soutien gorge qui ne soutient rien, sa petite culotte qui a bien du mal a dissimuler ses fesses, l’une d’elle profite de ce qu’il s’incline pour la servir, et le pince violemment à l’intérieur de la cuisse, il sursaute et renverse un peu de sauce sur la magnifique nappe damassée. C’en est trop pour Mme X. qui lui dit d’une voix glacée :

 

-        termines de servir et viens te mettre à genoux près de moi !

 

En tremblant il s’exécute. Elle le gifle, posément, 2 aller-retour qui claquent dans le silence, le solitaire qu’elle porte à l’annulaire lui laisse une griffe sur la pommette. Elle le renvoie ensuite d’un seule geste, sans un mot. Les convives éclatent de rire en voyant sa mine déconfite. Il n’en peut plus ! il a envie de les frapper aussi, de leur jeter au visage son petit tablier de soubrette, et de fuir ces folles. Mais il n’en fait rien ; il regagne sagement sa cuisine, et mets la dernière main à la magnifique Forêt-Noire qu’il a prévue pour le dessert, avec un excellent champagne.

 

Le reste du repas s’est passé sans trop de difficultés, à part les plaisanteries qui finissent par ne même plus le toucher, il essaie de ne pas entendre. De temps en temps un coup de cravache ou de martinet claque sur son dos ou ses cuisses, mais il arrive à se contenir afin de ne pas commettre d’autres maladresses. Il ne comprend toujours pas pourquoi il accepte toutes ces brutalités, ces vexations, ces humiliations.  Qui plus est plus le temps passe et moins cela lui paraît aberrant, devient presque normal. 

 

Le repas fini, elles ont demandé le café dans le salon, et se sont installées confortablement dans les profonds canapés. Mme X lui demande de se mettre à genoux devant elles et d’ embrasser les pieds de chacune. Il s’entend alors poser la question :

 

-        dois-je enlever les chaussures de ces dames pour mieux honorer leurs divins pieds ?

 

il n’en revient pas. Comment en est-il arrivé là ? ?

 

-        excellente idée pour une fois. Je pense qu’elles apprécieront un petit massage délassant en même temps.

 

Alors il masse, embrasse, caresse tous ces jolis pieds, et sens un trouble infini le gagner. Il a envie de rester à leurs pieds. Il se sent à sa place. Mme X a remarqué son trouble, et lui demande s’il apprécie à sa juste valeur la faveur qu’elles lui font. Il ne peut que balbutier que c’est un honneur pour lui.

 

-        je t’offre l’insigne privilège de devenir notre soumis, et de porter notre collier, l’acceptes tu ?

-        Oh Madame ! !

-        Ce n’est pas une réponse ça ! !

-        Je ne sais que dire, c’est tellement … inattendu….

-        C’est OUI ou NON, je ne renouvellerai pas cette offre, que des tas de soumis feraient tout pour avoir.

-        OUI Madame, OUI Maîtresse, je reste à vos pieds, à vous et vos Divines Amies.

-        Dans ce cas, nous allons entériner notre accord. Déshabilles toi complètement.

 

Sans plus chercher à comprendre, il obéit, dans un état second, le voici nu, devant des femmes qu’il ne connaissait pas il y a quelques heures. Il se livre à elles. Mme X lui ordonne d’aller chercher la roulette qu’elle avait posée sur la table avant le repas.

 

-        je vais te poser ton collier, et te marquer de mon initiale à l’aide de cette roulette. Quand ce sera fait, tu m’appartiendras, et à mes amies également. Tu ne pourras plus revenir en arrière. Tu confirmes ton accord ?

-        OUI Maîtresse, j’accepte d’être à vous, et de porter votre marque.

 

Il s’agenouille devant elle, qui lui passe au cou un large collier de cuir noir clouté. Elle le fait ensuite se tourner et lui présenter son dos. A l’aide de la roulette elle forme un X sur toute la largeur du dos. Elle passe et repasse l’instrument, les petites pointes acérées pénètrent la peau, il gémit sous la douleur. La marque est très rouge. Elle restera plusieurs jours avant de s’effacer progressivement.

 

- Te voici notre propriété. Nous te choisirons un nom et nous organiserons une petite fête pour ton baptême. Montres toi digne de NOUS.

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Encore merci à toi pour ce merveilleux récit, nous en attendons d'autres !!!

Mylady

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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