Dimanche 29 novembre 7 29 /11 /Nov 13:37


DOUCE SOIREE

 

 

C’est la fin de l’été ; les jours sont nettement plus courts, mais il fait encore très chaud, le soleil a décidé de distribuer généreusement le reste de son stock de rayons. Dame Lydie avait invité son soumis jim a passer le w.end chez  elle pour profiter du beau temps et en même temps travailler au jardin.

 

Jim avait bien oeuvré : arracher et cueillir les derniers légumes, tailler les arbustes, etc.. Dame Lydie l’avait admiré tout en se baignant dans l’eau fraîche de la piscine, ou en se délassant sur une chaise longue. Elle appréciait d’autant plus de le voir transpirer sous le soleil qu’elle avait ajouté un petit accessoire à sa tenue, elle lui avait demandé de fixer à l’envers de son t-shirt, à hauteur des seins, des carrés de papier de verre. Chaque mouvement frottait les tétons contre l’irritant papier, et la transpiration ne devait pas arranger les choses. Il lui lançait de temps à autre un coup d’œil suppliant qu’elle ignorait superbement.

 

A 16h elle l’autorisa à prendre un peu de repos, un verre de bière, et  un quart d’heure de trempette dans la piscine. Elle pu constater que le frottement avait exacerbé les tétons qui semblaient avoir doublé de volume, et prit un malin plaisir à les tordre longuement à sa sortie de l’eau, réduisant à néant les bienfaits de la fraîcheur de l’onde. Puis Elle le remit au travail :

-        fini le farniente mon petit jimmy, il faut maintenant tout rentrer, passer un coup de râteau, nettoyer et ranger les outils.

-        Ensuite tu pourras prendre ta douche, et tu viendra me rejoindre avec juste un t-shirt propre que te t’ai préparé. Je vais pouvoir terminer mon livre en t’attendant.

-        Bien Madame, je m’exécute, je fais aussi vite que je peux car j’ai hâte de me retrouver à vos jolis pieds.

 

 Elle le regarde se remettre au travail avec un petit sourire ironique.. Jim qui a surpris ce sourire se pose des questions, lui aurait-elle encore préparé une de ses surprises.. ? Il ressent un petit creux dans la poitrine, espoir ? crainte ?  anxiété plutôt.. Bof il verra bien, il se fait peut-être des idées pour rien. Il a bien travaillé aujourd’hui et a fait tout ce qu’Elle a demandé, avec empressement et tout son Amour. C’est un tel bonheur pour lui de LUI obéir, de LA satisfaire, de LA voir heureuse et détendue comme maintenant. Il se hâte, le soir tombe déjà mais tout est fait. Il va déposer un tendre baiser sur l’épaule nue de sa Maîtresse plongée dans les dernières pages de son bouquin.

-        Ma très chère Divine, j’ai terminé, et je vais aller prendre ma douche comme vous me l’avez ordonné. Je suis là dans un quart d’heure, à vos pieds.

-        D’accord, ce soir je vais faire des grillades et des papillotes de saumon, il faudra rallumer le barbecue.

-        Hummmm, vous savez que j’adore cela, vous êtes la plus merveilleuse des Maîtresse !!

 

 Il s’envole vers la salle de bains, heureux comme un enfant à qui on a promis un bonbon. Lydie s’amuse en pensant à ce qu’elle lui réserve. Il risque d’être un peu déçu.

Elle range son livre, enfile un lainage car il commence à faire plus frais, et va préparer ses papillotes, une salade au chèvre chaud, quelques saucisses et merguez. Elle a à peine terminé quand jim arrive, souriant, les cheveux humides, sentant bon le gel de douche. Elle lui jette un regard courroucé  sous lequel le sourire de jim s’éteint.

-        Mais c’est MON gel de douche que tu as utilisé !!!

-        oui Madame, excusez moi j’avais oublié de prendre le mien, et j’étais déjà mouillé, je n’ai pas voulu ressortir de la douche, alors j’ai pris le vôtre, c’était si bon de sentir ce parfum, c’était un peu de Vous.

-        Tu n’as pas à utiliser Mes produits sans mon autorisation, tu vas être puni pour cela,

-        Et je t’avais dit de mettre le t-shirt que je t’avais préparé, ce n’est pas celui-ci !

-        Toutes mes excuses Madame, je n’avais pas fait attention à cet ordre. Je vais aller me changer.

-        Je t’avais également dit de revenir avec JUSTE le t’shirt, or je constate que tu porte un slip.

Jim se jette aux pieds de sa Dame et les embrasse tendrement, désespéré .. 

-        Oh Madame, que de fautes j’ai accumulées en un instant !

-        Oui jim, tu as raison, et il va falloir payer. Tu vas dans la chambre, et tu m’attends, nu, avec collier et bracelets !

 

 Lydie se réjouit à le voir repartir tout penaud, elle espérait bien qu’il allait commettre une faute dans sa tenue, il a été au delà de ses espoirs. Elle va pouvoir appliquer la punition qu’elle a mijotée. Elle enfile une tunique légère dans laquelle elle se sent à l’aise, des sandales à hauts talons et rejoint ce pauvre jim qui doit trembler. Quand elle pénètre dans la pièce, il se jette à genoux devant elle :

-        pardon, pardon, Madame, je vous promets que désormais je ferai très attention à Vos paroles quand Vous ordonnez. Et je ne toucherai plus jamais à Vos produits.

          Sans un mot elle s’assoie sur le rebord du lit, et lui fait signe de s’approcher, ce qu’il fait à genoux, n’osant se relever sans son ordre. Elle lui bande les yeux puis intime :

-        Etends toi sur mes genoux !

Jim se redresse puis s’incline et pose son buste sur les cuisses de sa Dame, appréciant en même temps de ressentir la douce tiédeur de la chair au travers du tissus léger.. Il n’a pas longtemps le loisir de savourer, car la main de Lydie s’abat vigoureusement sur le fessier tendu, les claques crépitent faisant monter crescendo la température des globes offerts ; jim ne peut s’empêcher de gigoter sous l’averse brûlante. Enfin Lydie finit par avoir mal aux mains, et ordonne à jim de se redresser.

-        maintenant allonge toi sur le lit, à plat ventre !

-        bien Madame, mes fesses sont en feu, vos mains peuvent être si dures et parfois si douces….

Dès qu’il est étendu Lydie l’immobilise en écartant ses membres au maximum et en les fixant aux montants du lit. Elle l’admire un moment,  puis le caresse doucement, ses mains  volettent, effleurent toutes les parties de ce corps offert, qu’elles connaissent si bien maintenant. Elles s’attardent sur les fesses rougeoyantes, glissent le longs de la colonne vertébrale, des frissons parcourent la peau sous ces attouchements voluptueux. Parfois les ongles griffent les flans, les cuisses, les mollets, chatouillent la plante d’un pied, ou une nuque offerte, parfois ce sont de petits baisers qui se posent ici ou là, comme de doux papillons. De tendres soupirs s’échappent de la poitrine du « supplicié » qui semble prendre grand plaisir à ce traitement.

 

Mais les meilleures choses ont une fin, Lydie s’est saisie d’un martinet à longues lanières et commence à réchauffer les fesses qui avaient perdu un peu de leur vermillon, elle cingle le large dos, strie les cuisses de rayures rouges, le corps ondule sous les mordantes caresses, tirant sur les liens et faisant grincer le lit.  Les soupirs ont changé de registre, et tiennent davantage du gémissement de douleur que du murmure de plaisir, Lydie savoure ces plaintes, Elle module ses coups, le martinet se fait parfois caressant, glissant sur la peau comme ses mains tout à l’heure, parfois il se déchaîne au bout du bras de Lydie qui prends un réel plaisir à lever très haut l’instrument avant de l’abattre de toute sa force sur les fesses qui sursautent sous l’impact acéré. Elle repose le martinet, effleure tendrement de la main les fesses enflammées puis termine en apothéose par quelques coups de la cravache en micocoulier, souvenir de récentes vacances. Jim ne peux retenir ses cris sous les impacts du douloureux final.

 

Lydie le laisse se reposer un moment, elle s’étend à ses côtés, il tourne son visage vers elle, et murmure :

-        Merci Madame, vous avez été sévère mais je l’avais mérité. Je peux vous demander quelque chose s’il vous plait ?

-        Quoi donc jim ?

-        Je voudrais vous embrasser Madame.. je vous aime tant …

Comment refuser une telle demande ? un tendre baiser rassemble Domina et soumis dans un instant d’éternité.

 

Jim est libéré de ses attaches, mais il a toujours le bandeau. Lydie s’approche de lui :

-        je t’ai préparé un joli slip, tu vas prendre appui sur mes épaules pendant que je t’aide à l’enfiler, lèves le pied droit.. voilà, le gauche maintenant.

Elle fait glisser le vêtement le long des jambes, puis l’ajuste sur le bassin de son soumis, qui semble assez surpris. Elle lui enlève le bandeau, il regarde le slip, plutôt classique, noir brillant, très moulant.

-        vas te regarder dans le miroir !

Il s’exécute mais dès le premier pas il vérifie la première sensation qu’il avait eue lorsque le slip s’était positionné sur ses fesses, chaque mouvement entraîne une brûlure intensifiée de ses rondeurs marquées par le martinet et la cravache.

-        Oh Madame ! ça brûle ! c’est terrible.. c’est bien pire que le papier de verre sur mes tétons.

-        Ce ne sont que des tampons à récurer, tu sais les carrés verts qui grattent …

-        L’effet est très pénible sur mes fesses que vous avez si bien maltraitées Madame.

-        Et maintenant file allumer le barbecue, j’ai faim moi. L’effort physique m’a affamée. N’oublie pas ton t-shirt j’ai mis de nouveaux papiers de verre, un peu plus râpeux.

 

          Jim l’enfile, effectivement l’effet est plus puissant qu’avec celui qu’il avait tantôt, mais c’est moins dur que sur les fesses, il sort de la pièce en se dandidant, il ne sait comment faire pour éviter le frottement qui le torture. Il prépare le barbecue en mesurant ses pas, heureusement qu’il a tout à portée de main ou presque. Il se demande maintenant comment il va faire pour s’asseoir à table avec son slip renforcé. La position assise ne doit pas être très agréable.

 

Quand Lydie arrive avec son plateau, la braise est chaude à point. Il installe soigneusement les aliments à cuire, puis mets le couvert sur la table à proximité. Les effluves le font saliver. Lydie a à nouveau ce petit sourire qui l’avait troublé tout à l’heure.. Elle va prendre un rouleau de corde qu’elle avait déposé à l’autre bout de la terrasse.

-        jim va t’appuyer contre le pilier, celui qui est le plus proche du barbecue.

-        Oui Madame, mais… que voulez vous faire ?

-        Oh tu va le voir bien assez tôt, mon cher petit jimmy

Elle commence par lui poser 2 petites pinces sur la base des tétons en laissant la pointe libre, puis rabat le t-shirt.  Elle fixe une extrémité de la corde à l’anneau du collier puis le passe par-dessus un morceau de poutre, tire très fort afin de l’obliger à se mettre sur la pointe des pieds,  ensuite entoure la taille, puis repasse plusieurs fois à la hauteur des seins en immobilisant les bras et en serrant bien de façon à bien écraser le papier de verres contre les tétons. Un gémissement échappe à jim, puis un autre lorsque la corde vient entourer ses fesses et les serrer contre la poutre.  Enfin Lydie se recule un peu et admire son chef d’œuvre..

-        te voilà ficelé comme un saucisson  jimmy, surtout ne bouge pas ! sois bien sage. Moi je vais aller dîner, j’ai l’estomac dans les talons.

 

Sous les yeux écarquillés de son soumis, Lydie s’installe à table, et commence à manger tranquillement, en lui racontant ses sensations gustatives..

-        ce saumon est un régal, si tu savais ! les petits légumes fondent dans la bouche… Et le reste du vin de midi se marie parfaitement avec !

Elle mange les 2 papillotes, en prenant quand même la peine d’aller en donner une bouchée à jim afin qu’il puisse juger de ce qu’il manque.  Elle se régale ensuite de la salade et d’une saucisse, jim n’ose rien dire mais il est visible à ses mimiques qu’il n’apprécie que moyennement la plaisanterie de sa Maîtresse. Elle lui fait boire la dernière gorgée de vin de son verre. Puis débarrasse la table :

-        tu vois je suis gentille, je fais ton travail ! mais pour une fois tu as une raison valable de ne pas le faire. Je te laisse la vaisselle pour tout à l’heure.

-        Madame vous êtes sadique, vous me torturez, je suis mort de faim moi ..

-        Mais voyons, tu n’aurais pas pu dîner à table avec moi, cela t’aurait fait trop mal aux fesses d’être assis sur une chaise. Sois tranquille tu auras à manger tout à l’heure.

 

Lydie a disparu à l’intérieur de la cuisine. Jim se pose des questions, qu’invente-t-elle encore. Pourvu qu’elle le détache et lui donne quelque chose à manger, il a si faim que même un morceau de pain lui paraîtrait un régal. Enfin la revoici. Elle promène ses doigts sur le corps tendu, l’excite longuement en frottant une corde sur son sexe, mais il n’a plus qu’une idée : manger.. L’avoir ainsi regardée se régaler en étant douloureusement immobilisé a augmenté son appétit dans d’étranges proportions. Elle déroule la corde, lentement, en appuyant  sur les points sensibles ; il peut à nouveau poser ses pieds en entier sur le sol, le sang qui re-circule lui provoque des fourmis dans les jambes, ses fesses lui semblent être en sang, et ses tétons doivent mesurer plusieurs centimètres. Pour finir Elle enlève sans beaucoup de précautions les pinces des seins, il saute sur place sous la douleur fulgurante.

 

Pendant qu’il se remet de son séjour contre la poutre, Lydie est repartie à la cuisine. Lorsqu’elle revient elle porte une gamelle de chien, remplie des restes du barbecue, salade, merguez et saucisses coupées en petits morceaux, le tout bien mélangé. Elle pose la gamelle par terre au milieu de la terrasse, et ordonne :

-        voilà ton dîner, tu vas le déguster à quatre pattes, les fesses en l’air comme cela tu n’auras pas mal, et sans couverts bien entendu.

Elle pose un bol d’eau près de la gamelle et ajoute :

         -    Dépêche toi de manger,  ensuite tu finiras le rangement, et la vaisselle. Moi je crois    que j’ai trop bien mangé, je vais aller m’allonger, tu viendras me rejoindre quand tu auras fini.

-        Peut-être, si tu es bien sage, auras tu droit à une petite récompense !


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Merci ma chère Lia pour ce beau récit, nos lecteurs devaient être impatients de lire ce nouveau texte d'écrivaine avertie comme toi.
Je t'embrasse très fort*
Mylady 

 

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Commentaires

Voilà un texte en tous points remarquable.
Vous écrivez admirablement bien, madame.
commentaire n° :1 posté par : Patrick le: 30/11/2009 à 21h53
Bonjour Maîtresse Lia,
  Merci beaucoup pour ce récit particulier, je me sens vraiment dans le role tel décrit dans cette histoire...en serais je capable? pour l'amour d'une Maîtresse; certainement oui..  Luc
commentaire n° :2 posté par : luc67 le: 01/12/2009 à 15h08
Qui est Patrick qui a laissé un commentaire ???
commentaire n° :3 posté par : Lia le: 06/12/2009 à 20h49

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