Lundi 30 août 1 30 /08 /Août 14:41

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CHAPITRE 10  (par Fidèle)

 

 

Combien de temps au-je passé dans le coffre de la voiture ? Un quart d'heure ? Une heure ? Impossible pour moi de le dire tellement j'étais anxieux. Étrange sentiment que cette peur panique tout en sachant pertinemment que maîtresse Colette ne fera jamais rien qui me nuise.

 

Lorsque je suis arrivé dans le salon, j'ai reçu un nouveau choc en voyant maîtresse VERA, la sachant de nature très exigeante envers les soumis mâles dont elle dispose ; d'autant plus cruelle qu'elle avait trois spectatrices pour juger du bien fondé de sa réputation de maîtresse impitoyable.

 

Maîtresse Clotilde est une grande femme brune au regard sévère. Elle est sanglée dans un pantalon de cuir noir et un gilet qui dégage ses épaules musclées. Lady Emily quant à elle a environ 25 ans, un petit sourire moqueur au coin des lèvres, Étonnamment elle est habillée de façon très classique, jupe droite, chemisier et pull. Sous sa chevelure blonde elle ressemble à une étudiante sage.

 

 

Ces dames discutent entre elles pendant que je prépare le thé à la cuisine. Lorsque je reviens,  maîtresse Clotilde a passé son bras autour des épaules de Lady Emily, dans une posture qui laisse penser qu'elles entretiennent des relations intimes. Je dépose le plateau sur la table basse, dispose les tasses de porcelaine et commence à verser le bouillant liquide. Alors que je suis encore courbé, je sens une main se glisser entre mes jambes pour empoigner mes testicules. Je sursaute mais me reprends vite, conscient de la grave punition qui me serait infligé si je renversais ne serait-ce qu'une goutte du breuvage sur le tapis. C'est Maîtresse Clotilde qui me tient par les boules. Elle a une poigne de fer et tire vers le bas jusqu'à ce que je m'agenouille.

                  « Voilà, c'est mieux ainsi. » déclare-t-elle en me libérant. J'aimerais pouvoir masser mon entrejambes douloureux mais je préfère croiser mes mains sur ma nuque, adoptant la position de soumis recommandée par ma maîtresse.

 

Maîtresse VERA se dirige alors vers un coin de la pièce et, derrière le repli d'un rideau saisit une corde. Il s'agit d'un système presque invisible de poulies qui fait descendre un mousqueton au milieu de la pièce. Maîtresse Colette me conduit et y attache mes poignets après m’avoir dévêtu, dévoilant à l’assistance mon sexe encagé. Puis elle me fait écarter les jambes, découvre sous le tapis des anneaux au sol et m'y attache les chevilles jambes toujours écartées. Je suis toujours à genoux, les mains sur la nuque.

 

J'ai l'impression d'être exhibé comme un animal de foire devant les regards amusés de ces quatre femmes. Lady Emily est la plus curieuse, elle s'approche pour éprouver la solidité du dispositif en tirant dessus. Elle ne profite pour saisir entre ses ongles un de mes tétons et le pincer durement. Elle plonge son regard dans le mien, serrant plus fort. Mon téton me brûle. Son visage est tout proche du mien. Elle pince de toutes ses forces. La douleur est intense. Une larme coule sur ma joue : c'est le signal qu'elle attendait pour desserrer son étreinte. J'aurais dû me douter qu'elle cachait bien son jeu...

 

En buvant leur thé, elles discutent de la cage de chasteté et de ses bienfaits tout. Parfois elles me posent des questions auxquelles je dois répondre de façon aussi précise et concise que possible. Elles semblent y trouver bien des avantages et je suis fier d'avoir contribué à faire des nouvelles adeptes de ce dispositif, tellement utile à toute dominatrice.

 

Après une bonne heure de conversation, Maîtresse VERA se lève à nouveau pour se diriger vers le coin de la pièce où se trouve l'extrémité de la corde. Elle tire dessus, me faisant me lever jusqu'à ce que mes bras attachés soient tendus vers le haut. Je suis debout, jambes attachées écartées au sol et bras touchant presque le plafond, avec pour seul ornement une cage de chasteté qui emprisonne depuis une semaine mon sexe qui essaie vainement de se tendre.

Les maîtresses s'amusent beaucoup de la situation. Maîtresse Colette prend alors la parole :

-« Il est temps de nous amuser maintenant. » Elle me pose un bandeau sur les yeux et continue « Jean porte cette cage depuis une semaine déjà et je l'en félicite. C'est une preuve de dévotion et d'amour envers sa maîtresse que j'apprécie. Et pour lui signifier ma gratitude, je vais l'autoriser à éjaculer. »

 

Les autres maîtresses approuvent en riant, sachant que ma jouissance sera conditionnée par quelque jeu sadique. Lady Emily m'explique qu'elle va poser des pinces à linge sur mon corps. Les yeux bandés, je sens les pincements successifs sur ma peau. Les pinces sont assez rapprochées et disposées en deux bandes partant d'entre mes cuisses, courant sur l'aine, ma taille et pour finir sur mes seins. Elle pose chaque pince avec soin, en tout sans doute une vingtaine de chaque côté. Les pinces qu'elle pose sur mes tétons sont de toute autre nature : elles serrent plus fort et sont lestées. Elle les pose avec encore plus d'attention, jouant avec le lest une fois qu'elles sont en place.

 

La douleur est lancinante, générale et croissante. Je reste ainsi quelques longues minutes tel un tableau vivant, exposé au regard satisfait de ces dames. J'entends des doux gémissements et devine que maîtresse Colette n'a pu résister à la beauté de mon supplice et est tombée dans les bras d'une de ses amies ou se caresse seule.

 

Malgré la douleur l'image de ma maîtresse se caressant devant moi m'excite. J'entends mon cadenas s'ouvrir, sens alors que maîtresse Clotilde me retire ma cage et mon sexe est libéré. J'ai du mal à bander car la douleur est très présente.

 

- « Je t'ordonne de jouir, le plus rapidement possible. » me dit maîtresse Clotilde pendant que je sens la main de son amie s'activer sur mon sexe qui commence à se tendre. Elle me branle sans ménagement et malgré la douleur des pinces je sens le plaisir monter. Lorsque je suis sur le point de jouir, elle lâche mon pénis pour passer son index sous mon membre tendu. Le supplice est atroce. Encagé depuis si longtemps, j'ai une folle envie d'éjaculer. Je donnerais tout ce que je possède pour que Lady Emily empoigne mon sexe et en fasse jaillir le sperme qu'il a maintenant du mal à contenir. Mais elle est diabolique et continue à effleurer. Soudain je suis pris de soubresauts incontrôlables et le liquide blanc jaillit. Lady Emily exprime sa joie par un « Bravo » sonore. Je sens mon sperme s'écouler mais je ne jouis pas. Mon étonnement est de courte durée puisque je sens les pinces placées entre mes cuisses tirées par une main ferme. En fait - je le réalise maintenant - toutes ces pinces à linge sont réunies par une ficelle et Lady Emily est en train de tirer dessus. Les pinces sautent les une après les autres. La douleur est atroce et atteint son paroxysme lorsque les poids sont arrachés de mes tétons. Une fois mon sexe redevenu flasque, maîtresse Colette remet en place la cage et me délivre de mes liens.

Je suis autorisé à aller me doucher rapidement pour ensuite revenir au service de ces dames. Maîtresse Colette prend la parole :

-      « Je suis contente de toi. Tu est un bon soumis. Mais tu as mis trop longtemps à jouir. Maîtresse VERA a chronométré 3 minutes entre le moment où ta cage a été retirée et celui où ton sperme a jailli. Tu porteras donc la cage trois semaines de plus, sans interruption.

-       

Je m'agenouille devant ma maîtresse et la remercie de m'avoir choisi comme soumis. Ma maîtresse se tourne vers ses amies:

- « Voilà, chères amies, le bienfait majeur du port de la cage : votre soumis vous sera reconnaissant en toutes circonstances.

 

 

 

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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