Son rêve se réalise, durant toute son existence il espérait être asservi. Mais comment pouvait-il assouvir ce désir ? Les années passent, le train-train quotidien, une épouse, des enfants, une carrière avec des pensées enfouies, son jardin secret. Suivent le divorce, la liberté et qu’un seul souci, celui de trouver sa Reine.

Il l’imagine impressionnante, qui sait ce qu’elle veut, qui possède l’expérience de dominer, séduisante et cérébrale. Que son regard impose le respect, sans haine ni effet de séduction, qu’elle soit naturelle, qu’elle soit dominante.

Il aimerait que sa perversité soit de nature spontanée, sans chercher à lui plaire mais, bien au contraire, ce sera son rôle de la vénérer telle qu’elle est. De toutes façons elle serait sa Maîtresse, l’être le plus cher à son cœur, la femme de sa vie.

Il dormirait nu, attaché au pied de son lit, sa récompense serait d’être à ses petits soins, de lui faire sa toilette, de la masser, la soulager des tâches ménagères afin qu’elle puisse se reposer. S’adonner à ses passions favorites comme l’écriture dont il pourra la seconder efficacement ou recevoir ses amies en leur servant le thé.

Il ne voudrait jamais oublier sa place d’esclave, ne serait-ce qu’en pensée, sachant pertinemment que ses fautes seront sanctionnées. Il portera sa chaîne, gage de sa servitude.

Il sera toujours anxieux mais prêt de rejoindre l’antre de ses supplices selon le bon vouloir de sa bien aimée.

L’aurait-il enfin trouvé ?

Toujours est-il qu’il l’espère !!!

De tous mes articles, c’est le thème de la ceinture de chasteté masculine qui atteint la priorité. Il est vrai qu’il s’agit d’un sujet convoité et d’un fantasme de bons nombres d’entre vous. Néanmoins, il n’est pas très aisé de trouver la personne qui prend plaisir à ce sacrifice. Il l’est encore moins pour un esclave qui offre cette chasteté à sa Maîtresse.

La libido de l’homme se voit contrainte d’abstinence pleine et entière. Plus de caresses solitaires, encore moins de pénétrations. D’être libéré pour quelques heures permet à la verge de se déployer à volonté, de prouver le désir envers sa Maîtresse, d’espérer une libération de sperme lequel, après toutes ces semaines, gonfle et durcit les testicules.

Elle décide pourtant de lui remettre sa cage, ce qui ne fut une mince affaire. 

L’esclave est parti en déplacement, sa Maîtresse possède la clé et se pose mille questions. Comment réagit-il de cet éloignement géographique ? N’essaye t’il pas de trouver un subterfuge pour se libérer ?

Une pointe de colère s’empare de la propriétaire, l’esclave est revenu à son domicile mais trop occupé par ses activités, ne lui rend pas compte de cette nouvelle épreuve.

Il est évident qu’il attend essentiellement une nouvelle libération.

A suivre …………

La plus belle preuve de cette supériorité n’est-elle pas celle 
d’avoir un esclave à ses pieds ?

De le sentir plié, à genoux ou prosterné sous votre talon.

De lui faire sentir votre force et votre volonté.

Vénération, sublimation, adoration !!!

La longue allée bordée des lourdes et majestueuses colonnes,

lesquelles représentent la rigidité d’esprit.

Mais les pavés mènent à la libération. 
Celle de créer une communauté D/S - SM

Cette initiative fut souvent ébauchée mais n’a jamais été réalisée. Pourtant il est certain que bon nombre des adeptes D/S et SM seraient heureux d’y adhérer.

L’Est de la France est une région riche en culture, non seulement agricole mais cérébrale. Néanmoins, une certaine libération d’esprit s’instaure, trop longtemps réfrénée par l’éducation stricte de son passé.

Il ne s’agit pas d’ouvrir un club spécialisé, plusieurs personnes ont essayé mais échoué. Par contre, de créer cette communauté pour se rencontrer en toute convivialité, amitié et complicité. Sans pour autant, je préfère le préciser, sombrer dans la lubricité, la vulgarité et surtout pas dans un style de professionnalisme.

Bien au contraire, en toute simplicité pour passer d’agréables moments d’échanges de notre passion commune. Ne plus se voir contraints de la refouler, d’en être frustrés, de se cacher.

Pourquoi les grands de ce monde ont-ils la possibilité d’assouvir leurs besoins de se soumettre ou de dominer ? L’argent, me diriez-vous ! Ce règne infaillible de notre époque.

Ne serait-il pas plus indiqué d’oublier cette contrainte ? Il s’agirait de vivre et se libérer pour aboutir à un épanouissement de notre personnalité, quelle qu’elle puisse être.

Une de mes amies, pourtant non initiée, me dit un jour :

-        Arrête de vouloir dominer, cela ne t’apportera rien !!

Elle ne peut savoir combien cela m’est indispensable, elle ne peut comprendre ne l’ayant jamais vécu ni en tant que soumise encore moins en tant que Dominatrice. Je ne pouvais lui en parler d’emblée, mais un jour j’aurai cette opportunité, non pas pour la convaincre mais, qu’elle arrête de juger.

C’est cet exemple qui m’a décidé à réitérer mon souhait, à vous d’y adhérer et de soumettre vos opinions et vos idées.

J’attends vos commentaires !!!

Les quatre saisons

Connaissez-vous les bienfaits de la nature ?

LE PRINTEMPS

La fraîcheur du soir est destinée à l’esclave, nu, attaché à un arbre à l’écorce tranchante pour lui faire respirer l’air vivifiant avant de l’entraver dans son alcôve pour la nuit.

Egalement en journée, par temps de pluie, profitable pour sa peau et la désaltérer. Patient, après de longs moments, il attend sa délivrance. Sa Maîtresse daigne lui accorder son sourire en le détachant. Heureux de lui prouver sa reconnaissance, il se jette à ses pieds afin de les embrasser de sa langue fraîche et trempée.

Pour le récompenser de son apprentissage à l’endurance, elle lui ordonne de se plier et de lui offrir son échine. Merveilleuse offrande sur laquelle elle inflige des caresses intenses avec une superbe branche de noisetier.

L’esclave est comblé, la Maîtresse, satisfaite de son éducation !!!

Oh ! Soyez remerciée DAME NATURE !!!

L’ETE

Vint le temps, non pas du muguet, mais des orties, fleurs délicieuses de supplices.

Munie de gants noirs, ses intentions le sont autant, la Dame cueille ces beautés devenues sa complice. Ce sublime bouquet frôle les fesses du supplicié, consentant à souhait. Nul besoin de se fatiguer, les belles brûlent au gré des attouchements, allant du dos aux jambes, jusqu’aux entre-jambes. Ses gémissements n’ont de cure, l’esclave doit les supporter le temps de leur dégorgement.

Ce traitement devient quasi quotidien, rien que pour son bien.

Oh ! Soyez remerciée DAME NATURE !!!

A la fin de cette belle saison, viennent à éclore « Les fleurs du mal » De majestueuses roses d’un parfum capiteux et d’épines voluptueuses.

Notre esclave se voit contraint de les vénérer, non pas pour l’embaumer mais pour les honorer. En connivence avec Dame Nature, la Maîtresse les avait choyées pour rendre les épines résistantes et vigoureuses. Il sera obligé de les porter, bien plantées dans sa peau sous son jean et polo en conduisant sa Divine chez ses amies pour prendre le thé. Les épines s’enfoncent dans ses fesses et son dos comme mille aiguilles, mais il ne peut que s’y plier.

Oh ! Soyez remerciée DAME NATURE !!!

L’AUTOMNE

Les feuilles des arbres et les fleurs espèrent un été indien, mais Dame Nature en a décidé autrement. Ciel gris et sombre, menaces d’orages tardifs pour cette saison, la mauvaise humeur de la Maîtresse s’abat sur l’esclave comme la foudre. Il n’a d’autre alternative que d’obéir à ses caprices et subir son courroux.

Les ronces remplacent la paille odorante des senteurs d’été de sa couche. Ses nuits sont longues, tant la douleur emplie son corps meurtri par les bienfaits de sa formation à l’endurance. Ses rêves commencent à se réaliser, rien ne saurait arrêter les sévices de son Aimée. Il ne songe qu’à son bien être, de la servir et la chérir, car il y a si longtemps qu’il l’espérait.

Trois mois de purgatoire pour arriver enfin à l’ultime saison et mériter l’enfer de l’hiver !

Oh ! Soyez remerciée DAME NATURE !!!

L’HIVER

Malgré le feu qui crépite dans la cheminée, il fait froid dans la maisonnée, rien de tel que de couper du bois pour le réchauffer. Nu et toujours entravé, l’esclave se voit obligé de se rouler dans la neige pour se purifier et honorer Dame Nature par ses coups de fouets qui traversent son corps. Sa Maîtresse, satisfaite des bienveillances de son affidé, se délecte des souffrances infligées à cet esclave consentant et heureux de leur prouver combien il leur est dévoué. Son avenir n’aura d’autres soucis que d’obéissance, d’accoutumance, de souffrance pour leur témoigner sa reconnaissance de l’avoir choisi.

-        Je vous appartiens, Oh Déesses de mes sens !

Soyez remerciée DAME NATURE !!!

Soyez remerciée, MYLADY !!!