Lundi 2 février 1 02 /02 /Fév 15:11

ET NOUS NE SOMMES PAS ENCORE EN AVRIL

 

 

J’ai appris que le bruit court que le Cercle des Dominatrices de l’Est serait dirigé par un homme.

Je pense en connaître la source mais peu importe, ce n’est pas parce que j’ai invité mon ami à la réunion anniversaire du Cercle, que ce dernier en soit le dirigeant……. Loin s’en faut.

Cela m’amuse bien plus que cela pourrait me contrarier, car mon principe est d’ignorer ces bêtises et d’en rire.

Il suffit de lire son article : PREMIER ANNIVERSAIRE DU CERCLE RESSENTIS D UN MAITRE du 25 11 2008

pour constater combien il est admiratif de notre œuvre, de notre entente et de notre complicité à toutes.

J’ai pensé  que cela amuserait également mes lecteurs qui nous connaissent bien !

La jalousie est un vilain défaut !!!!

 

A bon entendeur……


Mylady

Par Mylady - Publié dans : COURRIELS
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Jeudi 29 janvier 4 29 /01 /Jan 12:58

En parcourant plusieurs articles de mes consœurs, je m’aperçois que nous sommes toutes d’accord sur certaines vérités.

Les hommes nous considèrent souvent comme des : je cite, « Produits de consommation » et se servent de nous pour assouvir leurs fantasmes. Dans leurs annonces ils déballent les pratiques qu’ils veulent consommer.

Mais pour qui nous prennent-ils ????

Messieurs ! Arrêtez de nous considérer comme telles !!!

Je me tue à vous répéter que nous sommes des femmes avant tout. Que nous avons une vie sociale comme les autres, que nous ne sommes pas avec le fouet à la main en longueur de journée.

Autour de moi, comme personnellement, nous constatons que, si nous n’allons pas à l’encontre de vos pulsions, votre attitude est la plus décevante.

Soit, à vos yeux, nous ne sommes pas Dominatrices, soit vous nous prenez pour des femmes sans cœur.

Le comble est que vous puissiez penser que nous nous servons de vous pour être admirées ou pour combler un vide affectif.

Vous êtes heureux quand vous trouvez l’attention de l’une d’entre nous, vous êtes prêts à vivre cette belle relation, puis, pour une raison ou une autre, vous cherchez des excuses pour nous accabler. Un jour, vous vous apercevez que finalement nous avons plein de défauts, que nous ne sommes pas assez ceci ou cela.

Quelle belle découverte !!!

Le pire est évidemment si vous disparaissez comme des lâches sans donner d’explications.

 

Pensez-vous vraiment que vous êtes soumis ? Ne seriez-vous pas ce que j’appelle vulgairement : des consommateurs ?

Il est évident qu’il ne faut jamais généraliser mais, compte tenu des doléances de mes consœurs, il faut croire que vous êtes légion quand même. Alors ne vous étonnez plus si vous vous trouvez, voir retrouvez, sans collier !!!

Ne venez pas vous plaindre et ayez le courage de nous dire ce que vous cherchez vraiment, au lieu de nous raconter des histoires.

 

Pour terminer avec une note d’humour :

-        Bonjour Madame, êtes-vous Dominatrice ?

-        Que veut dire Dominatrice d’après toi ?

-        Ben, une Dame qui nous donne de la domination, Madame !!

 

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J'attends vos réactions !!!
Mylady

Par Mylady - Publié dans : CONSEILS
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Mercredi 28 janvier 3 28 /01 /Jan 01:20

L’heure du déjeuner avait enfin sonné et il se rendit à la cantine avec son nouveau collaborateur avec qui il partageait le bureau. Les échanges furent courtois mais, ne se connaissant pas bien encore, ils discutèrent de choses banales quant à leurs origines et parcours respectifs. A la fin du repas alors que les relations commencèrent à se détendre, il lui posa une question : « Et que penses tu de notre chère responsable ? » et il lui répondit assez vivement et à voix basse, en jetant un œil aux alentours: « fais gaffe de ne pas parler de Mademoiselle K., dans ces termes et aussi fort...Ici Elle fait la pluie et le beau temps, car je ne sais pour quelles raisons, mais elle a toujours l’appui de la Direction, donc je te conseille de faire profil bas avec Elle et de faire au mieux ton travail, dans les meilleurs délais, si tu souhaites avoir un avenir dans la boutique ». Il était cinq minutes avant la reprise et il vit passer Mademoiselle avec, semble t il un membre de la Direction, vu son âge et sa tenue. A cette arrivée, la cantine se vida et tout le monde rejoignit rapidement son poste de travail.

Suite à la discussion de ce matin, le jeune homme pensait passer l’après-midi en présence de la DRH, mais tel ne fût pas le cas. Vers 17H00, après avoir lu de nombreuses procédures sur le système ISO de l’entreprise ainsi que sa fiche de poste, il décida de quitter l’entreprise et de rentrer chez sa mère. Au détour du couloir, celui-ci croisa le chemin de la DRH qui immédiatement le stoppa et lui fit la remarque suivante : « Tu as pris ton après midi ou quoi ? » De nouveau, se sentant bien faible devant cette Dame, il bafoua quelques mots et celle-ci y mis court aussitôt : »Demain, je  veux te voir à 7H00 tapante dans mon bureau, pour que je puisse commencer à t’expliquer ce que j’attends de toi Bruno. » Il ne répondit que par : « bien Mademoiselle K. ». « Heu tu n’oublies pas quelque chose Bruno ? », « Quoi Mademoiselle K. », « La politesse, tu connais ? Tu pourrais me souhaiter une bonne soirée, c’est un minimum... hé bien toute une éducation à refaire, je vois ». Le jeune homme ne pût répondre : « Bien Mademoiselle, je serai à l’heure et je vous souhaite une bonne soirée ».

Le jeune homme rentra par le bus, tranquillement chez lui et en arrivant se précipita et s’enferma dans sa chambre, sans dire un mot à sa mère, qui en fût toute surprise car elle s’attendait à un récit détaillé de sa première journée. Couché sur son lit, les yeux fermés, le jeune homme se donnait du plaisir solitaire en repesant à cette Divine Mademoiselle K. et sa jupe droite en cuir. Il eut un orgasme foudroyant et eut quelques minutes avant de reprendre totalement ses esprits. Cela fût tellement fort, qu’il n’avait plus conscience du monde extérieur, et notamment que sa mère tapait à sa porte pour savoir s’il allait bien. Il répondit laconiquement que oui, que la journée s’était bien passée mais que le travail était harassant et qu’il avait besoin de se reposer un peu avant de descendre dîner.

La soirée se finit par un repas léger et il prit la direction de sa chambre et s’endormit rapidement. Ses songes le conduire à se retrouver aux pieds de Maîtresse KEISSLER, et à la servir comme son secrétaire particulier.

Le lendemain matin, le jeune homme se réveilla vers 5H30 pour ne pas être en retard selon les instructions que lui avait données Mademoiselle K.. Il se rasa de très près, mis sa meilleure eau de toilette. Le pauvre, il avait dans la tête de séduire Mademoiselle K., si elle se doutait...

Malheureusement pour lui, il dût attendre plus longtemps le bus qu’il ne l’escomptait, car il n’avait pas pensé que la circulation à cette heure matinale serait réduite. Ce qui devait se produire arriva...Sa montre affichait 10 minutes de retard déjà lorsqu’il descendit du bus. Il se précipita vers les portes de la société, mais aperçut avec horreur Mademoiselle K. dans l’entrée, qui trépignait d’impatience. Il n’eut pas le temps de voir sa tenue, car aussitôt il regarda le sol en marbre de l’entrée. Mademoiselle K. lui fit réprimande sur son retard et lui demanda de le suivre immédiatement dans son bureau. Dans l’ascenseur sans un mot, les yeux tournés vers le sol, il pût apercevoir les magnifiques escarpins dont Mademoiselle K. avait orné ces pieds.

Dans le bureau, Mademoiselle K. lui présenta son travail de façon précise. Il était envouté par son parfum et par moment il avait l’impression qu’elle l’effleurait très sensuellement lorsqu’elle lui transmettait un document, où lorsqu’elle se plaçait derrière lui pour lui expliquer  un autre... Le jeune homme était très excité et il essayait tant bien que mal de cacher sa protubérance, mais soudainement elle lui dit : « Je te fais de l’effet Bruno, on dirait... ». Le jeune homme se mit à rougir et dit : « non Mademoiselle K., avec beaucoup de trouble dans la voix » et elle poursuivit : « ha bon, je ne te suis pas désirable, tu ne me trouves pas à ton goût ? Alors comment expliques-tu la bosse que je vois poindre sous ton costume ? « Aussitôt le jeune homme fort gêné par cette remarque croisa les jambes... ». A la vue de ce réflexe, Mademoiselle K., lui demanda fermement, pour ne pas dire ordonna, de décroiser les jambes car pour une femme, il n’est jamais désagréable de voir qu’elle reste désirable, même pour un jeune puceau. Le jeune homme se demanda aussitôt comment elle pouvait connaître un point si intime de sa vie, et Mademoiselle K. perçut immédiatement le fon de sa pensée, comme si elle pouvait lire dans ses pensées : « Il n’y a rien d’étonnant à cela Bruno, tu habites chez ta mère, tu baisses les yeux devant les femmes... ». Elle esquissa un large sourire et rajouta : «  mais je dois dire que tu ne me laisses pas non plus indifférente Bruno.. ». A ces paroles, Bruno eut une érection extrême et Mademoiselle K. recentra aussitôt le débat : « Mais bon cette discussion n’est pas l’objet de la réunion de ce jour, remettons nous au travail ». La réunion de travail se déroula plus sagement qu’elle n’avait commencé. Mais Bruno était fort troublé par tout cela. Cependant à la fin de la réunion, Mademoiselle K. lui dit : « Bon nous avons bien travaillé Bruno, n’est ce pas ? », « oui Madame, pardon Mademoiselle ». « J’aimerais faire plus amplement connaissance avec toi, demain nous sommes Samedi, je t’invite à prendre un verre demain midi chez moi.... »

Dring Dring, le réveil sonna, Bruno s’éveilla sur une nouvelle journée de travail. Son rêve avait été fort agréable, mais il devait se préparer pour se rendre à son travail. Ce travail si pénible sans aucun avenir dans son petit costume gris, triste comme sa vie. Et il pensa : « Ah si je pouvais rencontrer une Dame comme Mademoiselle K.… »


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Très belle chutte qui nous aura tenue en haleine, harri !!!!
Mais tu as eu raison de t'exprimer, il fait si bon rêver !!!

Encore toutes mes félicitations, je t'encourage de poursuivre dans cette voie.
Mylady

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Lundi 26 janvier 1 26 /01 /Jan 20:40

Ce jour là, le jeune homme s’était mis sur son 31 pour son premier entretien d’embauche suite à la sortie de son école. Il habitait encore chez sa mère. Avant son départ, elle vérifia que sa tenue était impeccable : chaussures noires bien cirées, cravate bien ajustée, costume bien mis et sans faux pli. Le jeune homme était oppressé par la présence de sa mère qui était toujours sur son dos.  Mais il ne connaissait que cette seule présence féminine, omniprésente depuis sa naissance, voir étouffante.

Enfin l’heure du départ sonna, il embrassa machinalement sa mère et le ventre noué, se dirigea vers l’arrêt d’autobus. Dans l’autobus, une jolie jeune femme regardait cet homme qui était loin de laisser indifférent la gente féminine, et qui plus est, avait un certain charisme en costume. Il croisa les yeux de cette voyageuse, elle lui sourit, mais celui-ci baissa immédiatement les yeux et se mit à rougir.

Enfin l’arrêt de bus, il descendit et sa gorge se noua. Mais d’un pas décidé se rendit à l’adresse de l’annonce, ayant déjà eu un premier entretien téléphonique avec un homme qui s’était présentait comme étant le DRH de cette PME.

Il se présenta à l’hôtesse d’accueil et celle-ci le conduisit dans une salle de réunion. Il attendit dans cette salle plusieurs dizaines de minutes. Quant soudain, une Femme d’une trentaine d’année se présenta à lui, d’une voix douce mais ne prêtant pas à discussion : «  Je me présente je suis Mademoiselle K. et je vais réaliser votre entretien ». Le garçon était à la fois troublé par l’importance de l’enjeu et la beauté de cette Dame : Elle était de noir vêtue sauf le chemisier blanc, qui tranchait par rapport à la couleur de sa jupe droite et son gilet, des escarpins vernis….

Le jeune homme bredouilla : « bonjour je suis Bruno G., j’attends le DRH pour un entretien… ». De suite la voix ferme de la Dame le coupa : « je suis la DRH….et c’est mon collègue qui m’a demandé de vous rencontrer ». Le jeune homme essaya de bredouiller des excuses mais la DRH y mis vite un terme.

L’entretien se déroula comme tous les entretiens de ce type, le seul élément notable fût l’extrême gêne du jeune homme ainsi qu’une érection assez persistante durant celui-ci. La DRH ne pût pas ne pas la remarquer, et lui fît remarquer plusieurs fois durant l’entretien. A la fin de l’entretien, la DRH raccompagna le jeune homme sans jeter un coup d’œil persistant sur la  protubérance au niveau du sexe. Elle conclut de la façon suivante : « merci Monsieur GARDE de vous être déplacé, mais je ne veux point vous laisser beaucoup d’espoir quant à la suite que j’y compte y donner. Je vous confirmerais ma réponse définitive par téléphone sous trois jours ».

Le jeune homme rentra chez lui, avec l’âme en peine, et s’en voulant énormément de la prestation qu’il avait fournie, notamment pour avoir laissé son esprit s’enflammer au vue de cette belle Dame. Il avait vraiment besoin de trouver un travail pour pouvoir rembourser au plus vite un prêt étudiant qu’il avait dû contracter, et ainsi pouvoir quitter l’appartement de sa mère.

Le Lendemain de cette piteuse prestation, le jeune homme vaquait à ses recherches d’emploi sur internet quand le téléphone sonna. Comme d’habitude, sa mère décrocha le téléphone et appela son fils en lui disant : « c’est Mademoiselle K. qui veux te parler ». Le jeune homme pensa que la décision ne fut pas longue à prendre au regard de sa médiocre prestation.

Le jeune  homme prit le combiné et dit : « Madame K., je vous remercie de m’appeler et je suppose que votre réponse….. ». Mademoiselle K. interrompit sèchement le jeune en lui disant : « Jeune homme, il va falloir apprendre à vous taire quand je vous appelle et à ne plus m’appeler Madame mais Mademoiselle. J’ai horreur que mes collègues me nomment Madame ». Le jeune homme resta narquois mais en se souvenant de sa prestation d’hier repris vite le dessus : « Est-ce à dire Madame, heu je vous pris de m’excuser Mademoiselle… », « C’est mieux ainsi » reprit Mademoiselle K., « que vous acceptez ma candidature ? ». Mademoiselle K. rétorqua : « Ne me faites pas regretter mon choix, vous devez apprendre à écouter ce que je dis et à ne pas me faire perdre mon temps en vous le répétant une seconde fois ». Le jeune homme ne pût dire que « Bien Mademoiselle !» et se surprit à demander « Quand dois-je rentrer à votre service Mademoiselle ? ». Le jeune homme ne pût percevoir le sourire narquois de Mademoiselle K.  à l’entente de cette question. « A mon service pas encore….mais pour la société dès maintenant car j’ai horreur d’attendre ». Le jeune homme s’aperçut immédiatement de sa bévue mais ne releva pas, et cette phrase lui procura un stimulus intellectuel et une bonne érection. La conversation téléphonique se termina sur ces mots : « je vous attends d’ici 45 minutes, et ne soyez pas en retard, car je pourrais réviser ma position » et la communication prit fin sans plus de politesse échangée.

Raccrochant le combiné rapidement et criant à sa mère : « je suis embauché maman », il courut dans la salle de bain pour se préparer rapidement. Il remit ensuite le même costume un peu fripé de la veille. Enfin il courut à l’arrêt de bus et arriva enfin à la société.

Il fût introduit très rapidement par l’hôtesse dans le bureau de Mademoiselle K.. La tenue de la DRH, qui l’attendait derrière son bureau,  attira de suite le regard du jeune homme : une jupe droite en cuir, une paire cuissardes, enfin supposait il, car il ne voyait même plus ces genoux et un chemisier légèrement transparent qui laissait percevoir une poitrine généreuse. Bien sûr, le regard de la DRH, se dirigea furtivement sur l’entrejambe du jeune homme, car elle adore savoir qu’elle provoque l’envie chez les hommes, et la protubérance qui se dessinait, fût à la hauteur des ces espérances.

La DRH accueilli le jeune homme : « bonjour Bruno… », le jeune homme fronça les sourcils, et la DRH s’en aperçut immédiatement et dit : « Ha oui ne soit pas surpris Bruno, j’appelle tous mes collaborateurs par leur prénom et je les tutoie, en revanche, ils doivent me vouvoyer et m’appeler Mademoiselle K.. J’espère que cela ne te dérange pas Bruno, car si tel est le cas, tu peux repartir immédiatement, car je ne changerai pas mes habitudes pour un jeune premier. » Bruno était un peu déstabilisé mais répondu : « non Mademoiselle K., cela ne me dérange nullement ». La DRH ne s’attendant nullement à une autre réponse, répondit : « c’est bien Bruno, j’avais vu juste en te faisant venir ici. Bien passons aux choses importantes, ma collaboratrice va te conduire à ton bureau et tu vas remplir tous les papiers afin de finaliser ton embauche dans la société. Ensuite, je commencerai ta formation, pour ne pas dire ton éducation….car malheureusement, même avec tous vos diplômes, vous ne savez réellement pas faire grand-chose. »

Durant cette demi-journée, le jeune homme remplit tous les papiers afférents aux démarches administratives habituelles lors d’une embauche. Il ne revit pas Mademoiselle K., mais gardait le souvenir fantasmagorique de sa tenue. Cette Femme le troublait énormément par ces attitudes, ces paroles, ces habits. Il a toujours été attiré par les femmes de caractère, mais étant toujours puceau, ceci était un pur fantasme dans son esprit, et là il se surprit à penser et si cette Dame était une dominante, Oh mon Dieu que j’aimerai la servir !!! 

 

A suivre ..........

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Félicitations harri pour ce beau récit, les lecteurs seront impatients de lire la deuxième partie.

Mylady

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Vendredi 23 janvier 5 23 /01 /Jan 00:18



Ce soir, sur le forum nous discutions de choses d’autres.  Nous étions quatre amies Dominatrices et des soumis sans collier. Ils nous disaient, comme c’est souvent le cas, qu’il leur est très difficile de trouver leur Maîtresse. Qu’ils sont 100 pour une Dominatrice ce qui ne leur facilite pas la tâche.

Il est évident que dans les rues ou n’importe quel lieu public ces Dames n’affichent pas leur statut, comme eux d’ailleurs, n’affichent pas le leur.

Il m’est venu une idée que j’ai lancée et qui a animé le chat du forum presque toute la soirée.

Suite à cette initiative plusieurs propositions ont été faites pour en revenir à celle que j’avais initialement.

Que toutes les Dominatrices portent une rose blanche en tissus à leur revers de veste ou de manteau ou encore, si c’est en été, agrafée au chemisier et pourquoi pas à leur chapeau ?

 


La rose blanche étant dans le langage des fleurs celle de la soumission, de la pureté et de la timidité si elle est en bouton.

Si nous pouvions instaurer cette tradition, bons nombres d’hommes soumis oseront « peut être » approcher cette Dame dans la rue et pourquoi pas s’agenouiller devant elle ??? (sourire)

Il est évident que nous puissions déjà posséder notre soumis, mais ne serait-ce pas flatteur de nous savoir admirées en tant que telles ?

Alors Mesdames mes Consœurs et chères Amies, je vous propose de faire ce premier pas, de le diffuser autour de vous !!!

 

Imaginez que nous puissions, par cette initiative, réduire le nombre de sans colliers, que ces pauvres minous puissent enfin trouver leur bonheur !!!

Imaginez également que vous serez fières de montrer au monde que nous sommes des femmes de caractère !!!

 

Et vous, messieurs les soumis, je suis certaine que vos regards se poseront bientôt sur chaque Dame que vous croiserez, mais faites attentions aux lampadaires !!!

 

Dites-moi ce que vous en pensez !!!

 

Mylady

Par Mylady - Publié dans : CONSEILS
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Mercredi 21 janvier 3 21 /01 /Jan 23:08

"Freud, comme nombre de gens, ont défini le masochisme comme une perversion où le plaisir se trouve dans la douleur et l’humiliation.

Aujourd’hui nous ne le considérons plus comme tel, mais un jeu sexuel, alors le fantasme devient réalité, très stimulant pour un couple et bénéfique pour leur bien être. Une mise au point du jeu, en toute complicité est comme une provocation, comme un aboutissement.

Une caresse qui peut être dure, émoustille la libido mais il faut savoir la doser selon les désirs des partenaires. Savoir définir l’intensité entre la jouissance et la douleur pour obtenir l’ivresse……..

L’art su SM, c’est aussi de réaliser un fantasme…….salvateur, dès lors du passage à l’acte : Ce n’est plus un rêve.

C’est pour de vrai, que de botter les fesses de son petit chéri, devient libérateur. Fantasmer est indispensable pour l’équilibre mental, mais laisser libre cours à ses envies sexuelles, sans tabou ni restriction, c’est fondamental.

La sexualité ne se vit jamais aussi bien que dans l’affirmation de ses désirs et dans la capacité de les accepter. De plus, l’exploration du fantasme conduit vers un vaste champ de réflexion sur notre relation au corps.

En clair, se faire du bien tout en jouant à se faire du mal.

Dès que surgit le désir secret de pratiquer le SM, d’être attaché est mis en scène, il faut suggérer l’idée. La relation se trouve renforcée ! A chacun de fixer les règles de ce qui devra rester un jeu"

                                                              Docteur Marie GRANET (article paru dans S'TOYS)

 



Ce texte n’est pas de moi mais d’une femme, Docteur en psychologie. Ce qui prouve que notre monde s’ouvre à la liberté d’expression étant donné qu’ils en parlent dans les médias.

L’espoir est, que dans la prochaine décennie, nous ne soyons plus considérés comme pervers, mais bel et bien comme des personnes qui osent s’exprimer. Des personnes qui se libèrent en vivant leur sexualité.

 

NOTRE MONDE S’OUVRE ENFIN !!!

Mylady

Par Mylady - Publié dans : ARTICLES
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Lundi 19 janvier 1 19 /01 /Jan 19:46



 

 

L’ACHAT

 

 

Patrick entre dans le supermarché d’un pas décidé. Il a un achat important à faire, mais il va également faire ses courses. Il commence par ces dernières, tourne et vire dans les rayons, un peu comme en un cercle concentrique qui va le rapprocher de celui qui l’intéresse en réalité.  Plus le caddy se remplit, plus son but lui semble  imminent et plus son pas ralentit.

Il entre enfin dans le secteur de la lingerie. Un petit coup d’œil circulaire, il a choisit une heure de faible affluence et le rayon qui l’attire semble plutôt désert. Tant mieux. .. !!  Il longe les présentoirs de slips, petites culottes, soutiens gorge et autres frivolités d’un air détaché. Soudain il voit arriver une dame, face à lui, il a l’impression qu’elle le regarde d’une étrange façon.. Il accélère le pas et fait un long détour pour revenir enfin… Ouf, plus personne.!!

Il peut à nouveau chercher ce qu’il DOIT acheter : une petite culotte en dentelle, pour LUI. Sa Maîtresse lui en avait offert une, mais il l’a trop bien rangée et lorsqu’elle lui a demandé de la porter il y a quelques temps, il a d’abord prétendu l’avoir oublié en venant chez elle, puis a du avouer ne plus la retrouver mais promis de la chercher sérieusement. Seulement voilà … il ne l’a jamais retrouvée. Et Elle lui a ordonné d’aller en racheter une. Pas moyen de reculer !! il s’y est engagé…

Et le voilà au milieu de tous ces petites choses affriolantes, en train de chercher SA taille.  Comble de malheur… une vendeuse s’approche et lui demande si elle peut l’aider… Il bredouille que non, que son épouse a été très claire sur ce qu’il devait rapporter et qu’il va trouver seul ! Enfin elle s’éloigne.

Il a trouvé ce qu’il lui fallait et glisse la dentelle dans le caddy, sous les autres achats. Une autre épreuve l’attend. Il faut maintenant passer à la caisse.

Patrick traîne encore un peu au hasard, feuillette quelques livres, l’esprit ailleurs.

Il finit par se diriger vers les caisses, cherchant celle où il y a moins de monde, mais à force de tourner, il y a maintenant pas mal d’affluence. Il en choisit donc une au hasard… arrive le moment de déposer ses achats sur le tapis, en dissimulant l’achat principal, bien que si petit, au milieu de ses courses. Il jette un coup d’œil rapide sur les personnes derrière lui, personne ne semble faire attention, la caissière passe les articles rapidement, voici le tour de son slip, elle le regarde, il rougit, se trouble, honteux… que peut-elle bien imaginer ???

Dehors, enfin  … !  libéré, soulagé, il se sent les jambes un peu tremblantes, comme s’il avait traversé une épreuve. C’en était une d’ailleurs.

Et là il voit, à quelques mètres de la sienne, la voiture de sa Maîtresse, et il comprend qu’elle l’a suivi, qu’elle a surveillé de loin ses hésitations. La honte le submerge à l’idée qu’elle était là tout près.  Comme elle a du s’amuser, rire de lui..

 

Mais peut-être a-t-elle aussi été fière qu’il ait réussi l’épreuve ??? Qu’il ait OBEI ! .

 

 

Bonne lecture

Maîtresse Lia


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Merci à toi Lia pour ce beau récit, il suffit de le réaliser.

Qu'en pensez-vous les minous????

 

 

 

 

 

 

 

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Samedi 17 janvier 6 17 /01 /Jan 11:25

Je suis au carrefour

Il y a beaucoup de routes à prendre

Mais je reste là silencieux

De peur de commettre une faute

Une route mène au paradis

Une route mène à la douleur

Une route mène à la liberté

Mais elles se ressemblent toutes

 

J’ai pris de nombreuses routes (ou j’ai beaucoup voyagé)

Et toutes ne furent pas très bonnes

Les plus folles m’en ont appris plus sur moi

Que les plus sages ne pourront jamais

Une route mène au sacrifice

Une route mène à la honte

Une route mène à la liberté

Mais elles se ressemblent toutes

 

Il y avait des routes sur lesquelles je n’ai jamais voyagé

Il y avait des virages que je n’ai jamais pris

Il y avait des mystères que j’ai laissés non résolus

Mais vous laisser fut ma seule faute

 

Ainsi je reste debout au carrefour

Prisonnier de mes doutes

Comme si de ne rien faire

Pouvait me faire trouver le chemin

 

Un chemin mène au paradis

Un chemin mène à la douleur

Un chemin mène à la liberté

Mais elles se ressemblent toutes

 

 

Paroles Calvin Russell Crossroads

 

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Ce que je retiens des paroles de cette sublime mélodie est leur profonde signification. Il est certain que l’interprétation peut différer selon la vie, la situation, l’état d’âme.

Mais prenons les pour notre art de vivre !

 

Une route mène au paradis

Une route mène à la douleur

Une route mène à la liberté

 

Le paradis, la douleur, seraient votre liberté, cette liberté de pouvoir vivre ce dont vous rêviez toute votre vie : la domination, la soumission.

Libre d’en parler, libre de concrétiser, libre d’aimer !

 

Une route mène au sacrifice

Une route mène à la honte

Une route mène à la liberté

Mais elles se ressemblent toutes

 

Le sacrifice de soi, la honte d’aimer tel que nous sommes mènent justement à cette liberté d’expression à cette sérénité que nous voulions refouler.

 

Il y avait des routes sur lesquelles je n’ai jamais voyagé

Il y avait des virages que je n’ai jamais pris

Il y avait des mystères que j’ai laissés non résolus

Mais vous laisser fut ma seule faute

 

Vous avez trouvé le bonheur d’une telle relation avec une personne qui partage ce mode de vie, une complicité telle que vous l’espériez mais vous n’avez pas su la garder. Peu importe la raison mais vous en souffrez et vous faites souffrir. Les regrets ne servent à rien !

 

Ainsi je reste debout au carrefour

Prisonnier de mes doutes

Comme si, de ne rien faire

Pouvait me faire trouver le chemin

 

Vos doutes sont certainement terribles, mais ils peuvent être résolus, il suffit d’en parler. Il suffit de les exposer et de vous libérer.

Peut être retrouverez-vous votre chemin, je vous le souhaite !!!

 

Les carrefours des routes sont comme les carrefours de la vie, ils se croisent, ils s’éloignent et trouvent d’autres carrefours.

Les routes sans fin comme les étoiles, le ciel et la terre.

 

Bonnes routes !!!

 

Merci à toi boccatoy de m'avoir fait découvrir cette magnifique chanson !!! 

Mylady

Par Mylady - Publié dans : ARTICLES
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Mercredi 14 janvier 3 14 /01 /Jan 15:14


La surprise de patou

 

 

Dans les comptes rendus de la réunion du 6 décembre, il a été fait plusieurs fois allusion à la surprise qu’avait mijotée patou pour notre Cercle, et plus précisément  pour Mylady. J’expliquerai plus loin les raisons du silence fait sur cette surprise.

Donc, cet après midi là, les minous étaient convoqués pour 17h, après notre réunion. Maîtresse Héléna nous avait tenues en haleine avec la surprise de son patou, refusant de nous donner le moindre indice malgré notre insistance.  Patou, sans doute pressé de voir l’accueil qui allait être fait à son œuvre, annonce à 16h30 qu’il est un peu en avance et demande l’autorisation de se présenter chez Mylady. Curieuses nous acceptons bien volontiers.

Maîtresse Héléna nous prie de nous regrouper dans une pièce à l’écart du séjour afin de laisser à patou le temps d’installer « la surprise ». Après un quart d’heure d’attente, bien longue !!!, nous sommes enfin autorisées à venir admirer la création, en file indienne, Mylady devant entrer la dernière. Des OH et des AH ponctuent notre entrée … Quand Mylady découvre la merveille, elle pousse un grand cri de bonheur ! UNE CAGE !! patou a réalisé lui-même une magnifique cage à minous (voir la photo) elle peut être utilisée couchée, avec le minou accroupi, ou dressée et le minou sera debout mais pas complètement, compte tenu de la hauteur.

Il nous explique comment il a pu fabriquer ce chef d’œuvre, nous sommes admiratives devant son ingéniosité et bien  entendu nous décidons immédiatement qu’il va la tester en priorité.. Il y passera une heure le temps que nous savourions le goûter et le kouglof de Mylady.

Au cours de ce goûter Mylady nous signale qu’un de ses soumis, marc, qui lui promettait une cage depuis le printemps, vient de lui en annoncer la livraison pour le 10 janvier. Nous décidons de prévoir la réunion de janvier à cette date, et  de le laisser apporter sa cage, Mylady me l’offrant amicalement. C’est pourquoi nous n’avons pas parlé de celle de patou dans nos comptes rendus, afin que marc ne renonce pas à apporter la sienne sous prétexte que Mylady en a déjà une. Nous lui laissions ainsi une dernière chance de tenir sa promesse.  Malheureusement… une fois de plus…. ! Il s’est déclaré dans l’impossibilité d’assister à la réunion de samedi dernier.

 

Tant pis !!!!! Je n’aurai pas de cage. Sourire.

 

Encore bravo et merci à patou, sur lequel on peut toujours compter ! Il ne promet pas, il réalise !!!

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Merci pour ce beau récit Lia. Patou le mérite amplement.
De ses mains, il a confectionné cette cage sachant que je la désirais tellement.
Par contre, il savait également qu'elle lui servira............. sourire
Promis patou chouchou, tu y auras droit !!!!!

Mylady

Par Mylady - Publié dans : CERCLE DES DOMINATRICES
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Lundi 12 janvier 1 12 /01 /Jan 12:59

 

Samedi 10 janvier 2009

 

Nous étions anxieuses jusqu’à la dernière minute mais la météo était une nouvelle fois avec nous, les routes sont bonnes et le ciel dégagé.

Maîtresse Agnès et patou nous attendent de pieds fermes.

Notre amie Divina avait un empêchement mais était de tout cœur avec nous. Persephone devait me rejoindre mais malheureusement sa voiture a fait des siennes, elle appelle en cour de route qu’elle préférait jouer la prudence et retourner chez elle.

C’est, seule, que je prends la route sous un merveilleux soleil malgré le froid. Arrivée à Colmar un brouillard épais me fait ralentir jusqu’à Mulhouse. J’étais à quelques kilomètres de ma destination quand mon portable sonne, Maîtresse Caroline n’arrivait pas à démarrer sa voiture. Je lui propose de rebrousser chemin pour la chercher mais elle préfère que ce soit Alex qui se déplace. Décidément la journée est semée d’embûches, deux pannes, à quand la troisième ?

Cela ne rate pas car, arrivée devant la maison de Maîtresse Héléna, je reçois un sms de jeanmi qui m’annonce qu’il avait un empêchement. Vous imaginez ma colère !!!

Heureusement que mon amie Lia a su me calmer, elle arrivait en même temps avec jerry. En bonne avocate qu’elle est, ses arguments étaient une nouvelle fois de taille pour défendre jeanmi qui s’excuse auprès de Maîtresse Héléna et patou.

Mais pour moi c’est un affront !!!

Mes amies arrivent à m’apaiser et je ne tiens pas à gâcher cette belle journée tant attendue.

Une magnifique table était mise, d’une finesse digne de nos hôtes, avec un superbe bouquet de fleurs, un beau service de table et des petits paquets cadeaux. Le plaisir des yeux présage déjà un succulent repas, même si nos amis nous préviennent qu’il sera « léger »

Caroline fait son entrée magistrale avec alex, son humour et son sarcasme de bon ton détendent entièrement l’atmosphère.

Champagne !!!!!!!!

Nous trinquons à cette nouvelle année en nous souhaitant, bonheur santé et prospérité sans oublier nos amies absentes.

Nous passons à table, la joie d’ouvrir les paquets emballés avec soin, nos amies et amis nous ont gâtés.

Au menu :

Crème brûlée au foie gras


Cordon bleu de saumon à la choucroute



Tartes aux fruits confectionnées par Maîtresse Lia et jerry

Et le traditionnel kouglof avec des bredeles

 

L’ordre du jour de cette réunion était de préparer les différentes réjouissances pour les mois à venir, ce que je ne divulguerais pas aujourd’hui.

Egalement d’accepter notre amie Maîtresse Petite Etoile en tant qu’invitée le mois prochain ce qui fut accordé à l’unanimité et avec joie. Son minou « harricana » sera absent mais au mois d’avril il sera parmi nous………….. chuttttt………..là encore je ne dis rien !!!!

Evidemment les minous étaient en cuisine pendant nos discussions et ne pouvaient venir que pour nous servir.

Un des cadeaux de Noël pour Maîtresse Héléna de patou fut une superbe badine en cuir. Maîtresse Caroline avait envie de l’essayer sur les fesses d’alex. Après quelques essais satisfaisants, elle me demande discrètement de l’essayer à mon tour. Et, sans qu’il s’aperçoive du changement de main, je lui dessine un beau damier sur la fesse droite………sourire.

Héléna, ne voulant pas paraître exclue de réjouissances avec sa belle badine, ordonne à patou de prendre sa position d’offrande et lui assène quelques coups avec plaisir et délectation.

Les fesses ont chauffé !!!

 

Cette journée fut une nouvelle fois emplie de rires, de sérieux et surtout, surtout d’une amitié incontestable.

Merci Héléna et patou de nous avoir reçus et d’avoir su nous apporter ces merveilleux moments !!!

 

Divina et Persephone ainsi que Fabienne, vous êtes toujours parmi nous et dans nos pensées.

 

Je vous embrasse toutes, mes chères amies.

 

Mylady




Petit trait d'humour d'une chaussette à minou


 

 






 

Par Mylady - Publié dans : CERCLE DES DOMINATRICES
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