Dimanche 11 janvier 7 11 /01 /Jan 13:59

Tout ceci m'avait fortement excitée et j'avais l'entre cuisse très humide, j'appelai ma préférée à la rescousse. « Madame ? » me dit elle en approchant, « viens ici de suite », je pris son bras , j'écartai ma cape, je mis son visage près de ma rose, mes soumis étaient toujours là , je m'amusai pendant cinq minutes de leur présence, et avant ma jouissance je leur ordonnai de partir les frustrant dans leur voyeurisme, les privant de ma jouissance. Car elle venait, violemment, les secousses utérines me transperçaient le corps, ma liqueur parvenait à sa bouche, tout en savourant mon fruit elle me remerciait. Il me fallut quelques minutes pour reprendre mes esprits, les jambes sur ma table humaine, la chaleur de ma préférée entre mes cuisses, j'étais bien, sereine, apaisée la journée pouvait continuer.

Soudainement, sans prévenir, j'en eus assez, où étais donc ma novice? Je sors ma préférée de sous ma cape «  Vas me la chercher !!! ». A reculons elle s'en va chercher cette fille «  oui Madame »

Elles s'approchent enfin, je tape ma main contre le trône pour signifier à protectrice qu'elle était longue, elles s'arrêtent devant mon trône. Je m'approche de la novice et sans lui parler, simplement en la regardant, je lui arrache violemment son déshabillé, la finesse de celui ci n'a pas résisté il est au sol déchiré. La voilà nue, pourtant je la sens encore fière, il faut dire qu'elle a une plastique presque aussi bonne que la mienne. Je la contemple sans rien dire avec dédain, je commence à la frôler tout en tournant autour d'elle sans lui dire mot. Soudainement, je stoppe face à elle, je capte instantanément son regard, j'attrape sans ménagement son sein qui pointe outrageusement.

Je prends plaisir à serrer dans ma main ce sein, je cherche la douleur, une réaction dans son regard

Rien de rien pour le moment. Ma voix transperce se silence pesant, je sens l'assemblée frémir, cela m'arrache un petit rictus. Je demande à sa protectrice quel est son nom, la nouvelle réponds à sa place, je sers son sein encore plus fort dans ma main

Sa protectrice, me lance un regard suppliant, alors je lance mon bras vers la joue de la non initiée,

le son retentit dans le pièce. Les autres soumis et soumises présents ne peuvent s'empêcher de relever la tête, ce qui attise ma colère « Allez vous, montrez vous dignes !!!! » ils baissent instantanément leurs visages dans leurs cuisses. Relevant de façon caressante le visage de la novice, qui n'ose soutenir mon regard, je lance « comment se nomme t'elle ? » « sabine » me répond sa protectrice. Mon visage approche celui de ma novice, de son oreille «  sabine, sabine, que vais-je faire de toi, tu as l'air si douce, si fragile ? » dans mon mouvement de recul j'agrippe ses deux seins , les compressant avec force,

mes ongles pénètrent sa chair tendre « vas tu répondre ??? ». Elle me réponds tremblante « tout, Madame, tout ce que votre imagination et la raison vous permettent de faire »

A cette réponse, je la prends par la tête, collant son visage contre le mien, je lui murmure « tu es sure de toi » d'un signe de la tête elle acquiesce. Dès lors son sort est scellé, je parle à voix haute

à mes soumis et soumises « n'avez vous pas entendu, qu'est ce que vous faites encore là, n'avez vous pas d'autres choses à faire ?? » je pousse violemment la protectrice pour lui signifier de commencer les préparatifs. La novice a un  regard interrogateur, je me baisse pour ramasser son déshabillé, elle me tends la main, je jette le tissu sur son visage lui ordonnant de ne plus bouger.

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Mercredi 7 janvier 3 07 /01 /Jan 16:57

 

J'entre dans une grande pièce, pour seule lumière des bougies, de grands et gros cierges en quantité.

Ils parsèment mon chemin, de gros rideaux en velours rouges très épais nous protègent de la lumière ainsi que des regards indiscrets, intrigants ou intrigués de l'extérieur.

De chaque coté de l'allée des soumis et des soumises sont nus à genoux, tête basse.

Je continue mon chemin sans leurs accorder un regard, faisant claquer mes talons sur le sol, afin qu'ils retentissent plus fort dans la pièce, je suis vêtue d'une grande cape rouge avec une énorme capuche qui mets en valeur mes cheveux noirs ébène et mon teint d'une blancheur extrême relevé d'un soupçon de rouge à lèvre bien rouge.

Je m'approche d'une estrade, délimitée par de lourds rideaux pourpre et or,  sur laquelle sont disposés mon trône, une petite table, une cloche, des chandeliers, un autel en pierre finement sculpté, des coussins et de beaux tapis recouvrent le parquet.

Je prends tout mon temps, je m'installe confortablement sur mon trône, je fais le silence absolu, guettant mes soumises et soumis, attendant le faux pas !!!

Lasse que rien ne se passe, je prends la cloche, et je romps le silence en la faisant retentir.

Ma soumise préférée, nommée protectrice par moi même, pour sa fidélité, son amour, et aussi un peu pour son coté masochiste qui lui vaut d'obtenir souvent mon attention, en pareille situation est la seule autorisée à me parler directement.

Donc protectrice, me demande ce que je désire. Dans un premier temps je lui demande si la novice est là, elle me réponds docilement que oui précisant qu'elle l'avait elle même cherchée. Un simple « bien » de mon air hautain, « autre chose pour vous plaire Madame? » m'interroge t'elle ; je lui signifie que je n'ai pas pris mon repas,  lui désignant le soumis qui me servira, celui qui me fera le repas, celle qui servira de table,

Tout ce petit monde s'affaire ; pour me faire patienter la soumise table me sert l'apéritif,  et tends mon verre à la protectrice avant de se positionner à genoux devant moi pour me servir de meuble.

Je lui caresse les fesses avant de lui poser des pinces avec poids sur les seins et sur les lèvres, une rose dans la bouche. Je tends subtilement la bouche à protectrice, elle me porte la coupe à la bouche, j'en bois une gorgée, d'un geste je lui signifie de poser le verre sur la table de la cloche, et de s'approcher de mes lèvres, elle s'exécute, je lui susurre de m'apporter le rosebud ainsi que de la vaseline.

Protectrice, revient très rapidement, ma table humaine est toujours en place.

La vaseline dans la main, j'en applique sur mes doigts, sans prendre la peine de chauffer celle ci dans ma main.

Mes doigts commencent un va et vient entre les fesses de ma table, un de mes doigts se fait de plus en plus pénétrant, ma soumise gémit, puis avec deux de mes doigts, je joue en elle, je fais des ooo dans son anus qui commence à se dilater suffisamment pour accueillir le rosebud. Je tends l'autre main à protectrice, celle ci me donne le lourd rosebud et ajoute de la vaseline tout autour. J'enlève mes doigts pour les remplacer par le jouet de circonstance, je recommence la longue pénétration nécessaire pour appliquer parfaitement l'objet. Ma soumise gémit de plus et plus et mouille abondamment ce qui m'excite au plus haut point, enfin l'objet est en place .

J'ordonne que l'on approche pour me laver les mains, un soumis me lèche puis  lave à grande eau mes mains. Pour le remercier je l’ autorise à nettoyer la chatte dégoulinante de ma table, lui accordant à elle seule une jouissance libératrice pour ainsi effectuer son rôle d'objet.

Il s'applique mais je complique la tâche en infligeant une correction à cette vilaine qui a souillé mes mains, elles se font tantôt caressantes tantôt chaudes, cette alternance entre coups de langue et coups de mains a raison d'elle assez facilement; Une fois la liqueur fraîche savourée je repousse le soumis lui signifiant que cette scène m'avait mise en appétit.

J'ordonne aussi à protectrice de porter mon verre d'apéritif à ma bouche puis de le poser sur ma table, profitant du mouvement qu'elle devait effectuer je constate de ma main l'étendue de son excitation puis de mes yeux, elle ruisselait littéralement ; j'eus un sourire de satisfaction et d'amusement

Mon repas arriva enfin, mes soumis étaient tous là, coupant la viande, remplissant ma fourchette, la portant à ma bouche, d'autres s'occupant de me faire boire, essuyant ma bouche.

Je m'amusais en comparant leurs pénis d'un regard insistant pour qu'ils puissent le comprendre ce qui eut pour effet de les faire débander, en tapant leurs fesses au passage de fourchettes ou de verres.

A suivre !!!!!!!

 


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Nos lecteurs vont apprécier ton texte, je t'en remercie Persephone !!!

Je t'embrasse
Mylady


Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Lundi 5 janvier 1 05 /01 /Jan 12:51

Bonjour,

un commentaire vient d'être posté par Eric V sur l'article DISCUSSIONS OUVERTES, sur votre blog mylady

Bonjour à vous,
Je vais parler en mon nom et mon nom-propre puisque toutes les généralités ne sont pas bonnes y compris celle-ci (lol).
En fait, être soumis n’est pas un désir naissant mais bel et bien un état, une programmation de naissance.  Il est évident que notre fantasmagorie mue avec  le temps, mais en fait, nous ne devenons pas plus soumis que vous dominatrice si vous ne l’êtes pas à la base.
Vouloir vivre une réelle soumission, devenir moins qu’un animal, si cela peut choquer certaines ou certains d’entre vous, ne voyez pas en cela une perversion mais plutôt une réalité existentielle.
Devoir ne vivre que pour celle que l’on aime ! Et oui je parle d’amour car pour devenir l’objet de sa propriétaire il nous faut de l’amour.
Une gifle, ou des stries de divers accessoires sont pour nous soumis maso des preuves d’amour. Etre également fier de porter ces marques offertes par celle que l’on aime et vénère.
Nous ne parlons donc plus de ces pseudos- dominas qui vous assurent  une programmation ou une éducation en vous demandant comme preuve une certaine somme d’argent. Cela n’est ni plus ni moins cautionner une forme de prostitution déguiser.  Posez-vous la question une seconde : Si cette femme gagnait au loto (plus sur que ci-elle obtenait un bon salaire grâce à ses compétences intellectuelles lol) continuerait-elle à vouloir dominer ? Je pense sincèrement :Non !
Alors qu’une femme domina dans l’âme peut avoir une position sociale supérieure (pas obligatoirement mais peut lol) et vouloir dominer celui qu’elle aime. Prendre plaisir à voir son soumis se tordre de douleur, lui laisser des marques sur son corps, rechercher continuellement des entraves gênantes voir douloureuses pour cet homme qu’elle aime et qui doit la servir.
Là intervient le coté intellectuel de la chose, dans le sens ou la domination laissera des marques mais lorsque la domina a imaginé la scène celle-ci a déjà commencé à prendre du plaisir. Je lisais dernièrement une domina américaine qui exigeait que son linge soit entièrement relavé à la main, les genoux du soumis sur des brosses à poils métalliques. Nous ne jugerons pas la qualité de cette exigence mais par contre nous pouvons très bien apprécier  l’excitation que cette domina à projeté cette scène mentalement. Le plaisir qu’elle à eu lorsque qu’elle à apprécié en direct son soumis lors de l’exécution de cet acte, ainsi que le coté agréable d’avoir des vêtements doux et d’une odeur désirée. Mais je subodore que cela ne fut pas tout, que celle-ci à également été troublée lorsque pour la première fois elle a enfilé l’un de ces vêtements en ce remémorant son soumis souffrant pour son bien-être. Quant au soumis devoir accomplir cette tache avec entrave l’a très certainement émoustillé. Ces genoux doivent très certainement porter traces des ces brosses.
Celle-ci expliquait également qu’au départ de leur rencontre, son soumis venait journellement la servir selon ces désirs, et repartait chez lui que lorsque celle-ci en avait décidé. Ils avaient gardé un jour par semaine pour (comment vais-je traduire cela ?) Payement  de non-conformité (oui lol) ou la domina infligeait martinet, cravache etc… mais également ce jour là c’est elle qui enfilaient des gants pour laver son soumis au balai brosse et détergent.
 
Je trouve cette prise de contact vraiment appropriée plutôt qu’une somme d’argent.
Je n’ai pas encore trouvé celle qui deviendra ma propriétaire, mais je peux vous dire qu’en lisant certaines dominas je garde espoir en cet avenir.
Dans l’espoir que Ma domina Lyonnaise trouvent ces mots et qu’ensemble nous prenions plaisirs non plus à imaginer mais à vivre pleinement notre vie.
Désolé pour celles que j’ai choquées car nul n’était ici mon intention, ravi par contre de vous avoir vexé si vous recherchez un money-slave lol.
Merci également à MyLady (qui n’est pas mienne lol) si celle-ci décide de publier ce petit mot.
Bien à
vous,
Eric V.


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Eric,

J'ai préféré publier ton commentaire en article afin qu'il puisse être lu par tous nos visiteurs. En effet, tes écrits le méritent et je t'en remercie.

Cordialement
Mylady

Par Mylady - Publié dans : ARTICLES
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Vendredi 2 janvier 5 02 /01 /Jan 17:15



Qu'il soit pour Vous l'année du Renouveau, de la Renaissance..

Je vous envoie quelques boules de gui

Elles sont rondes et jolies comme une femme

Elles sont blanches et pures

Mais elle sont toutes petites devant notre ronde planète

Notre Terre va nous emmener tous ensemble

Faire un voyage d'un an autour du Soleil notre boule bienfaitrice

Un Soleil parmi les milliers d'autres de l'Univers..

Nous sommes soumis à des lois qui nous échappent..

Alors regardons nous avec ce recul...et tout devient relatif!

 

 

Je vous souhaite un bon voyage 2009

un voyage dans la Sérénité



Barry


Je me joins à toi barry pour souhaiter tout le bonheur du monde à mes amies et amis ainsi qu'à tous les visiteurs du blog.

Amicalement
Mylady

Par Mylady - Publié dans : ARTICLES
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Mardi 23 décembre 2 23 /12 /Déc 15:52


VOUS SOUHAITE A TOUTES ET A TO
US

DE JOYEUSES FETES DE NOEL

REMPLIES DE JOIE ET D'ALLEGRESSE

QUE CES JOURS HEUREUX VOUS PORTENT BONHEUR !!!

Au nom de mes chères amies que j'embrasse avec ma plus profonde amitié.
Mylady

Par Mylady - Publié dans : ARTICLES
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Mardi 16 décembre 2 16 /12 /Déc 17:47

Ce récit fictif de Lia est, sans qu’elle puisse le savoir, une réalité que j’ai vécue il y a bon nombre d’années.

En le parcourant, mes souvenirs sont revenus avec une sensation de bien être. Effectivement les premiers contacts se sont déroulés ainsi et, le 23 décembre j’ai enfin permis à Philippe de m’appeler. Il était fou de joie, il bafouillait au téléphone, il ne pouvait encore réaliser son bonheur depuis le temps qu’il cherche sa Maîtresse.

Peu à peu, au fil de la conversation, j’ai réussi à le calmer et il me parle de sa vie, de sa profession, de ses amis, de sa famille. Deux heures durant, il me confiait ses joies, ses peines et ses espérances. Il me trouvait calme et reposante contrairement à lui et il commençait à s’en inquiéter, pensant que je serais indifférente à ses propos. Après l’avoir rassuré en lui expliquant que c’est ma manière d’être, il me remercie d’avoir su l’écouter, car il avait tellement envie de s’épancher.

Le seul problème fut la distance, comme dans bon nombre de cas. Mais les 300 km qui nous séparent ne lui font pas peur. De mon côté, mes obligations professionnelles, comme par hasard, m’obligeaient de me déplacer dans sa ville. Mon prochain rendez-vous était fixé pour le début de l’année. Quand il l’apprit, il s’empressa de m’inviter pour un déjeuner au restaurant en me donnant les coordonnées. Ce restaurant fut un des plus réputés de la région, je me disais qu’il se lançait dans des frais en mon honneur.

Nous passions donc Noël et Nouvel An avec nos familles et amis réciproques mais il eut la permission de m’appeler tous les jours, ce qu’il fit avec joie.

Sa tension et son impatience montent mais également son appréhension. Mon humour et mes taquineries n’étaient pas pour le rassurer vraiment, ainsi que certaines précisions concernant ma manière de dominer. Il n’a pas encore compris que Machiavelle tisse sa toile tantôt en le rassurant comme en lui faisant peur. Mais son envie de se perdre dans mes filets est plus forte.

Je me suis arrangée de me libérer pour le week-end après ma formation. Enfin nous nous retrouvons face à face sur le parking du restaurant. Timidement il vient vers ma voiture et ouvre ma portière, il s’attendait à une femme de taille moyenne car je n’ai jamais précisé la mienne. Avant de sortir de la voiture je lui tends ma main, il y dépose un baiser et la retient pour m’y aider. Je me souviendrais toujours de son air ahuri de me découvrir aussi grande, car avec mes bottes à talons hauts, j’arrivais à sa hauteur. Il se sentait si petit face à cette femme tant convoitée et mon sourire n’arrangeait pas les choses. Il n’était pas au bout de ses peines, car je lui réservais une autre surprise.

Nous entrons au restaurant, Philippe me tient la chaise en parfait homme du monde pour ne pas dire en parfait « soumis » Il este debout en attendant ma permission de s’asseoir à son tour mais, je sors un paquet de mon sac à main, le lui donne en l’intimant de se rendre aux toilettes.

Il met son sachet discrètement dans sa poche et obéit, je l’attends. En venant me rejoindre, son regard scrute les convives, sa démarche est un peu « coincée »

Vous pouvez vous imaginer la raison et moi je savais qu’il a obtempéré. Il revient vers moi et me baise la main en guise de remerciement pour ces beaux cadeaux. En effet, j’avais fait une petite visite dans un sex-shop pour y acheter un plug de taille moyenne et un anneau pour testicules.

Il peut enfin s’asseoir, tant bien que mal, en se dandinant sur sa chaise. Son regard devient humble et contraint, je m’en amuse follement mais le mets à l’aise en le faisant parler. Il commande deux coupes de champagne et me prie de choisir le menu.

Après un succulent repas, finalement au champagne, il m’invite de prendre le thé chez lui. Je lui fais confiance, je le suis.

Je savais qu’il habitait en maison mais je ne m’attendais pas à celle-ci. Une maison de Maître, immense, avec un escalier majestueux en marbre accédant à son bureau et aux chambres.

Je ne veux pas rentrer dans tous les détails, car j’allai de surprise en surprise et d’émerveillement.

-        Ma demeure est digne de vous !!!

 

Notre relation dura plus d’un an. Pourquoi s’est-elle terminée ? Je ne saurai vous le dire….. Ainsi va la vie !!!!!

 

Toujours est-il que ma chère Lia aura su réveiller d’agréables souvenirs et je me demande si elle n’est pas un peu sorcière………. Sourire.

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Lundi 15 décembre 1 15 /12 /Déc 19:32

 

 

CADEAU DE NOEL

 

 

 

En cette froide journée de décembre, il s’ennuie un peu et décide d’aller une fois de plus sur un site de rencontres BDSM. Il s’était pourtant bien promis de ne plus le faire, à quoi bon payer à chaque fois un abonnement pour rien, il n’a jamais été contacté que par des dominatrices professionnelles qui font payer bien cher des séances qui le laissent à chaque fois déçu, et frustré. Ce n’est pas ce dont il rêve.

 

Il imagine parfois celle qui serait à la fois sévère et tendre, qui pourrait tout aussi bien le caresser que le frapper durement pour le punir ou simplement parce qu’elle en a envie. Aux pieds de laquelle il pourrait enfin s’abandonner et déposer tout cet Amour qu’il a au fond du cœur. Il a connu bien des femmes déjà, mais dans des relations vanilles qui ne le satisfaisaient pas totalement. Il lui a toujours manqué quelque chose,  aucune de celles qu’il a aimées ne comprenait son besoin de soumission, cette envie de s’offrir à elle totalement, corps, cœur et âme en abandonnant toute retenue, pour n’être plus que sa chose, son objet livré à sa Reine, sa Déesse.

 

Il peine à remplir son annonce, comment dire sa quête ? Comment mettre en mots ce désir profond., comment attirer l’attention d’une véritable dominatrice qui ne soit pas que cela ? Enfin ça y est, ce n’est sans doute pas parfait mais il y mis l’essentiel. Il envoie … il ne reste plus qu’à attendre, une fois de plus, espérer.. Il passe de temps en temps sur le site, lit les pseudos et les annonces des dominatrices inscrites.. Il y a toujours quelque chose qui ne lui donne pas envie de contacter. Est-il trop difficile ? Ou trop craintif ?

 

Il vient de se connecter et une nouvelle annonce lui saute aux yeux, le pseudo, déjà, donne a penser qu’il ne s’agit pas d’une domina vénale, les termes employés aussi, elle écrit bien, exprime simplement sa recherche qui est parfaitement synchronisée avec la sienne. Son cœur se met à cogner dans sa poitrine, il contacte rapidement n’osant croire que la chance puisse enfin lui sourire.

 

Et voilà.. pas de réponse, il en était sur.. ç’était trop beau pour être vrai ! il attend quelques minutes puis, dépité, éteint l’ordinateur.  Le lendemain il passe machinalement sur le site et miracle, la réponse est là ! Elle lui a écrit, elle lui pose des questions sur lui, sur sa recherche, elle est même en ligne. Ses doigts tremblent en répondant, il fait des fautes de frappe, d’orthographe, efface, revient, s’énerve.  Elle va partir avant qu’il n’ait répondu peut-être ??  Non, elle est toujours là, et semble avoir apprécié sa réponse, le dialogue s’engage, il s’enhardit peu à peu, se confie, ouvre son esprit et son cœur à Celle qui semble capable de le comprendre. Ils prennent rendez-vous pour un nouveau dialogue le lendemain, il n’en dormira pas de la nuit dans l’attente de la retrouver, et d’échanger à nouveau.  Et les jours se suivent avec de longs moments passés à se livrer. Enfin elle lui confie son adresse e-mail, en lui demandant de lui envoyer une photo. Elle précise « une photo habillée, c’est l’homme que je veux connaître, pas son anatomie »

Il se plonge dans les clichés contenus par son PC. Aucune ne lui parait digne d’être envoyée à celle à laquelle il souhaite tant plaire. Sur celle là il semble triste, sur l’autre il a l’air idiot, celle-ci ne serait pas mal mais il porte des lunettes de soleil. Il se rend compte qu’il n’a pas beaucoup de photos le représentant, la famille, les amis, les vacances sont majoritaires. Une idée lui vient, il va en faire une spécialement pour Elle, en lui souriant, en pensant à Elle. Aussitôt dit, aussitôt fait. Puis il se hâte de l’envoyer. Va-t-il lui plaire ?  il attend le verdict, mais aucune réponse dans les heures qui suivent.

 

Il ne lui convient pas, bien entendu, mais quand même .. Elle pourrait le lui dire clairement. Où alors Elle est absente et n’a pas encore eu le mail ??? Les heures passent si lentement, il tourne en rond dans son appartement, incapable de fixer son attention sur autre chose que le signal de sa messagerie. Régulièrement une fausse joie, il se précipite pour ne trouver qu’une publicité, ou un message d’ami. Il les aime bien ses amis mais aujourd’hui ce n’est pas d’eux dont il a besoin.

 

Enfin….. !!!!! LE mail arrive, il l’ouvre le cœur serré, quel va être le verdict ??  Elle le trouve très bien, très sympa, et lui demande s’il est d’accord pour une rencontre dans les prochains jours. HOURRA ! il ne se sent plus de joie, il voudrait la crier au monde entier. 

Machinalement il regarde la date, le 24 décembre… il l’avait oublié, ce soir c’est NOEL ! Et il vient de recevoir son plus beau cadeau !

 

 

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Quel beau récit Lia !!!!!

Puisse t'il se réaliser pour tous ces soumis en peine de Maîtresses. Je leur souhaite !!!

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Dimanche 14 décembre 7 14 /12 /Déc 13:17












Par Mylady - Publié dans : ARTICLES
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Vendredi 12 décembre 5 12 /12 /Déc 20:31


Rituel désormais initiatique pour tout minou qui mérite d’être aux pieds de sa Divine Maîtresse et qui ainsi entre dans le cercle… Vous avez sans doute déjà lu le récit de Jerry, heureux dorénavant auprès de Madame Lia.

Ce rituel, avec l’approbation d’une marraine et d’un public présent. Public qui est lui-même heureux d’être impliqué et ainsi de partager ces moments, forts de sens et qui parlent d’engagement entre deux êtres…

 

Pour le cercle… Le dernier en date fût pour Jeanmi. Le samedi 6 décembre dernier.

 

Celui-ci s’était affairé toute la matinée comme une petite fourmi qui nettoyait avec soin la maisonnée avant l’hiver. N’y avait-il pas de gros flocons qui tombaient ce matin-là dans la montagne ? Avait-il peur que sa Maîtresse ne soit pas assez à son aise ?

Oui, je peux vous le dire, je l’ai trouvé touchant et appliqué. Dévoué à sa Divine et heureux de faire son ménage pour elle, pour accueillir comme il se doit Perséphone et Divina, arrivées en premier lieu. Puis Mesdames Lia et Héléna arrivèrent en grandes pompes, pardon, en bottes…

 

Je sentais Jeanmi intimidé, mais je me disais qu’il n’avait pas encore eu l’occasion de se retrouver entouré de tant de femmes dominantes et que cela était pour lui une réelle découverte. Pourtant, aucune maladresse ne se fit sentir.

Attendait-il le rituel ?

Avait-il peur de ce qui allait se passer ?

Nous ne le saurons jamais. Et nous lui laissons ce jardin secret.

 

Il attendait sans doute le moment venu, celui ou sa Maîtresse lui dirait de se rendre dans le cellier, sans piper mot.

Il accepta tous les ordres donnés dans l’après-midi par sa Maîtresse Mylady.

Mais soulignons que la préparation du repas et le service du déjeuner furent parfaitement exécutés. Jeanmi voulait sincèrement faire plaisir aux Dames présentes et il le faisait ressentir. Cela est fort agréable et j’apprécie le soin apporté à son travail.

 

Quand venu le moment de rejoindre le cellier, les yeux bandés et à genoux sur ce petit tabouret disposé là pour lui, il ne parlait plus…

Il se laisse entraîner par Héléna et Persephone.

Il y restera une heure.

Entendait-il nos rires, nos mots échangés ?

Là encore, que se passait-il dans sa tête ? Avait-il peur de ne pas savoir être à la hauteur quand sa Maîtresse lui demanderait de recevoir la lumière et d’accepter de lui être fidèle et dévoué ?

Il n’eut pas le temps de la réflexion. Les deux Divines allèrent le chercher dans le cellier froid. Il attendait là, toujours a genoux.

On lui enleva le bandeau. Il referma les yeux presque aussitôt. Il ne pouvait presque pas les ouvrir. Ebloui, chancelant un peu. Il demanda la permission de prendre ses lunettes pour lire le poème qu’il n’arrivait à déchiffrer sous le coup de l’émotion.

Et quelle émotion. Il était là, aux pieds de sa Divine et il semblait si heureux de lui déclarer ses mots.

Mylady, le regardait tendrement et était touchée. Un baiser fut déposé sur les lèvres de Jeanmi en guise de remerciement.

Mais tous deux semblaient si sincères et certains regards ne nous tromperont pas venant de l’un et l’autre.

La marraine lut un très joli texte parlant d’engagements, confirmant le bon vouloir de Jeanmi.

Triangle de bonheur, vision de ces trois personnes partageant un moment fort.



 

Nous avions bien mérité de manger une part de Kougelhopf de notre amie Mylady et ce pour nous remettre de nos émotions…

Félicitations encore à Mylady et Jeanmi pour cette acceptation du rituel et ce si joli tableau humain qu’ils nous ont offert.

 

Merci encore à Mylady, Jeanmi et Madame Lia pour ces images gravées en nos mémoires.
Nous, témoins visuels et respectueux de ce moment de bonheur et de fidélité.

 

Merci également à toutes mes autres complices… Et à Maîtresse Caroline, dont la présence nous a cruellement manqué

 

Maîtresse Divina


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Superbe texte relatant ce rituel. Je t'en remercie Divina et je savais que je pouvais comter sur toi pour le rédiger.
Je t'embrasse très fort
Mylady

Par Mylady - Publié dans : CERCLE DES DOMINATRICES
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Jeudi 11 décembre 4 11 /12 /Déc 15:30


Une nouvelle réunion du Cercle a eu lieu samedi dernier, et comme à chaque fois elle a été fertile en surprises et rebondissements.

 

Tout d’abord une mini tempête de neige sur les Vosges a quelque peu modifié les plans initiaux. Et malheureusement cela empêche notre chère Maîtresse Caroline de se joindre à nous pour un déjeuner au restaurant.

 

Maîtresse Héléna et moi-même rejoignons donc Divina et Perséphone chez Mylady. Heureusement grâce aux dons d’improvisation de Jeanmi, nous avons fait un excellent déjeuner avec une très jolie salade composée,  poisson, et fromage. Et foie gras pour Divina qui n’y aura pas droit ce soir.

 

La réunion de l’après midi se passe tranquillement, en attendant 17 H, heure d’arrivée prévue des minous . Patou nous avait promis une surprise, et malgré notre insistance, Maîtresse Helena a tenu bon et nous n’avons rien pu savoir. Perséphone attendait avec impatience son soumis Juliette qu’elle nous présentait pour la première fois… Les aiguilles de l’horloge tournaient au ralenti. Nous ne sommes pas très patientes !!!

 

Un coup de fil nous apprend une bonne nouvelle : patou est en avance et demande l’autorisation d’arriver un peu plus tôt.  Demande acceptée avec empressement. Et nous découvrons enfin sa surprise, créée de ses propres mains pour le Cercle. Je n’en  parlerai pas aujourd’hui, car elle fera l’objet d’un article spécial un peu plus tard.

 

17 h tapante ! Juliette arrive avec une ponctualité de coucou suisse.. ! Un vrai Père Noël, les bras chargés de cadeaux : champagne, chocolats et un beau tableau pour le Cercle.  Et d’autres pour sa Maîtresse mais là, mystère.. Laquelle Maîtresse lui avait également réservé de très jolies surprises : somptueux cahier de punition en cuir et parchemin avec plume et encre, et le dernier cri de la robotique en matière de domination qui fut testé immédiatement par le Cercle.

 

Nous avons pu déguster enfin le kouglof de Mylady dont le parfum  chatouillait notre odorat depuis un moment, avec quelques chocolats. Durant ce temps jeanmi qui devait « recevoir la lumière » avait été installé dans le cachot. Nous avons pris tout notre temps pour goûter tranquillement. Et c’est au bout d’une heure que le prisonnier a pu enfin revoir « La Lumière » cérémonie touchante qui crée un lien très fort entre une Maîtresse et son soumis.

Ce rituel fera également l’objet d’un article spécial. Patience………

 

Une fois remis de ses émotions, et fier de son collier Jeanmi s’installa pour réaliser son gage suite au jeu de l’avent : une dictée à écrire à la plume avec un coup par faute d’orthographe. Juliette a accepté de lui tenir compagnie dans cette épreuve en inaugurant pour ce faire son beau cahier. Mylady a choisi un extrait de son dernier livre, texte qui ne favorisait pas vraiment la concentration des minous…. Machiavelle, oh ! Machiavelle…..

Après une page d’écriture, nous sommes passées à la correction : 2 fautes pour Juliette et 6 pour jeanmi.  Pour ce dernier ces 6 coups s’ajoutent à une longue liste, et on arrive à 86 coups à donner dans la soirée..

 

Helena nous signale que patou a lui aussi un reliquat de punition qu’elle nous propose de partager  avec elle : 20 coups d’Indy !!! Elle commence par réaliser un bondage sur son patou qu’il va garder pour le reste de son séjour. Jeanmi quant à lui en a un depuis la veille et il semble qu’il va le conserver quelques jours. Ayant des côtes fêlées cela le maintient !!!!

Les minous débarrassent la table du goûter et font la vaisselle, puis se consacrent à la préparation du souper, pendant que nous continuons notre réunion.

 

Divina, qui a un autre rendez vous le soir doit, à notre grand regret, nous quitter à 20h. Et ne peut que partager avec nous une petite coupe de champagne  de l’apéritif, lequel est accompagné d’amuses bouches pour nous préparer à la suite : le foie gras – fabriqué par jeanmi – qui obtient un vif succès, suivi par un délicieux jambon en croûte avec sa salade, sans oublier le munster, toujours apprécié.  Enfin le « final » un magnifique St Honoré, chef d’œuvre de patou, en hommage à sa Maîtresse.

 


La soirée est déjà bien avancée, mais nous avons encore du travail, patou est chargé de sortir le chevalet  et de s’y installer pour goûter à Indy. Ce sera ensuite Jeanmi qui  prendra sa place pour y subir  - avec un peu d’angoisse au départ mais un réel plaisir également – les punitions prévues par sa Divine Maîtresse.

 

C’est au milieu de la nuit que nous regagnons nos chambres pour un repos bien mérité !

 

Une fois de plus cette journée passée ensemble a démontré les liens d’amitié et d’affection qui unissent les membres du Cercle et leurs minous. Un seul bémol : l’absence de notre chère Caroline !!!  Combien sa présence et son esprit nous ont manqués !

 

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Merci Lia de ce compte-rendu bien détaillé comme tu es seule de pouvoir le rédiger.
Il est vrai que notre amie Caroline nous manquait terriblement et j'espère que nous la reverrons au plus vite.
Bisous à toi ma Caro.
Mylady 

Par Mylady - Publié dans : CERCLE DES DOMINATRICES
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