RECITS

Mercredi 28 janvier 3 28 /01 /Jan 01:20

L’heure du déjeuner avait enfin sonné et il se rendit à la cantine avec son nouveau collaborateur avec qui il partageait le bureau. Les échanges furent courtois mais, ne se connaissant pas bien encore, ils discutèrent de choses banales quant à leurs origines et parcours respectifs. A la fin du repas alors que les relations commencèrent à se détendre, il lui posa une question : « Et que penses tu de notre chère responsable ? » et il lui répondit assez vivement et à voix basse, en jetant un œil aux alentours: « fais gaffe de ne pas parler de Mademoiselle K., dans ces termes et aussi fort...Ici Elle fait la pluie et le beau temps, car je ne sais pour quelles raisons, mais elle a toujours l’appui de la Direction, donc je te conseille de faire profil bas avec Elle et de faire au mieux ton travail, dans les meilleurs délais, si tu souhaites avoir un avenir dans la boutique ». Il était cinq minutes avant la reprise et il vit passer Mademoiselle avec, semble t il un membre de la Direction, vu son âge et sa tenue. A cette arrivée, la cantine se vida et tout le monde rejoignit rapidement son poste de travail.

Suite à la discussion de ce matin, le jeune homme pensait passer l’après-midi en présence de la DRH, mais tel ne fût pas le cas. Vers 17H00, après avoir lu de nombreuses procédures sur le système ISO de l’entreprise ainsi que sa fiche de poste, il décida de quitter l’entreprise et de rentrer chez sa mère. Au détour du couloir, celui-ci croisa le chemin de la DRH qui immédiatement le stoppa et lui fit la remarque suivante : « Tu as pris ton après midi ou quoi ? » De nouveau, se sentant bien faible devant cette Dame, il bafoua quelques mots et celle-ci y mis court aussitôt : »Demain, je  veux te voir à 7H00 tapante dans mon bureau, pour que je puisse commencer à t’expliquer ce que j’attends de toi Bruno. » Il ne répondit que par : « bien Mademoiselle K. ». « Heu tu n’oublies pas quelque chose Bruno ? », « Quoi Mademoiselle K. », « La politesse, tu connais ? Tu pourrais me souhaiter une bonne soirée, c’est un minimum... hé bien toute une éducation à refaire, je vois ». Le jeune homme ne pût répondre : « Bien Mademoiselle, je serai à l’heure et je vous souhaite une bonne soirée ».

Le jeune homme rentra par le bus, tranquillement chez lui et en arrivant se précipita et s’enferma dans sa chambre, sans dire un mot à sa mère, qui en fût toute surprise car elle s’attendait à un récit détaillé de sa première journée. Couché sur son lit, les yeux fermés, le jeune homme se donnait du plaisir solitaire en repesant à cette Divine Mademoiselle K. et sa jupe droite en cuir. Il eut un orgasme foudroyant et eut quelques minutes avant de reprendre totalement ses esprits. Cela fût tellement fort, qu’il n’avait plus conscience du monde extérieur, et notamment que sa mère tapait à sa porte pour savoir s’il allait bien. Il répondit laconiquement que oui, que la journée s’était bien passée mais que le travail était harassant et qu’il avait besoin de se reposer un peu avant de descendre dîner.

La soirée se finit par un repas léger et il prit la direction de sa chambre et s’endormit rapidement. Ses songes le conduire à se retrouver aux pieds de Maîtresse KEISSLER, et à la servir comme son secrétaire particulier.

Le lendemain matin, le jeune homme se réveilla vers 5H30 pour ne pas être en retard selon les instructions que lui avait données Mademoiselle K.. Il se rasa de très près, mis sa meilleure eau de toilette. Le pauvre, il avait dans la tête de séduire Mademoiselle K., si elle se doutait...

Malheureusement pour lui, il dût attendre plus longtemps le bus qu’il ne l’escomptait, car il n’avait pas pensé que la circulation à cette heure matinale serait réduite. Ce qui devait se produire arriva...Sa montre affichait 10 minutes de retard déjà lorsqu’il descendit du bus. Il se précipita vers les portes de la société, mais aperçut avec horreur Mademoiselle K. dans l’entrée, qui trépignait d’impatience. Il n’eut pas le temps de voir sa tenue, car aussitôt il regarda le sol en marbre de l’entrée. Mademoiselle K. lui fit réprimande sur son retard et lui demanda de le suivre immédiatement dans son bureau. Dans l’ascenseur sans un mot, les yeux tournés vers le sol, il pût apercevoir les magnifiques escarpins dont Mademoiselle K. avait orné ces pieds.

Dans le bureau, Mademoiselle K. lui présenta son travail de façon précise. Il était envouté par son parfum et par moment il avait l’impression qu’elle l’effleurait très sensuellement lorsqu’elle lui transmettait un document, où lorsqu’elle se plaçait derrière lui pour lui expliquer  un autre... Le jeune homme était très excité et il essayait tant bien que mal de cacher sa protubérance, mais soudainement elle lui dit : « Je te fais de l’effet Bruno, on dirait... ». Le jeune homme se mit à rougir et dit : « non Mademoiselle K., avec beaucoup de trouble dans la voix » et elle poursuivit : « ha bon, je ne te suis pas désirable, tu ne me trouves pas à ton goût ? Alors comment expliques-tu la bosse que je vois poindre sous ton costume ? « Aussitôt le jeune homme fort gêné par cette remarque croisa les jambes... ». A la vue de ce réflexe, Mademoiselle K., lui demanda fermement, pour ne pas dire ordonna, de décroiser les jambes car pour une femme, il n’est jamais désagréable de voir qu’elle reste désirable, même pour un jeune puceau. Le jeune homme se demanda aussitôt comment elle pouvait connaître un point si intime de sa vie, et Mademoiselle K. perçut immédiatement le fon de sa pensée, comme si elle pouvait lire dans ses pensées : « Il n’y a rien d’étonnant à cela Bruno, tu habites chez ta mère, tu baisses les yeux devant les femmes... ». Elle esquissa un large sourire et rajouta : «  mais je dois dire que tu ne me laisses pas non plus indifférente Bruno.. ». A ces paroles, Bruno eut une érection extrême et Mademoiselle K. recentra aussitôt le débat : « Mais bon cette discussion n’est pas l’objet de la réunion de ce jour, remettons nous au travail ». La réunion de travail se déroula plus sagement qu’elle n’avait commencé. Mais Bruno était fort troublé par tout cela. Cependant à la fin de la réunion, Mademoiselle K. lui dit : « Bon nous avons bien travaillé Bruno, n’est ce pas ? », « oui Madame, pardon Mademoiselle ». « J’aimerais faire plus amplement connaissance avec toi, demain nous sommes Samedi, je t’invite à prendre un verre demain midi chez moi.... »

Dring Dring, le réveil sonna, Bruno s’éveilla sur une nouvelle journée de travail. Son rêve avait été fort agréable, mais il devait se préparer pour se rendre à son travail. Ce travail si pénible sans aucun avenir dans son petit costume gris, triste comme sa vie. Et il pensa : « Ah si je pouvais rencontrer une Dame comme Mademoiselle K.… »


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Très belle chutte qui nous aura tenue en haleine, harri !!!!
Mais tu as eu raison de t'exprimer, il fait si bon rêver !!!

Encore toutes mes félicitations, je t'encourage de poursuivre dans cette voie.
Mylady

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Lundi 26 janvier 1 26 /01 /Jan 20:40

Ce jour là, le jeune homme s’était mis sur son 31 pour son premier entretien d’embauche suite à la sortie de son école. Il habitait encore chez sa mère. Avant son départ, elle vérifia que sa tenue était impeccable : chaussures noires bien cirées, cravate bien ajustée, costume bien mis et sans faux pli. Le jeune homme était oppressé par la présence de sa mère qui était toujours sur son dos.  Mais il ne connaissait que cette seule présence féminine, omniprésente depuis sa naissance, voir étouffante.

Enfin l’heure du départ sonna, il embrassa machinalement sa mère et le ventre noué, se dirigea vers l’arrêt d’autobus. Dans l’autobus, une jolie jeune femme regardait cet homme qui était loin de laisser indifférent la gente féminine, et qui plus est, avait un certain charisme en costume. Il croisa les yeux de cette voyageuse, elle lui sourit, mais celui-ci baissa immédiatement les yeux et se mit à rougir.

Enfin l’arrêt de bus, il descendit et sa gorge se noua. Mais d’un pas décidé se rendit à l’adresse de l’annonce, ayant déjà eu un premier entretien téléphonique avec un homme qui s’était présentait comme étant le DRH de cette PME.

Il se présenta à l’hôtesse d’accueil et celle-ci le conduisit dans une salle de réunion. Il attendit dans cette salle plusieurs dizaines de minutes. Quant soudain, une Femme d’une trentaine d’année se présenta à lui, d’une voix douce mais ne prêtant pas à discussion : «  Je me présente je suis Mademoiselle K. et je vais réaliser votre entretien ». Le garçon était à la fois troublé par l’importance de l’enjeu et la beauté de cette Dame : Elle était de noir vêtue sauf le chemisier blanc, qui tranchait par rapport à la couleur de sa jupe droite et son gilet, des escarpins vernis….

Le jeune homme bredouilla : « bonjour je suis Bruno G., j’attends le DRH pour un entretien… ». De suite la voix ferme de la Dame le coupa : « je suis la DRH….et c’est mon collègue qui m’a demandé de vous rencontrer ». Le jeune homme essaya de bredouiller des excuses mais la DRH y mis vite un terme.

L’entretien se déroula comme tous les entretiens de ce type, le seul élément notable fût l’extrême gêne du jeune homme ainsi qu’une érection assez persistante durant celui-ci. La DRH ne pût pas ne pas la remarquer, et lui fît remarquer plusieurs fois durant l’entretien. A la fin de l’entretien, la DRH raccompagna le jeune homme sans jeter un coup d’œil persistant sur la  protubérance au niveau du sexe. Elle conclut de la façon suivante : « merci Monsieur GARDE de vous être déplacé, mais je ne veux point vous laisser beaucoup d’espoir quant à la suite que j’y compte y donner. Je vous confirmerais ma réponse définitive par téléphone sous trois jours ».

Le jeune homme rentra chez lui, avec l’âme en peine, et s’en voulant énormément de la prestation qu’il avait fournie, notamment pour avoir laissé son esprit s’enflammer au vue de cette belle Dame. Il avait vraiment besoin de trouver un travail pour pouvoir rembourser au plus vite un prêt étudiant qu’il avait dû contracter, et ainsi pouvoir quitter l’appartement de sa mère.

Le Lendemain de cette piteuse prestation, le jeune homme vaquait à ses recherches d’emploi sur internet quand le téléphone sonna. Comme d’habitude, sa mère décrocha le téléphone et appela son fils en lui disant : « c’est Mademoiselle K. qui veux te parler ». Le jeune homme pensa que la décision ne fut pas longue à prendre au regard de sa médiocre prestation.

Le jeune  homme prit le combiné et dit : « Madame K., je vous remercie de m’appeler et je suppose que votre réponse….. ». Mademoiselle K. interrompit sèchement le jeune en lui disant : « Jeune homme, il va falloir apprendre à vous taire quand je vous appelle et à ne plus m’appeler Madame mais Mademoiselle. J’ai horreur que mes collègues me nomment Madame ». Le jeune homme resta narquois mais en se souvenant de sa prestation d’hier repris vite le dessus : « Est-ce à dire Madame, heu je vous pris de m’excuser Mademoiselle… », « C’est mieux ainsi » reprit Mademoiselle K., « que vous acceptez ma candidature ? ». Mademoiselle K. rétorqua : « Ne me faites pas regretter mon choix, vous devez apprendre à écouter ce que je dis et à ne pas me faire perdre mon temps en vous le répétant une seconde fois ». Le jeune homme ne pût dire que « Bien Mademoiselle !» et se surprit à demander « Quand dois-je rentrer à votre service Mademoiselle ? ». Le jeune homme ne pût percevoir le sourire narquois de Mademoiselle K.  à l’entente de cette question. « A mon service pas encore….mais pour la société dès maintenant car j’ai horreur d’attendre ». Le jeune homme s’aperçut immédiatement de sa bévue mais ne releva pas, et cette phrase lui procura un stimulus intellectuel et une bonne érection. La conversation téléphonique se termina sur ces mots : « je vous attends d’ici 45 minutes, et ne soyez pas en retard, car je pourrais réviser ma position » et la communication prit fin sans plus de politesse échangée.

Raccrochant le combiné rapidement et criant à sa mère : « je suis embauché maman », il courut dans la salle de bain pour se préparer rapidement. Il remit ensuite le même costume un peu fripé de la veille. Enfin il courut à l’arrêt de bus et arriva enfin à la société.

Il fût introduit très rapidement par l’hôtesse dans le bureau de Mademoiselle K.. La tenue de la DRH, qui l’attendait derrière son bureau,  attira de suite le regard du jeune homme : une jupe droite en cuir, une paire cuissardes, enfin supposait il, car il ne voyait même plus ces genoux et un chemisier légèrement transparent qui laissait percevoir une poitrine généreuse. Bien sûr, le regard de la DRH, se dirigea furtivement sur l’entrejambe du jeune homme, car elle adore savoir qu’elle provoque l’envie chez les hommes, et la protubérance qui se dessinait, fût à la hauteur des ces espérances.

La DRH accueilli le jeune homme : « bonjour Bruno… », le jeune homme fronça les sourcils, et la DRH s’en aperçut immédiatement et dit : « Ha oui ne soit pas surpris Bruno, j’appelle tous mes collaborateurs par leur prénom et je les tutoie, en revanche, ils doivent me vouvoyer et m’appeler Mademoiselle K.. J’espère que cela ne te dérange pas Bruno, car si tel est le cas, tu peux repartir immédiatement, car je ne changerai pas mes habitudes pour un jeune premier. » Bruno était un peu déstabilisé mais répondu : « non Mademoiselle K., cela ne me dérange nullement ». La DRH ne s’attendant nullement à une autre réponse, répondit : « c’est bien Bruno, j’avais vu juste en te faisant venir ici. Bien passons aux choses importantes, ma collaboratrice va te conduire à ton bureau et tu vas remplir tous les papiers afin de finaliser ton embauche dans la société. Ensuite, je commencerai ta formation, pour ne pas dire ton éducation….car malheureusement, même avec tous vos diplômes, vous ne savez réellement pas faire grand-chose. »

Durant cette demi-journée, le jeune homme remplit tous les papiers afférents aux démarches administratives habituelles lors d’une embauche. Il ne revit pas Mademoiselle K., mais gardait le souvenir fantasmagorique de sa tenue. Cette Femme le troublait énormément par ces attitudes, ces paroles, ces habits. Il a toujours été attiré par les femmes de caractère, mais étant toujours puceau, ceci était un pur fantasme dans son esprit, et là il se surprit à penser et si cette Dame était une dominante, Oh mon Dieu que j’aimerai la servir !!! 

 

A suivre ..........

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Félicitations harri pour ce beau récit, les lecteurs seront impatients de lire la deuxième partie.

Mylady

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Lundi 19 janvier 1 19 /01 /Jan 19:46



 

 

L’ACHAT

 

 

Patrick entre dans le supermarché d’un pas décidé. Il a un achat important à faire, mais il va également faire ses courses. Il commence par ces dernières, tourne et vire dans les rayons, un peu comme en un cercle concentrique qui va le rapprocher de celui qui l’intéresse en réalité.  Plus le caddy se remplit, plus son but lui semble  imminent et plus son pas ralentit.

Il entre enfin dans le secteur de la lingerie. Un petit coup d’œil circulaire, il a choisit une heure de faible affluence et le rayon qui l’attire semble plutôt désert. Tant mieux. .. !!  Il longe les présentoirs de slips, petites culottes, soutiens gorge et autres frivolités d’un air détaché. Soudain il voit arriver une dame, face à lui, il a l’impression qu’elle le regarde d’une étrange façon.. Il accélère le pas et fait un long détour pour revenir enfin… Ouf, plus personne.!!

Il peut à nouveau chercher ce qu’il DOIT acheter : une petite culotte en dentelle, pour LUI. Sa Maîtresse lui en avait offert une, mais il l’a trop bien rangée et lorsqu’elle lui a demandé de la porter il y a quelques temps, il a d’abord prétendu l’avoir oublié en venant chez elle, puis a du avouer ne plus la retrouver mais promis de la chercher sérieusement. Seulement voilà … il ne l’a jamais retrouvée. Et Elle lui a ordonné d’aller en racheter une. Pas moyen de reculer !! il s’y est engagé…

Et le voilà au milieu de tous ces petites choses affriolantes, en train de chercher SA taille.  Comble de malheur… une vendeuse s’approche et lui demande si elle peut l’aider… Il bredouille que non, que son épouse a été très claire sur ce qu’il devait rapporter et qu’il va trouver seul ! Enfin elle s’éloigne.

Il a trouvé ce qu’il lui fallait et glisse la dentelle dans le caddy, sous les autres achats. Une autre épreuve l’attend. Il faut maintenant passer à la caisse.

Patrick traîne encore un peu au hasard, feuillette quelques livres, l’esprit ailleurs.

Il finit par se diriger vers les caisses, cherchant celle où il y a moins de monde, mais à force de tourner, il y a maintenant pas mal d’affluence. Il en choisit donc une au hasard… arrive le moment de déposer ses achats sur le tapis, en dissimulant l’achat principal, bien que si petit, au milieu de ses courses. Il jette un coup d’œil rapide sur les personnes derrière lui, personne ne semble faire attention, la caissière passe les articles rapidement, voici le tour de son slip, elle le regarde, il rougit, se trouble, honteux… que peut-elle bien imaginer ???

Dehors, enfin  … !  libéré, soulagé, il se sent les jambes un peu tremblantes, comme s’il avait traversé une épreuve. C’en était une d’ailleurs.

Et là il voit, à quelques mètres de la sienne, la voiture de sa Maîtresse, et il comprend qu’elle l’a suivi, qu’elle a surveillé de loin ses hésitations. La honte le submerge à l’idée qu’elle était là tout près.  Comme elle a du s’amuser, rire de lui..

 

Mais peut-être a-t-elle aussi été fière qu’il ait réussi l’épreuve ??? Qu’il ait OBEI ! .

 

 

Bonne lecture

Maîtresse Lia


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Merci à toi Lia pour ce beau récit, il suffit de le réaliser.

Qu'en pensez-vous les minous????

 

 

 

 

 

 

 

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Dimanche 11 janvier 7 11 /01 /Jan 13:59

Tout ceci m'avait fortement excitée et j'avais l'entre cuisse très humide, j'appelai ma préférée à la rescousse. « Madame ? » me dit elle en approchant, « viens ici de suite », je pris son bras , j'écartai ma cape, je mis son visage près de ma rose, mes soumis étaient toujours là , je m'amusai pendant cinq minutes de leur présence, et avant ma jouissance je leur ordonnai de partir les frustrant dans leur voyeurisme, les privant de ma jouissance. Car elle venait, violemment, les secousses utérines me transperçaient le corps, ma liqueur parvenait à sa bouche, tout en savourant mon fruit elle me remerciait. Il me fallut quelques minutes pour reprendre mes esprits, les jambes sur ma table humaine, la chaleur de ma préférée entre mes cuisses, j'étais bien, sereine, apaisée la journée pouvait continuer.

Soudainement, sans prévenir, j'en eus assez, où étais donc ma novice? Je sors ma préférée de sous ma cape «  Vas me la chercher !!! ». A reculons elle s'en va chercher cette fille «  oui Madame »

Elles s'approchent enfin, je tape ma main contre le trône pour signifier à protectrice qu'elle était longue, elles s'arrêtent devant mon trône. Je m'approche de la novice et sans lui parler, simplement en la regardant, je lui arrache violemment son déshabillé, la finesse de celui ci n'a pas résisté il est au sol déchiré. La voilà nue, pourtant je la sens encore fière, il faut dire qu'elle a une plastique presque aussi bonne que la mienne. Je la contemple sans rien dire avec dédain, je commence à la frôler tout en tournant autour d'elle sans lui dire mot. Soudainement, je stoppe face à elle, je capte instantanément son regard, j'attrape sans ménagement son sein qui pointe outrageusement.

Je prends plaisir à serrer dans ma main ce sein, je cherche la douleur, une réaction dans son regard

Rien de rien pour le moment. Ma voix transperce se silence pesant, je sens l'assemblée frémir, cela m'arrache un petit rictus. Je demande à sa protectrice quel est son nom, la nouvelle réponds à sa place, je sers son sein encore plus fort dans ma main

Sa protectrice, me lance un regard suppliant, alors je lance mon bras vers la joue de la non initiée,

le son retentit dans le pièce. Les autres soumis et soumises présents ne peuvent s'empêcher de relever la tête, ce qui attise ma colère « Allez vous, montrez vous dignes !!!! » ils baissent instantanément leurs visages dans leurs cuisses. Relevant de façon caressante le visage de la novice, qui n'ose soutenir mon regard, je lance « comment se nomme t'elle ? » « sabine » me répond sa protectrice. Mon visage approche celui de ma novice, de son oreille «  sabine, sabine, que vais-je faire de toi, tu as l'air si douce, si fragile ? » dans mon mouvement de recul j'agrippe ses deux seins , les compressant avec force,

mes ongles pénètrent sa chair tendre « vas tu répondre ??? ». Elle me réponds tremblante « tout, Madame, tout ce que votre imagination et la raison vous permettent de faire »

A cette réponse, je la prends par la tête, collant son visage contre le mien, je lui murmure « tu es sure de toi » d'un signe de la tête elle acquiesce. Dès lors son sort est scellé, je parle à voix haute

à mes soumis et soumises « n'avez vous pas entendu, qu'est ce que vous faites encore là, n'avez vous pas d'autres choses à faire ?? » je pousse violemment la protectrice pour lui signifier de commencer les préparatifs. La novice a un  regard interrogateur, je me baisse pour ramasser son déshabillé, elle me tends la main, je jette le tissu sur son visage lui ordonnant de ne plus bouger.

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Mercredi 7 janvier 3 07 /01 /Jan 16:57

 

J'entre dans une grande pièce, pour seule lumière des bougies, de grands et gros cierges en quantité.

Ils parsèment mon chemin, de gros rideaux en velours rouges très épais nous protègent de la lumière ainsi que des regards indiscrets, intrigants ou intrigués de l'extérieur.

De chaque coté de l'allée des soumis et des soumises sont nus à genoux, tête basse.

Je continue mon chemin sans leurs accorder un regard, faisant claquer mes talons sur le sol, afin qu'ils retentissent plus fort dans la pièce, je suis vêtue d'une grande cape rouge avec une énorme capuche qui mets en valeur mes cheveux noirs ébène et mon teint d'une blancheur extrême relevé d'un soupçon de rouge à lèvre bien rouge.

Je m'approche d'une estrade, délimitée par de lourds rideaux pourpre et or,  sur laquelle sont disposés mon trône, une petite table, une cloche, des chandeliers, un autel en pierre finement sculpté, des coussins et de beaux tapis recouvrent le parquet.

Je prends tout mon temps, je m'installe confortablement sur mon trône, je fais le silence absolu, guettant mes soumises et soumis, attendant le faux pas !!!

Lasse que rien ne se passe, je prends la cloche, et je romps le silence en la faisant retentir.

Ma soumise préférée, nommée protectrice par moi même, pour sa fidélité, son amour, et aussi un peu pour son coté masochiste qui lui vaut d'obtenir souvent mon attention, en pareille situation est la seule autorisée à me parler directement.

Donc protectrice, me demande ce que je désire. Dans un premier temps je lui demande si la novice est là, elle me réponds docilement que oui précisant qu'elle l'avait elle même cherchée. Un simple « bien » de mon air hautain, « autre chose pour vous plaire Madame? » m'interroge t'elle ; je lui signifie que je n'ai pas pris mon repas,  lui désignant le soumis qui me servira, celui qui me fera le repas, celle qui servira de table,

Tout ce petit monde s'affaire ; pour me faire patienter la soumise table me sert l'apéritif,  et tends mon verre à la protectrice avant de se positionner à genoux devant moi pour me servir de meuble.

Je lui caresse les fesses avant de lui poser des pinces avec poids sur les seins et sur les lèvres, une rose dans la bouche. Je tends subtilement la bouche à protectrice, elle me porte la coupe à la bouche, j'en bois une gorgée, d'un geste je lui signifie de poser le verre sur la table de la cloche, et de s'approcher de mes lèvres, elle s'exécute, je lui susurre de m'apporter le rosebud ainsi que de la vaseline.

Protectrice, revient très rapidement, ma table humaine est toujours en place.

La vaseline dans la main, j'en applique sur mes doigts, sans prendre la peine de chauffer celle ci dans ma main.

Mes doigts commencent un va et vient entre les fesses de ma table, un de mes doigts se fait de plus en plus pénétrant, ma soumise gémit, puis avec deux de mes doigts, je joue en elle, je fais des ooo dans son anus qui commence à se dilater suffisamment pour accueillir le rosebud. Je tends l'autre main à protectrice, celle ci me donne le lourd rosebud et ajoute de la vaseline tout autour. J'enlève mes doigts pour les remplacer par le jouet de circonstance, je recommence la longue pénétration nécessaire pour appliquer parfaitement l'objet. Ma soumise gémit de plus et plus et mouille abondamment ce qui m'excite au plus haut point, enfin l'objet est en place .

J'ordonne que l'on approche pour me laver les mains, un soumis me lèche puis  lave à grande eau mes mains. Pour le remercier je l’ autorise à nettoyer la chatte dégoulinante de ma table, lui accordant à elle seule une jouissance libératrice pour ainsi effectuer son rôle d'objet.

Il s'applique mais je complique la tâche en infligeant une correction à cette vilaine qui a souillé mes mains, elles se font tantôt caressantes tantôt chaudes, cette alternance entre coups de langue et coups de mains a raison d'elle assez facilement; Une fois la liqueur fraîche savourée je repousse le soumis lui signifiant que cette scène m'avait mise en appétit.

J'ordonne aussi à protectrice de porter mon verre d'apéritif à ma bouche puis de le poser sur ma table, profitant du mouvement qu'elle devait effectuer je constate de ma main l'étendue de son excitation puis de mes yeux, elle ruisselait littéralement ; j'eus un sourire de satisfaction et d'amusement

Mon repas arriva enfin, mes soumis étaient tous là, coupant la viande, remplissant ma fourchette, la portant à ma bouche, d'autres s'occupant de me faire boire, essuyant ma bouche.

Je m'amusais en comparant leurs pénis d'un regard insistant pour qu'ils puissent le comprendre ce qui eut pour effet de les faire débander, en tapant leurs fesses au passage de fourchettes ou de verres.

A suivre !!!!!!!

 


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Nos lecteurs vont apprécier ton texte, je t'en remercie Persephone !!!

Je t'embrasse
Mylady


Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Mardi 16 décembre 2 16 /12 /Déc 17:47

Ce récit fictif de Lia est, sans qu’elle puisse le savoir, une réalité que j’ai vécue il y a bon nombre d’années.

En le parcourant, mes souvenirs sont revenus avec une sensation de bien être. Effectivement les premiers contacts se sont déroulés ainsi et, le 23 décembre j’ai enfin permis à Philippe de m’appeler. Il était fou de joie, il bafouillait au téléphone, il ne pouvait encore réaliser son bonheur depuis le temps qu’il cherche sa Maîtresse.

Peu à peu, au fil de la conversation, j’ai réussi à le calmer et il me parle de sa vie, de sa profession, de ses amis, de sa famille. Deux heures durant, il me confiait ses joies, ses peines et ses espérances. Il me trouvait calme et reposante contrairement à lui et il commençait à s’en inquiéter, pensant que je serais indifférente à ses propos. Après l’avoir rassuré en lui expliquant que c’est ma manière d’être, il me remercie d’avoir su l’écouter, car il avait tellement envie de s’épancher.

Le seul problème fut la distance, comme dans bon nombre de cas. Mais les 300 km qui nous séparent ne lui font pas peur. De mon côté, mes obligations professionnelles, comme par hasard, m’obligeaient de me déplacer dans sa ville. Mon prochain rendez-vous était fixé pour le début de l’année. Quand il l’apprit, il s’empressa de m’inviter pour un déjeuner au restaurant en me donnant les coordonnées. Ce restaurant fut un des plus réputés de la région, je me disais qu’il se lançait dans des frais en mon honneur.

Nous passions donc Noël et Nouvel An avec nos familles et amis réciproques mais il eut la permission de m’appeler tous les jours, ce qu’il fit avec joie.

Sa tension et son impatience montent mais également son appréhension. Mon humour et mes taquineries n’étaient pas pour le rassurer vraiment, ainsi que certaines précisions concernant ma manière de dominer. Il n’a pas encore compris que Machiavelle tisse sa toile tantôt en le rassurant comme en lui faisant peur. Mais son envie de se perdre dans mes filets est plus forte.

Je me suis arrangée de me libérer pour le week-end après ma formation. Enfin nous nous retrouvons face à face sur le parking du restaurant. Timidement il vient vers ma voiture et ouvre ma portière, il s’attendait à une femme de taille moyenne car je n’ai jamais précisé la mienne. Avant de sortir de la voiture je lui tends ma main, il y dépose un baiser et la retient pour m’y aider. Je me souviendrais toujours de son air ahuri de me découvrir aussi grande, car avec mes bottes à talons hauts, j’arrivais à sa hauteur. Il se sentait si petit face à cette femme tant convoitée et mon sourire n’arrangeait pas les choses. Il n’était pas au bout de ses peines, car je lui réservais une autre surprise.

Nous entrons au restaurant, Philippe me tient la chaise en parfait homme du monde pour ne pas dire en parfait « soumis » Il este debout en attendant ma permission de s’asseoir à son tour mais, je sors un paquet de mon sac à main, le lui donne en l’intimant de se rendre aux toilettes.

Il met son sachet discrètement dans sa poche et obéit, je l’attends. En venant me rejoindre, son regard scrute les convives, sa démarche est un peu « coincée »

Vous pouvez vous imaginer la raison et moi je savais qu’il a obtempéré. Il revient vers moi et me baise la main en guise de remerciement pour ces beaux cadeaux. En effet, j’avais fait une petite visite dans un sex-shop pour y acheter un plug de taille moyenne et un anneau pour testicules.

Il peut enfin s’asseoir, tant bien que mal, en se dandinant sur sa chaise. Son regard devient humble et contraint, je m’en amuse follement mais le mets à l’aise en le faisant parler. Il commande deux coupes de champagne et me prie de choisir le menu.

Après un succulent repas, finalement au champagne, il m’invite de prendre le thé chez lui. Je lui fais confiance, je le suis.

Je savais qu’il habitait en maison mais je ne m’attendais pas à celle-ci. Une maison de Maître, immense, avec un escalier majestueux en marbre accédant à son bureau et aux chambres.

Je ne veux pas rentrer dans tous les détails, car j’allai de surprise en surprise et d’émerveillement.

-        Ma demeure est digne de vous !!!

 

Notre relation dura plus d’un an. Pourquoi s’est-elle terminée ? Je ne saurai vous le dire….. Ainsi va la vie !!!!!

 

Toujours est-il que ma chère Lia aura su réveiller d’agréables souvenirs et je me demande si elle n’est pas un peu sorcière………. Sourire.

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Lundi 15 décembre 1 15 /12 /Déc 19:32

 

 

CADEAU DE NOEL

 

 

 

En cette froide journée de décembre, il s’ennuie un peu et décide d’aller une fois de plus sur un site de rencontres BDSM. Il s’était pourtant bien promis de ne plus le faire, à quoi bon payer à chaque fois un abonnement pour rien, il n’a jamais été contacté que par des dominatrices professionnelles qui font payer bien cher des séances qui le laissent à chaque fois déçu, et frustré. Ce n’est pas ce dont il rêve.

 

Il imagine parfois celle qui serait à la fois sévère et tendre, qui pourrait tout aussi bien le caresser que le frapper durement pour le punir ou simplement parce qu’elle en a envie. Aux pieds de laquelle il pourrait enfin s’abandonner et déposer tout cet Amour qu’il a au fond du cœur. Il a connu bien des femmes déjà, mais dans des relations vanilles qui ne le satisfaisaient pas totalement. Il lui a toujours manqué quelque chose,  aucune de celles qu’il a aimées ne comprenait son besoin de soumission, cette envie de s’offrir à elle totalement, corps, cœur et âme en abandonnant toute retenue, pour n’être plus que sa chose, son objet livré à sa Reine, sa Déesse.

 

Il peine à remplir son annonce, comment dire sa quête ? Comment mettre en mots ce désir profond., comment attirer l’attention d’une véritable dominatrice qui ne soit pas que cela ? Enfin ça y est, ce n’est sans doute pas parfait mais il y mis l’essentiel. Il envoie … il ne reste plus qu’à attendre, une fois de plus, espérer.. Il passe de temps en temps sur le site, lit les pseudos et les annonces des dominatrices inscrites.. Il y a toujours quelque chose qui ne lui donne pas envie de contacter. Est-il trop difficile ? Ou trop craintif ?

 

Il vient de se connecter et une nouvelle annonce lui saute aux yeux, le pseudo, déjà, donne a penser qu’il ne s’agit pas d’une domina vénale, les termes employés aussi, elle écrit bien, exprime simplement sa recherche qui est parfaitement synchronisée avec la sienne. Son cœur se met à cogner dans sa poitrine, il contacte rapidement n’osant croire que la chance puisse enfin lui sourire.

 

Et voilà.. pas de réponse, il en était sur.. ç’était trop beau pour être vrai ! il attend quelques minutes puis, dépité, éteint l’ordinateur.  Le lendemain il passe machinalement sur le site et miracle, la réponse est là ! Elle lui a écrit, elle lui pose des questions sur lui, sur sa recherche, elle est même en ligne. Ses doigts tremblent en répondant, il fait des fautes de frappe, d’orthographe, efface, revient, s’énerve.  Elle va partir avant qu’il n’ait répondu peut-être ??  Non, elle est toujours là, et semble avoir apprécié sa réponse, le dialogue s’engage, il s’enhardit peu à peu, se confie, ouvre son esprit et son cœur à Celle qui semble capable de le comprendre. Ils prennent rendez-vous pour un nouveau dialogue le lendemain, il n’en dormira pas de la nuit dans l’attente de la retrouver, et d’échanger à nouveau.  Et les jours se suivent avec de longs moments passés à se livrer. Enfin elle lui confie son adresse e-mail, en lui demandant de lui envoyer une photo. Elle précise « une photo habillée, c’est l’homme que je veux connaître, pas son anatomie »

Il se plonge dans les clichés contenus par son PC. Aucune ne lui parait digne d’être envoyée à celle à laquelle il souhaite tant plaire. Sur celle là il semble triste, sur l’autre il a l’air idiot, celle-ci ne serait pas mal mais il porte des lunettes de soleil. Il se rend compte qu’il n’a pas beaucoup de photos le représentant, la famille, les amis, les vacances sont majoritaires. Une idée lui vient, il va en faire une spécialement pour Elle, en lui souriant, en pensant à Elle. Aussitôt dit, aussitôt fait. Puis il se hâte de l’envoyer. Va-t-il lui plaire ?  il attend le verdict, mais aucune réponse dans les heures qui suivent.

 

Il ne lui convient pas, bien entendu, mais quand même .. Elle pourrait le lui dire clairement. Où alors Elle est absente et n’a pas encore eu le mail ??? Les heures passent si lentement, il tourne en rond dans son appartement, incapable de fixer son attention sur autre chose que le signal de sa messagerie. Régulièrement une fausse joie, il se précipite pour ne trouver qu’une publicité, ou un message d’ami. Il les aime bien ses amis mais aujourd’hui ce n’est pas d’eux dont il a besoin.

 

Enfin….. !!!!! LE mail arrive, il l’ouvre le cœur serré, quel va être le verdict ??  Elle le trouve très bien, très sympa, et lui demande s’il est d’accord pour une rencontre dans les prochains jours. HOURRA ! il ne se sent plus de joie, il voudrait la crier au monde entier. 

Machinalement il regarde la date, le 24 décembre… il l’avait oublié, ce soir c’est NOEL ! Et il vient de recevoir son plus beau cadeau !

 

 

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Quel beau récit Lia !!!!!

Puisse t'il se réaliser pour tous ces soumis en peine de Maîtresses. Je leur souhaite !!!

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Lundi 24 novembre 1 24 /11 /Nov 18:08

 

Il est souvent sur des sites pour trouver enfin cette Maîtresse tant convoitée depuis des années. De contacts en contacts il commence à désespérer. Des dialogues qui n’aboutissent à rien, ne serait-ce que de se retrouver de temps en temps pour poursuivre ces liens virtuels avec des inconnues. Que lui promettent-elles ? Que lui font-elles miroiter ? Que lui racontent-elles pour fantasmer, encore et encore ?

Jusqu’au jour où il reçoit un message inopiné lui demandant de lui expliquer le sens de son annonce sur le site. Il répond vaguement, se demandant qui est cette Dominatrice qui vient de le contacter. Il se méfie, bafouille mais tente, le tout pour le tout. Elle lui demande d’ouvrir un messenger pour plus de précisions quant à sa vision profonde de soumission. Toujours réservé et sur ses gardes, il répond néanmoins avec sincérité. Le lendemain il se précipite pour ouvrir messenger en espérant la retrouver, elle est là……….

Après un dialogue de quelques heures il sent la tension monter. Il ressent une attirance envers cette femme sans s’expliquer pourquoi et pour quelle raison. Il reprend confiance en lui, il aimerait lui faire confiance, il attend………

Puis, à sa grande surprise, elle lui propose un rendez-vous dans deux jours, il n’en revient pas, mais accepte.

********************

Cette petite histoire peut vous arriver d’un jour à l’autre, ne soyez pas impatients, il suffit d’y croire.

Il est des circonstances qui font que le destin vous permet de croiser celle qui vous cherche. Ce destin ne pouvait se produire, il y a des semaines, des mois ou des années mais peut être demain.

En tous cas sachez qu’il y a toujours quelqu’un qui cherche quelqu’un sur terre et dans notre monde, il suffit de se croiser.

 

 

 

Je vous le souhaite !!!!!!!!

Mylady

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Samedi 18 octobre 6 18 /10 /Oct 12:03

LA SUITE DU REVE DE MAITRESSE LIA

MAIS IMAGINE ET ECRIT PAR SON SOUMIS BARRY N°2





Décidément je suis dans un état très particulier. Un état à mi
chemin entre le conscient et l'inconscient.. maintenant que
je suis éveillée.. ou presque, ces images s'imposent à moi
comme une réalité...et les choses s'enchaînent très clairement...

 

J'avais organisé cette petite croisière en Méditerranée et réservé,
 au départ de Marseille, deux cabines contiguës sur l' »Odyssée »... Mon soumis a déposé les bagages dans nos cabines respectives ;
 je l'appelle. Il accourt et se met à genoux devant moi.

 

- Sais tu pourquoi je t'ai giflé sur le quai?

- Maîtresse je pense que vous l'avez fait, juste avant d'embarquer, pour me mettre en condition et pour bien me faire comprendre ce qui m'attendait...

- Lèves toi!

 

Il se lève et je vais m'asseoir confortablement dans un fauteuil, avec un sourire de plaisir  quelque peu narquois, le laissant debout devant moi..

 

-Eh bien mon cher tu as tout faux ! Pendant cette croisière il n' y aura ni gifles, ni martinet, ni cravache...vois tu je n'ai emmené aucun accessoire!

 

Une frustration visible, dont je me délecte, apparaît sur son visage de soumis.. et je me lance dans un long monologue, sur un ton calme, un peu espiègle, mais aussi empreint de fermeté :

 

- Vois-tu j'ai décidé que tu serais mon compagnon et ami pendant cette croisière et nous participerons bien sur aux « mondanités » du bord comme un couple normal..

Cette ambiance se prête très bien aux raffinements et j'entends  que ta soumission à mon égard puisse s'exprimer par de délicieux « détails »

            - Je te tutoierai et tu me vouvoieras en TOUTES circonstances

            - Si des personnes  nous interrogent sur ce point nous leur dirons que c'est la             manière habituelle dont fonctionne notre couple et nous ne tricherons pas           

           - Tu seras envers moi d'une prévenance totale et visible (politesse, préparation des

sièges, vêtements, boissons et tous désirs que tu sauras bien sur « deviner »)

     - Tu feras tout pour satisfaire les petits caprices qui pourraient me passer par la tête        et dont je te ferai part

     - Tu feras une discrète mais visible révérence de la tête à toute femme que tu croiseras

     - Tu veilleras à la rigoureuse propreté et au rangement de ma cabine, salle de bains et toilettes et, en ma présence, tu me tendras tout objet ou accessoire dont je pourrais avoir besoin en ces lieux.

     - Tu ne parleras, en public , comme en privé, que si je t'y invite. Toutefois si tu souhaites demander l'autorisation de parler, tu le feras par un geste visible en joignant les mains comme une prière. Si je ne t'invite pas à parler après ton signe, tu te tairas

    - Il n'y aura aucune punition corporelle à ton égard, mais j'ai néanmoins prévu deux sanctions que je compte bien utiliser.

   - La première sanction sera tout simplement une REELLE privation de repas.

   - La deuxième sanction sera de te revêtir d'une tenue que j'ai prévue pour toi : Il 's'agit tout simplement d'un short d'écolier, maintenu par des bretelles et d'une chemise rayée de service. La tenue sera agrémentée de chaussures de ville noires et de chaussettes blanches .Tu auras ainsi l'ait parfaitement ridicule et c'est ce que veux ! Cette tenue ne sera bien sur jamais portée en ma présence, mais uniquement lors de sorties sur le pont ou ailleurs que je pourrai t'ordonner.

 

Tu vois « notre » croisière prend forme!


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-        A vos plumes pour la suite !!!!!!!!!!!! 

 

 

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Vendredi 17 octobre 5 17 /10 /Oct 10:25

Récit de Maîtresse Lia

 

 

 

 

Il fait nuit, je suis dans ma voiture, mais en tant que passagère, chose bizarre car je préfère généralement conduire. Je n’arrive pas à distinguer le visage de mon chauffeur. C’est mon soumis, c’est tout ce que je sais… j’ignore même son nom. Tout est calme, juste une douce musique  sur laquelle je n’arrive pas non plus à mettre un titre.. Je suis bien, je me sens en sécurité dans la voiture qui file sur l’autoroute. Nous partons en vacances.

 

Je demande à mon chauffeur dans combien de temps nous arriverons au port d’embarquement.

 

-        Dans une demi heure Maîtresse, nous sommes plutôt en avance, vous aurez tout le temps de vous installer tranquillement dans votre cabine, pendant que je transférerai les bagages et m’occuperai des formalités.

-         

Je me laisse aller à une douce torpeur, en regardant les lumières des maisons dans la nuit. Un magnifique clair de lune éclaire doucement la campagne. L’habitat se fait plus dense, on distingue des rues éclairées, nous devons approcher. J’ouvre la fenêtre pour sentir l’odeur de la mer … Ce parfum iodé, prémices d’une croisière dont je rêve depuis longtemps. J’essaies de me souvenir du nom de mon compagnon de voyage, en vain…

 

Nous quittons l’autoroute, peu de monde au péage, quelques kilomètres et voici le port. Mon chauffeur me dépose, avec les valises, tout près du quai d’embarquement afin que je n’aie pas trop à marcher, et va ensuite garer la voiture sur le parking. Je l’attends quelques minutes, en admirant le gigantesque navire sur lequel nous allons monter dans un instant. Il revient en courant, et s’arrête devant moi essoufflé … je plonge mon regard dans le sien, et je le gifle 2 fois, sans dire un mot. Il s’agenouille devant moi sur le quai, devant quelques personnes étonnées, et me dit « MERCI Maîtresse ».

 

Il se saisit des valises, je ne prends quant à moi que mon vanity de toilette et mon sac à main, et nous embarquons.  POUR OU ? ? ?

 

 

Je me réveille… Ce n’était hélas qu’un rêve… ! ! !


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Maîtresse Lia raconte son rêve à son soumis qui, a son tour rêve de sa suite.............. 

 

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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