Jeudi 10 avril 4 10 /04 /Avr 00:38

Le mirage devient réalité. A leurs pieds, ces Divines lui semblent être immenses, il n’arrive même plus à les reconnaître.

Un effet d’optique du à l’émotion intense qu’il ressent et l’effroi de se sentir si petit dans sa tenue d’Adam, rend sa vue trouble. Soumis se ressaisi et s’empresse d’obéir à sa Maîtresse et salue respectueusement chacune d’entre elles en leur déposant un baiser sur le dos de leur main.

-        Il va falloir que tu prépares d’autres tasses et que tu refasses du chocolat chaud pour mes amies !

-        Quelle joie Maîtresse ! Je vous aime !

 

Les Divines sont ravies de l’effet de surprise et heureuses d’avoir réaliser ce rêve pour leur amie. Elles déballent les pâtisseries qu’elles ont apportées et se laissent servir. La bonne odeur de chocolat chaud embaume la pièce, soumis s’empresse autour d’elles pour être à leurs petits soins. Il ne pense plus à sa nudité, c’est sa condition, il doit combler les caprices de ces Dames, c’est son rôle. Il reste debout, les bras derrière le dos, à côté de sa Maîtresse dans l’attente d’un souhait et même prêt à le devancer.

Sa Maîtresse raconte leurs péripéties à ses amies, elles en sont émoustillées et les questions, ainsi que les commentaires vont bon train. Soumis suit leur conversation en rougissant autant de honte que de plaisir, il ne pensait pas qu’un jour il serait le point de mire de tant de femmes.

Et quelles femmes !!!

 

L’après midi se termine, les amies doivent reprendre la route. Soumis les remercie humblement de leur présence et les salue respectueusement. Maîtresse les raccompagne à leur voiture pendant que l’homme range la vaisselle et nettoie la cuisine. Ces tâches lui semblent paradisiaques, il n’arrive pas encore à réaliser ce qu’il vient de vivre. Il est heureux et comblé !

 

Maîtresse revient, satisfaite de sa journée pleine de rebondissements. Soumis se jette dans ses bras et l’embrasse amoureusement. C’est avec regret qu’ils se voient obligés de quitter ces lieux de rêve mais les souvenirs resteront à jamais gravés dans leur esprit.

Ce sont ces aventures inopinées qui donnent du piment à leur relation et qui les unit. Elles renforcent surtout l’amour qu’ils éprouvent l’un vers l’autre, ils ne risquent pas de tomber dans la monotonie et l’ennui.

Soumis tend ses bras à sa Maîtresse afin qu’elle lui retire ses bracelets et son collier, mais, à sa grande surprise, celle-ci reprend un air sévère.

-        Tu n’imagines tout de même pas que je n’ai pas entendu le bruit du verre que tu as laissé tomber !

-        Mille pardons, Maîtresse.

 

Soumis qui était toujours sur son nuage, retombe en enfer. Il était à cent lieues de se douter de cette réaction subite et craint le pire. Ce qui ne tarde car Maîtresse lui remet la chaîne, le tire vers la voiture et ouvre le coffre. Il a compris la sentence et, humilié, grimpe dans sa prison. Elle lui jette une couverture et referme le coffre avec fracas. La voiture démarre et roule sans le ménager dans les virages. Autant il était heureux de conduire sa Maîtresse dans ces belles montagnes la veille, autant le retour lui est pénible. Mais il est conscient que sa punition est méritée et en admiration envers sa Divine qui trouvera toujours à lui en infliger de nouvelles.

 

De retour dans leur nid, ils partagent une nuit d’Amour jamais égalée.

 

Ce n’était plus un seul rêve que soumis aura vécu, mais plusieurs !!!



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Ce feuilleton est terminé, une seule phrase aura suffit de l’élaborer. J’espère que cette histoire, pourra un jour, être la vôtre.

 

Je vous le souhaite !!!

 

Mylady

 

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Mardi 8 avril 2 08 /04 /Avr 21:57

Sa promenade matinale ainsi que son déploiement de force ont donné un bel appétit à Maîtresse. Soumis s’est surpassé et prend plaisir à la voir apprécier ses efforts, ce qui pour lui est la plus belle récompense. Il est surtout heureux de la voir sereine et joyeuse et leurs discussions portent sur les événements vécus depuis la veille. Ces moments de partages sont importants dans la relation d’un couple D/s, ils peuvent tout se dire et avouer leurs ressentis. Pour soumis, c’est essentiellement le fait d’être entravé et enfermé durant toute la nuit qui l’a marqué. Pour Maîtresse, ce qui est l’évidence même, c’est tout ce qu’elle a entrepris et décidé. Il explique que ses pensées de la nuit, ainsi prisonnier, ont conforté son abandon et son abstinence rien que pour elle. De se sentir ainsi à sa merci mais en toute confiance, est un vrai bonheur. C’est cette cérébralité qui prime, tous ses sens ont prouvé, une fois de plus, que la suprématie féminine en est l’apothéose.

-        Tu peux desservir et faire la vaisselle, je fais une petite sieste. Quand tu auras terminé, tu viens te mettre à mes pieds !

-        Oui, Maîtresse.

 

Ce revirement du ton de sa voix, le fait revenir sur terre et sur sa condition. Soumis fait attention à ne pas faire trop de bruit, mais laisse malencontreusement tomber un verre qui se brise en mille morceaux. Il s’empresse  d’aller voir la réaction de sa Maîtresse et, heureusement celle-ci dort profondément. Rassuré, il ramasse le résultat de sa maladresse, termine ses tâches et se faufile à ses pieds. Son souffle est régulier, il peut surveiller son sommeil tout en se reposant.

Maîtresse se réveille doucement et apprécie d’avoir son soumis à ses pieds mais qui semble s’être assoupi. Elle lui donne un petit coup, il se réveille, navré d’être pris en flagrant délit.

-        Je voulais t’emmener en promenade, mais pour te punir, tu resteras ici et tout nu. Je reviens à l’heure du thé, je veux que tout soit prêt ! Tu t’occupes également de ranger mes affaires !

-        Je vous demande pardon, Maîtresse ! Oui, Maîtresse et un bon chocolat chaud vous attendra.

 

Maîtresse semble fâchée, ce qui le met dans tous ses états. Il lui souhaite une agréable promenade en lui baisant les pieds, elle se calme. Un tant soit peu rassuré, il se met au travail, nu, comme elle le lui a donné l’ordre.

Maîtresse quant à elle, presse le pas joyeusement, contente d’avoir ému soumis et qu’il se sente en faute. Machiavélique jusqu’au bout des ongles, telle est son attitude préférée. Elle se dirige vers la route et attend. Mais qui attend t‘elle ?

Ce sont ses amies du Cercle à qui elle a téléphoné durant sa promenade matinale et invitées à venir prendre le thé. Deux d’entre elles, avaient un empêchement pour raison familiale, mais voilà les trois autres qui arrivent. Elles s’embrassent joyeusement et sont impatientes de faire la surprise à soumis. Maîtresse leur a expliqué que c’est un de ses rêves de pouvoir servir ses amies, Divines de surcroît.

Elles font le chemin à pied jusqu’au chalet pour ne pas faire rater la surprise et surtout pour le surprendre. Sans faire de bruit, elles jettent un regard à travers la fenêtre. Soumis est à genoux, nu, tête baissée, en train d’attendre sa Maîtresse. Elles entrent à pas feutrés, il ne réagit pas de suite, toutefois, sans relever la tête, il pressent d’autres présences. Il n’ose y croire, il rougit et tremble de tout son corps. Une montée d’adrénaline le fait pâlir car il réalise enfin sa position humiliante, lève son regard et aperçoit les Divines amies de sa Maîtresse.

Sa première réaction est de se jeter à leurs pieds et de les embrasser mais surtout celle de cacher son émotion.

-        Tu peux te relever et saluer respectueusement mes amies !

-        Je n’ose y croire, Maîtresse. Je suis victime d’un mirage…………

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A suivre .............

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Lundi 7 avril 1 07 /04 /Avr 21:52
cos c

Dans son bain parfumé de senteurs de roses et d’une onctueuse mousse, Cléopâtre se laisse laver. Esclave la savonne et la frotte avec une douce éponge, à genoux devant la baignoire. Le corps laiteux de sa Reine dégage une profonde sensualité, elle ronronne d’aise ce qui ne laisse son esclave de marbre. Il est en érection constante depuis son réveil et connaît le machiavélisme de sa Maîtresse qui, consciemment, adore lui faire subir le supplice de Tantale.

Pour comble de perversion, elle ouvre ses jambes afin qu’il y plonge son éponge. Cléopâtre ferme les yeux et se laisse envahir de sybaritisme tout en infligeant la torture à son esclave. Il s’oblige par un contrôle surhumain à ne pas exploser mais admire la force de caractère de sa diablesse d’épouse.

Elle émerge enfin de sa léthargie, repousse son martyr et sort de son bain. Il s’empresse de la sécher délicatement de la tête aux pieds puis elle se dirige vers la chambre et se recouche, nue, sur le lit.

-        Va chercher ma crème de corps et masse-moi !

-        A vos ordres « Machiavelle » !

 

Il la nomme souvent de ce surnom qui lui sied à ravir, pour lui faire comprendre combien elle le fait souffrir de désir. Le massage de son corps n’arrange pas les choses mais il est prêt à endurer son calvaire par obéissance et dévotion.

Cléopâtre le repousse et lui signifie de retourner dans sa prison. Cette fois-ci, elle ferme la petite porte avec le loquet et le laisse ainsi enfermé dans le noir. Puis elle prend son temps pour se coiffer, se maquiller et s’habiller. Le temps radieux l’incite à prendre l’air et se promener dans les bois. Après une bonne heure de marche, le teint rose de bonheur, la geôlière libère son prisonnier. Aveuglé et libéré de sa chaîne il peut enfin se déplier et remercie sa Maîtresse en lui baisant ses pieds.

-        Il est l’heure de préparer le déjeuner ! N’oublie pas de descendre le plateau après avoir rangé la chambre et fait mon lit. Ah ! J’allais oublier ! Après avoir fait ta toilette, tu nettoies la salle de bain ! Je t’attends au salon dans une heure !

-        Vos désirs me comblent, Maîtresse.

 

Mi-sérieux, mi-souriant, soumis se retrouve seul à l’étage pour exécuter les ordres. Il a enfin retrouvé l’autorité de son épouse qui semble bien disposée à poursuivre ses caprices.

Il la retrouve, installée dans le canapé en train de feuilleter une revue mais, à sa grande stupéfaction, le martinet à la main.

-        Tu as cinq minutes de retard ! Pose ton plateau à la cuisine et reviens t’allonger en travers de la table ! Tu mérites une belle correction !

-        Je vous demande pardon, Maîtresse !

 

Sans tenir compte de cette supplique, Maîtresse brandit son martinet dont les lanières fustigent les fesses ainsi offertes par soumis. Les striures apparaissent aussitôt sous l’amplitude des coups. Elle a décidé de multiplier par dix chaque minute de retard. Entre chaque dizaine, elle caresse les fesses de ses mains fraîches pour ressentir la chaleur croissante qui s’en dégage et pour accentuer les frissons de cette alternance de chaud-froid.

 

La punition se termine enfin, soumis a compris sa douleur, il ne sera jamais plus en retard. Néanmoins il reconnaît la justice de sa Maîtresse, elle ne pouvait laisser passer cette faute. Ce plaisir pour elle n’est jamais gratuit et serait futile sans raison comme certains hommes peuvent l’imaginer. C’est penaud et humilié qu’il se met aux fourneaux pour lui préparer les meilleurs mets et lui prouver sa profonde reconnaissance.

 

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A suivre ................

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Dimanche 6 avril 7 06 /04 /Avr 22:21


Après une nuit presque blanche de part sa position contraignante, soumis se réveille à l’aube pour guetter l’appel de sa Maîtresse. De sa cellule sombre, il entend le bruissement des draps et le souffle discret de l’endormie. Sans bouger, il se demande ce que sa Maîtresse va lui réserver. En songeant à la journée de la veille, ses pensées lui donnent une belle érection matinale.

Maîtresse se réveille à son tour, les rayons de soleil qui traversent les arbres illuminent sa chambre, elle se sent comme une reine dans son lit à baldaquin. Les tentures qui décorent les colonnes en bois, sont de couleur or. Une envie de jouer à Cléopâtre la saisit, elle appelle son esclave. Soumis s’extirpe de son placard, plié et titubant. Son regard tombe sur sa Maîtresse qui s’est assise dans le lit et l’attend d’un air hautain. 

-        Bonjour esclave !

-        Ohhh ! Bonjour ma Reine.

 

Cette nouvelle appellation le fait frémir et rougir de plaisir, sans parler de sa réaction sexuelle.

-        Lèche mes pieds !

-        Quel honneur, Maîtresse !

 

Toujours les mains et les chevilles entravées, esclave soulève, tant bien que mal, les couvertures pour y glisser sa tête. Cléopâtre ne bouge pas afin de l’obliger à se contorsionner pour atteindre ses pieds. Sa langue trouve les membres divins et les lèche amoureusement. Capricieusement elle le repousse lui signifiant d’arrêter, néanmoins il reste sous la couverture n’ayant pas reçu l’ordre de se retirer. Pour le récompenser, elle tend à nouveau ses pieds vers sa bouche et continue ce petit manège avec un malin plaisir.

-        Ca suffit !

-        Merci ma Reine ! Vos pieds sont divins.

-        Je veux mon petit-déjeuner !

-        A vos ordres Maîtresse.

 

Cléopâtre détache la chaîne des poignets tout en lui laissant celle qui relie les chevilles au collier. Il se verra contraint de descendre les marches à quatre pattes, ainsi plié. La Reine s’amuse en l’imaginant préparer le café et les tartines beurrées avec ses entraves. Elle sait pertinemment qu’il n’oserait se défaire de la chaîne bien qu’il en ait la possibilité. Cette confiance réciproque est l’élément majeur de leur complicité. Par respect l’un envers l’autre, ils ne s’amusent pas à enfreindre leurs limites mais assument pleinement celles qui sont consenties.

L’exploit d’esclave est de remonter avec son plateau, mais il a réussi. Il le pose sur le petit guéridon qu’il soulève pour le placer au plus près du lit. De son mieux il sert le café et tend la tasse à sa Reine qui s’est calfeutrée dans les coussins. Elle jubile de constater les efforts qu’il déploie pour la servir et la contenter avec un empressement exemplaire. N’ayant de cesse de lui demander, soit de lui tendre une tartine, soit de lui essuyer la bouche, soit d’entrouvrir la fenêtre, Cléopâtre joue son rôle à la perfection. Esclave, quant à lui, est le plus heureux des esclaves.

-        Va préparer mon bain, tu auras le privilège de faire ma toilette !

-        Merci, Amour de mon cœur.

 

Ce petit ton ironique les rapproche dans leur complicité, leurs jeux varient entre humour et convictions profondes. Il leur est déjà arrivé d’éclater de fous rires dans des situations ridicules de spontanéité.

 

Quel beau début de journée ! Que va-t-elle encore leur réserver ?

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A suivre .............

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Samedi 5 avril 6 05 /04 /Avr 17:50


Maîtresse s’est endormie dans l’herbe tendre, soumis commence à s’ankyloser mais attend patiemment le retour de sa Divine en espérant qu’elle ne s’est pas perdue dans la forêt. Jamais il ne pourra oublier cet arbre contre lequel il a ressenti autant de souffrances et de plaisirs.

Cette image d’une Divine qui sommeille à quelques pas de son soumis entravé, est excitante de beauté.

Elle se réveille enfin, s’étire en réalisant la situation. Souriante d’aise elle s’approche de son supplicié qui la gratifie d’une érection de satisfaction de la revoir enfin. Cet état lui donne des envies, elle le détache de son arbre tout en lui laissant son collier et ses bracelets. Elle l’entraîne derrière son buisson et lui ordonne de lui donner du plaisir. Jamais soumis n’avait eu autant envie de son corps, il la contente avec délicatesse, fougue et amour.

Maîtresse, quant à elle, est comblée d’orgasmes jusqu’à l’explosion finale de son soumis. Il l’embrasse avec bonheur en attendant qu’elle émerge de sa volupté.

-        Rentrons, je veux que tu me fasses un massage, l’herbe est peut être douillette mais le sol trop dur pour mon dos.

-        Avec joie, Maîtresse !

 

Avant de se déshabiller, Maîtresse ordonne à soumis de raviver le feu dans la cheminée et de lui servir un thé bien chaud. Il s’empresse de la satisfaire et attend qu’elle soit à l’aise ainsi réchauffée. Elle se couche, nue à plat ventre sur le canapé, il se met à genoux devant son corps et la masse vigoureusement. Les muscles se détendent sous la chaleur des massages et de l’huile essentielle, sa colonne vertébrale retrouve sa flexibilité et sa peau embaume du doux parfum. Les massages se transforment en caresses, Maîtresse se laisse ainsi dorloter. Qu’il est agréable de sentir l’empressement de soumis sur son corps, ses mains qui courent  tout au long, de la nuque jusqu’à la plante des pieds.

-        Il est l’heure de préparer le dîner, laisse-moi !

-        Oui, Maîtresse. Je me permets de vous dire combien je vous aime !

 

Sans répondre, elle n’en pense pas moins. Cet amour partagé est l’œuvre de la suprématie féminine. Un couple conventionnel ne peut que très rarement aboutir à autant de félicité après tant d’années de mariage. Le pouvoir opéré sur un homme le soumet de manière à le rendre humble et aimant. Il sera toujours en attente des ordres de sa Maîtresse, de son bon vouloir de jouer avec lui et d’être celle qui décide de sa sexualité.

Durant ses déplacements professionnels, soumis est encagé, c’est ainsi que Maîtresse dirige sa libido tout en ayant confiance en lui. Soumis est content et heureux de pouvoir ainsi lui prouver sa fidélité et son abstinence.

 

La première soirée se termine au coin du feu dans leur position de prédilection, soumis à ses pieds et Maîtresse allongée sur le canapé. Ils savourent une douce musique, toujours en silence. L’heure de se coucher ne va pas tarder, le temps a passé beaucoup trop rapidement, cette journée fut délicieuse.

Soumis pensait pouvoir se blottir contre le corps de sa Maîtresse mais celle-ci en a décidé autrement. Elle ouvre la petite porte du cagibi, y lance une couverture et une couette, soumis a compris. Il lui présente ses poignets, elle fixe au mousqueton du collier une chaîne qui se relie à ceux des poignets et des chevilles. Courbé et titubant, il n’a d’autre choix que d’obéir et de pénétrer tant bien que mal dans son placard.

Maîtresse se blottit voluptueusement sous les draps en songeant à soumis qui, ainsi entravé, ne peut dormir qu’en chien de fusil.

 

Soumis, malgré son espoir déçu, est heureux de pouvoir ainsi obéir et contenter sa Divine.
- Bonne nuit soumis, fais de beaux cauchemars!
- Bonne et douce nuit à vous, Maîtresse

 


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A suivre ............ 

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Vendredi 4 avril 5 04 /04 /Avr 21:57



L’endroit désert lui permet de rester dans sa tenue de soumis, il peut sortir à la voiture pour obéir aux ordres de sa Maîtresse. Le fait d’être nu le conditionne dans son statut et, sans bruit il vaque à ses tâches.

Maîtresse somnole en rêvant, elle s’imprègne de son rang qui, sans pour autant disparaître, était enfoui. Une onde de suprématie la traverse, elle retrouve son énergie. L’envie de visiter les lieux la saisi pour découvrir la pièce où elle est installée et l’unique chambre. Il n’y a pas de grenier mais un placard en sous-pente servant de petit débarras. L’accès étant de la chambre, elle jette un coup d’œil en se baissant, sourire aux lèvres. Satisfaite, elle redescend dans la grande pièce. La table est mise, soumis l’attend debout, les mains derrière le dos.

-        Tu peux me servir !

-        Merci, Maîtresse.

 

Ayant emporté sa mallette à malices, c’est après avoir déjeuné royalement, qu’elle ordonne à soumis de desservir et de faire la vaisselle. Elle sort pour prendre l’air de cette douce chaleur printanière. Les sapins qui entourent le chalet embaument de leur sève d’une odeur suave et délicieuse. Maîtresse s’y promène en respirant à pleins poumons tout en cherchant l’arbre convoité.

L’ayant trouvé, elle retourne au coffre de la voiture et sort ses cordes de la valise magique. Soumis savait qu’il lui est interdit d’y toucher. Elle prend également les bracelets de chevilles et poignets ainsi que son collier. Elle dépose le tout au pied de l’arbre puis retourne au chalet pour chercher soumis. Tout est rangé et nettoyé, il l’attendait.

Sans un mot elle lui enfile un pull, le prend par le bras et l’entraîne dans le petit bois. En apercevant les entraves, soumis rougit d’appréhension, de honte et de plaisir. Un désir s’empare de tout son être, il ne peut s’empêcher d’avoir une érection. Maîtresse en est récompensée et lui pose son collier et ses bracelets en souriant. Elle passe les cordes dans les œillets et tourne autour de l’arbre pour l’enrouler des liens. Ainsi ficelé de tout son corps, solidement contre l’arbre, elle admire son œuvre.

-        Tu es beau, c’est ta récompense de m’avoir servi.

-        Merci ma Maîtresse adorée.

 

Satisfaite, elle le laisse ainsi exposé et s’engage vers le chemin qui la conduit vers des lieux inconnus mais paisibles. Elle imagine la panique de son soumis ainsi abandonné et qui peut être surpris par un randonneur égaré. Mais ce fut volontairement qu’elle faisait mine de s’éloigner car, sans faire de bruit, elle revient et s’installe derrière un buisson.

Elle observe son entravé qui n’a de cesse à tourner la tête pour épier un éventuel passant. La peur lui a fait tomber son érection, mais son esprit se calme et s’évade vers une nouvelle sensation. Celle d’appartenir corps et âme à sa Maîtresse qui a le pouvoir d’en user selon son bon plaisir.

Tous ses sens sont en éveil, allant de l’ouie à l’odorat mais surtout celui de sa sensualité. Il sent l’écorce qui meurtrit sa peau dès qu’il bouge d’un millimètre. Cette douleur imposée lui plait, il frotte ses fesses contre l’arbre, sa libido remonte. Il se concentre et oublie sa peur pour savourer ces moments de délices.

Maîtresse constate cette transformation des sens en éprouvant autant de plaisirs. La communication des sens s’opère, leurs corps se transmettent les mêmes ondes même si soumis ignore qu’il est observé.

 

L’alchimie des sens est un phénomène d’une sublime intensité que seuls, deux êtres aimants  peuvent partager.

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A suivre..........

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Vendredi 4 avril 5 04 /04 /Avr 00:29


Son rêve est :

De se trouver seul avec sa Divine durant tout un week-end. Son seul désir serait d’être prés d’elle, de la servir, sans avoir le droit de parler sauf la remercier de ses bienfaits.

Etre à son service, la chouchouter, lui offrir toutes ses envies.


J’imagine que cette Maîtresse est très occupée durant la semaine et que son pauvre soumis trouve le temps long durant ses absences. En rentrant le soir, sa seule envie est de souffler en s’allongeant sur le canapé. D’évacuer le stress de la journée avec une bonne tisane et une douce musique.

 

Oublier cette vie trépidante ne serait-ce le temps d’une fin de semaine.

 

Imaginons !!

 

Pour lui faire la surprise, le soumis loue un chalet isolé en pleine montagne, elle est heureuse de pouvoir s’évader. Sans connaître la destination, elle se laisse conduire sur les routes sinueuses de la montagne. Cette matinée est d’un calme absolu, les rayons d’un soleil printanier réchauffent l’atmosphère. C’est en silence qu’ils arrivent à leur lieu idyllique. Merveilleux endroit, enfoui dans les sapins le chalet se dessine. Il n’est pas très grand, mais accueillant, ils entrent.

 

La Maîtresse reste debout à l’entrée pour s’acclimater à la pénombre et à la bonne odeur du bois. Un feu de cheminée les attend, le soumis se déshabille rapidement et se jette à ses pieds.

Comblée de cette chaleureuse ambiance, la Maîtresse retire sa veste et ses chaussures pour s’installer sur le fauteuil devant la cheminée. Son soumis la suit en rampant et se met à ses pieds comme dans son rêve. Sans un mot, durant une bonne heure, ils savourent ces instants de silence, de paix et d’abandon. Lentement la Maîtresse s’apaise et retrouve sa sérénité.

-        Remets une bûche dans l’âtre !

-        Oui, Maîtresse.

 

Voulant goûter pleinement de ces moments magiques, elle reste lovée dans son fauteuil en le regardant s’activer avec le bois. Elle le remercie en pensées de cette agréable initiative mais ne le lui dira qu’à leur retour. Une sensation de bien-être s’empare de son corps et un désir de se laisser aller l’envahit. Le soumis est revenu vers elle et attend ses ordres patiemment. Les minutes passent, elle se délecte puis se décide enfin à lui adresser la parole.

-        Va chercher nos affaires, les ranger et ensuite tu prépares le déjeuner !

-        A vos ordres, Maîtresse.


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Ne manquez pas de lire les suites de ce merveilleux rêve qui se réalise !!!

 

Par Mylady - Publié dans : RECITS
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Dimanche 30 mars 7 30 /03 /Mars 20:25


LA BELLE HISTOIRE DE MAITRESSE HELENA ET DE PATOU


Elle était indécise, il a réussi à la convaincre. Il a dialogué sur le forum, a trouvé celui-ci sympathique et convivial et lui en parle. Lui faisant confiance, elle se décide à prendre contact avec cette Mylady.

 

Après un échange de messages, elles se confient leurs numéros de téléphone pour discuter de vive voix. Elles sympathisent d’emblée, Héléna est rassurée.

C’est ainsi qu’elle intègre le Cercle des Dominatrices qui vient d’être créé. Conviée à la réunion, Héléna s’y rend avec Patounette, son époux. Chaleureusement accueillis par les amies présentes, ils se sentent à l’aise tous les deux.

D’autres réunions suivent, je n’ai plus besoin de répéter les éloges faits à Patounette qui est devenu le cuisinier attitré de ces Dames.

Héléna prend de l’assurance, elle n’est plus seule. Il est certain que leurs discussions intimes les incitent à évoluer dans leur manière de vivre la suprématie.

 

Lors d’un échange entre amies, Héléna capte une proposition et expérience de l’une d’elle. Le fait de prêter son « minou » à une amie Dominatrice le rend plus attentionné et amoureux envers sa Divine.

Héléna réfléchit à cette perspective, Patounette l’y encourage.

-        Mylady, nous serions près de chez toi, vendredi.

-        Venez prendre le café, ce serait avec plaisir que je vous recevrai, Héléna.

 

Pas une demande, ni une proposition mais Mylady a compris le désir de son amie. Le café est précédé d’un repas à la bonne franquette, mais l’ambiance est créée. Effectivement, l’hôtesse a préparé la chaîne qui pend à la poutre et les différents jouets exposés sur la desserte devant la cheminée. Indiana Jones qui décore la table du déjeuner et serpente entre les assiettes, donne le ton.

-        Mylady, je te prête Patounette, tu as carte blanche.

-        Je te remercie de ta confiance, Héléna.

 

Patounette reste debout et attend les ordres. Il sert les Divines qui l’autorisent néanmoins à partager leur repas. Son anxiété monte, il ne sait pas ce que Mylady attend de lui.

-        Déshabille-toi et mets-toi à genoux à mes pieds !

-        Oui, Mylady.

-        Je te préviens, j’ai horreur des plaintes et des cris !

 

Patou se déshabille, sa Maîtresse lui a ordonné de porter sa cage de chasteté depuis la veille. Sa fierté est également d’être épilé intégralement.


Pour « marquer » l’honneur que son amie lui fait en lui accordant sa confiance, Mylady prend sa roulette magique et la plante dans le dos de Patounette. L’instrument de torture métallique s’enfonce et trace délicieusement l’initiale de son amie Héléna

Il en souffre en silence, Héléna en est fière. Le fait de voir son époux aux pieds de Mylady, la fait frémir d’aise et lui donne une satisfaction inconnue à ce jour. Une sensation de pouvoir l’envahit. Assister aux gestes précis de Mylady, leur lenteur et la peau de son Patou qui rougit à vue d’œil avec son initiale, la trouble. Elle vient d’offrir le corps de son mari à son amie et celui-ci est fier de lui dédier ses souffrances.

 

Après plusieurs passages de ce marquage, satisfaite de son œuvre, Mylady demande à Patou de se relever. Il est ankylosé, peu importe. Il tremble de tout son être, ce qui amuse les Divines.

-        Héléna, je vais te montrer un beau bondage !

 

Le bondage à nœuds diamants plait énormément à son amie, Patou est rougissant de devoir s’exhiber ainsi harnaché.

-        Je fais une pause, reste debout pendant que nous prenons notre café, tu es trop beau ainsi !

-        Oui, Mylady.

 

Les diaboliques le laissent ainsi pendant qu’elles papotent et échangent leurs appréciations. Il doit se demander et surtout craindre l’utilité de ces martinets, cravaches et cette impressionnante tapette cloutée. Mille pensées traversent son esprit. ( Que vont-elles encore me réserver ?)

 

La réponse ne tarde pas, Mylady lui pose un collier, des bracelets aux chevilles et aux poignets reliés par une chaîne qui font plier tout son corps. Il rougit de plus belle, le collier est trop petit et semble l’étouffer. Mylady le remplace par un autre qui, cette fois-ci, est à sa taille. Puis, elle lui enlève son bondage, le délivre de sa posture et l’attache, le ventre contre la poutre, bras levés et attachés à la chaîne qu’il a aperçue en entrant.

 

Patou ne voit pas ce qui se passe derrière lui, mais s’attend au pire. Il tremble toujours davantage, ne pouvant plus se contrôler. Sa première surprise est de ressentir des caresses sur ses fesses et son dos. La main de Mylady court sur sa peau, cette douceur le surprend. Il n’en comprend pas la raison. Mais pour elle, le but est simplement de s’imprégner de ce corps offert par son amie et d’en ressentir les frissons afin de se stimuler.

 

La douceur est de courte durée, car la tapette commence à remplacer la main sur les fesses. Quelques petits coups d’échauffement tout d’abord mais qui vont en s’amplifiant. Les rougeurs sont instantanées, cette peau trop blanche a bien mérité de prendre des couleurs. Non seulement par les coups mais également par les marques des œillets métalliques. Patou est à la limite de crier sa douleur, quand, tout à coup, il ressent à nouveau la main de Mylady qui le caresse. Cette sensation de chaud-froid le transperce mais semble l’apaiser.

 

Pas pour longtemps, car Mylady fait siffler son martinet à queux multiples et tressées. Un doux bruit pour elle mais certainement pas pour Patou. Les lanières tournoient et effleurent son dos comme des petites morsures, avant de s’y abattre ainsi que sur ses fesses.

 

Héléna s’était installée sur le canapé à proximité de la poutre pour savourer le spectacle. Dans son extase, Mylady ne l’avait pas remarqué et lui sourit en l’appercevant.

-        Quelle est ton impression, ma chérie ?

-        Celle d’être en admiration, autant envers toi que pour le courage de Patou.

 

Pour accentuer le plaisir de son amie, Mylady s’empare du grand martinet dont les queues sont plus longues et fournies. Elle le fait siffler comme à son habitude, Patou recommence à ne plus pouvoir se maîtriser, ses muscles tremblent, sa peau se raidit et s’apprête à subir de nouveaux sévices. Mais c’est encore la main de Mylady qui l’apaise, puis les coups qui tombent quand il ne s’y attend plus. Cette alternance de caresses et de flagellation le met en transe ne sachant plus quelle est la pire des douleurs.

-        Ce ne sont que des caresses, Patou. Car je ne connais pas ton endurance.

-        Lesquelles, Mylady ? Celles de votre main ou de votre fouet ?

-        Je te parle du martinet, évidemment !

 

Mylady a réussi, elle est satisfaite et, pour rafraîchir ces rougeurs exquises, elle lui caresse dos et fesses avec des glaçons.

 

Mal lui en prit, Patou en a la phobie. Surprise de cette réaction, Mylady le détache rapidement, il est livide. Sans paniquer, elle lui ordonne de s’asseoir, il se calme. L’incident est vite oublié, Héléna est heureuse.

-        Mylady, je ne sais comment te remercier d’avoir su m’apporter autant de plaisirs.

-        Je te retourne ton appréciation, Héléna.

 

Patou, ne sait trop comment s’asseoir, ses fesses ont viré au bleu, mais il reste souriant et fier pour sa Maîtresse. Son marquage d’initiale dans le dos a été strié par les lanières du martinet.

-        Et toi, Patou, que ressens-tu ?

-        J’en parlerai à ma Maîtresse quand nous serons seuls.

-        Je veux que tu me le dises tout de suite !

-        Je regrette de ne pas avoir été à la hauteur de vos attentes, Mylady.

-        Que veux-tu dire par-là, patou ?

-        Vous disiez que vos coups ne sont que des caresses. Je ne suis pas masochisme, Mylady, mais votre force est terrible. Si ce ne sont que des caresses, je n’ose penser à votre déploiement.

-        N’as-tu pas compris que je sais être machiavélique dans mes paroles, patou ?

 

Non, il n’a pas vraiment compris et pour cause. Car la cérébralité ressentie par les mots mélangée à celle des sens par la douleur et de douceur, est la plus parfaite des tortures.

 

Toujours est-il que cet après-midi fut des plus concluant pour Héléna et patou. Mylady, quant à elle, est comblée d’avoir partagé cette nouvelle complicité avec ses amis.

 

Indiana Jones n’a pas quitté sa place mais son pouvoir, une fois de plus, a été efficace.

Par Mylady - Publié dans : CERCLE DES DOMINATRICES
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Lundi 17 mars 1 17 /03 /Mars 14:07


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SAMEDI 15 MARS 2008

 

 

Nous sommes reçues chez Maîtresse Héléna à midi. Patou, son époux s’est surpassé une nouvelle fois.

Une magnifique table bien mise s’offre à nos yeux avec fleurs, fine porcelaine nappée d’un chemin de Table sur lequel prône un magnifique fouet à lanières tressées.

 

Après un apéritif, servi par l’un des minous avec des amuse-bouches délicieux présentés par un autre et préparés de manière originale dans une cuillère par le « chef » de ces Dames, nous passons à table.

Les attentions de nos hôtes nous ravissent. Tant les papillotes et petits sujets en bois marqués de nos noms pour nous placer, que la subtilité des chaises. Effectivement, les Maîtresses sont installées au centre de cette immense table, trois d’un côté et trois de l’autre sur des chaises confortables et hautes. Les quatre minous sur les côtés mais sur des chaises pliantes et basses.

Ils ont l’honneur de partager le repas mais dans leur position inférieure qui est la leur.

Je tiens à faire l’éloge de Héléna de cette directive qui est celle d’une parfaite Maîtresse et non seulement de maison.

Patou a passé sa matinée à préparer les mets avec un immense plaisir qu’il fait bon ressentir. Le menu est un vrai délice, les assiettes servies à tour de rôle par les soumis qui mettent un point d’honneur pour satisfaire ces Dames. Leur bonne humeur et leurs félicitations récompensent ces messieurs.

Après avoir desservi, ils sont envoyés en cuisine pour la ranger et faire la vaisselle.

 

La réunion se déroule à huit clos.

 

Le seul ordre du jour étant que chacune des Divines commente leur propre attente du Cercle. Il fallait qu’une entente commune s’établisse en cette cinquième rencontre.

Chacune ayant répondu à la demande de s’exprimer afin de connaître les désirs d’un bon déroulement des réunions. C’est à l’unanimité que ces dames conçoivent d’accepter les souhaits émis par l’hôtesse qui reçoit. Si elle veut que les soumis mangent à table ou pas, si elle veut que son propre soumis ait une position, une attitude ou une tenue selon ses convictions. Si des jeux peuvent être partagés ou pas.

 

Il en résulte surtout, que jamais ces réunions ne dévieront à des séances proprement dites.

 

Toujours selon les possibilités de l’hôtesse, celle-ci peut proposer des jeux comme par exemple le « jeu de la vérité » Nous en reviendrons quand cela se réalisera.

 

Par contre, une proposition est soulevée. Si l’une d’elle accepte de prêter son soumis, ce sera dans l’intimité avec l’autre en totale confiance. Là aussi, j’expliquerai les bons côtés qui en résultent.

Les échanges qui suivent se déroulent d’une parfaite complicité entre les amies, heureuses de pouvoir s’exprimer librement et d’être comprises sans jugement.

 

Le but est enfin atteint !!!

 

Je tiens à vous faire part que ces messieurs furent souvent appelés au son d’une cloche tonitruante dès qu’une Divine avait un désir quelconque. Le plus amusant était qu’ils accouraient tous en même temps, non sans oublier de frapper à la porte. Ce fut intense de suprématie, ce fut intense de dévouement, ce fut intense de respect.

 

Merci mes amies !!!

Vous avez fait du beau travail, messieurs !!!

 

La prochaine réunion aura lieu le samedi 12 avril chez Maîtresse Fabienne.

Nous sommes toutes impatientes de nous retrouver !!!


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Par Mylady - Publié dans : CERCLE DES DOMINATRICES
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Dimanche 16 mars 7 16 /03 /Mars 13:34

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OU REVALTIONS ?

 

Chaque être a des secrets enfouis en lui, des faits et des actes survenus dans l’enfance. Je ne tiens pas à étendre ces phénomènes psychologiques, mais d’essayer de les comprendre.

 

Pourquoi un homme se révèle être soumis ?

Pourquoi un homme s’en défend t’il ?

Pourquoi se juge t’il lui-même ?

Pourquoi n’assume t’il pas sa vie ?

 

Tout simplement parce que c’est un homme !!!

 

Un homme se doit, de par son éducation, être fort, responsable, directif. Il doit protéger sa famille, assumer leur bien-être, éduquer les enfants, il doit « assurer »

 

J’ai transcrit plusieurs faits, cité plusieurs anecdotes, études et faits réels tout au long de mes écrits. J’ai essayé d’expliquer mes ressentis pour en revenir maintes fois à la conclusion qu’il ne servait à rien d’aller à l’encontre de sa personnalité.

 

Vous en êtes conscients, vous avez besoin de cette vie, vous en avez tellement envie !!!

Mais……… le problème majeur est de trouver la personne qui puisse être en phase avec vos désirs. La personne qui ressent vos besoins, qui les partage pour son propre plaisir. La personne qui donne et qui reçoit.

 

Si vous l’avez trouvé, c’est un don du ciel ! Vous pourrez vivre pleinement et ensemble cette Suprématie, ce don de vous-même.

Mais il ne s’agit pas d’assouvir uniquement quand vos pulsions vous envahissent, car vous allez à nouveau plonger dans vos frustrations.

 

Assumez messieurs, que Diantre !!!

 

Vous avez refoulé ces besoins en vous projetant dans vos obligations tant professionnelles qu’amicales et familiales. Vous vous retranchez derrière une vie mouvementée pour vous en défendre, toujours et encore……..

 

Et si, par bonheur, vous avez trouvé votre complice, vous hésitez toujours car vous ne savez plus comment gérer cette relation. Vous êtes perdu !!!

 

Cela vous semble insurmontable, vous aimeriez que cette personne vous secoure, qu’elle vous libère.

Vous avez tout faux, messieurs !!!

 

C’est à vous de lui prouver que vous ferez abstraction de vos habitudes, de votre petit train-train, de vos soi-disant obligations qui ont aidé à vous faire oublier votre condition. C’est à vous de mériter qu’elle s’occupe de vous en lui prouvant votre reconnaissance.

C’est à vous d’assumer !!!

 

Il ne suffit pas de vouloir, mais de le pouvoir et le prouver !!!

Par Mylady - Publié dans : CONSEILS
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